Quentin Fichet a 32 ans. C’est un enfant du Marais poitevin (du village de Magné précisément). Élevé au bord de la rivière et bercé par ses légendes. Désormais, il vit à Paris où il est devenu journaliste pour le Journal télévisé de TF1. Mais son esprit n’a jamais quitté les marécages deux-sévriens. Il garde constamment en tête cette lumière verte si particulière et les histoires qui vont avec.

Elias et le dernier manoir T. 2 :

Elias et le dernier Manoir est un roman d’aventures en deux parties. Au cœur de ce second tome : protection de la nature, action et amitié. Elias, 10 ans, a un pouvoir. Il est désormais capable de respirer sous l’eau. Il peut aussi envoyer des fulgures puissantes et vous faire voltiger en un clin d’œil. Exactement comme le Peuple des Racines dont il fait maintenant partie. Cette communauté vit en secret dans les profondeurs du Marais poitevin. Ces êtres sont en danger. Le dernier Manoir dans lequel ils vivent est menacé. Elias doit donc maîtriser son pouvoir au plus vite. Car il est le seul à pouvoir les sauver.

Jours de présence : samedi

• Fonction/Mandat : Auteur

2024

Régine Albert est née et vit aux Herbiers. Auteure de nombreux ouvrages et recueils, elle a commencé à publier des poèmes en 1983 et a reçu le prix des écrivains de Vendée en 2012.

Recueil de nouvelles sur 40 femmes du bocage vendéen célèbres ou inconnues que le sous-titre de la couverture résume parfaitement : « Femmes du bocage, sortez de l’ombre ».

Jours de présence : samedi et dimanche après-midi

2023

Je raconte la vie de ma mère, née en 1909 et décédée en 1989.
Orpheline de père dès les premiers mois de la guerre en 1914, sa mère (Rose) éleva seule ses trois enfants et s’en sortit tant bien que mal. L’aîné boitait et la plus jeune presque aveugle. A force de courage et de ténacité, Lise s’en sortit, épousa un garçon de son village, mit au monde sept enfants (dont moi) et fut toute sa vie un témoignage exceptionnel pour ses enfants et son entourage.

Jour de présence : Vendredi et dimanche après-midi

2022

Régine Albert est née aux Herbiers en 1936. Sa mère lui transmet très tôt son goût pour la lecture et la poésie.

En 1961, elle épouse Marcel Albert, jeune employé dans l’industrie du vêtement pour enfants Commencent alors l’aventure de la création d’une entreprise, puis l’engagement politique de Marcel q’elle soutient dans sa mission et qui devient Maire des Herbiers en 1995.

Régine Albert s’engage dès le début de l’aventure du Puy du Fou en 1977, où elle sera actrice pendant 10 ans, animant la Section Culturelle et participant à la rédaction de la revue de l’association. En 1982, et pendant trois ans, elle crée et anime une émission sur la radio Alouette FM : « Les jardins de la Poésie ».

En 1989, elle crée avec des amis l’association Echo Optique dans le but de donner la parole aux poètes d’aujourd’hui. En 1995, l’association met en place des ateliers d’écriture pour adultes et des soirées “lecture et chant” lors desquelles des lecteurs partagent leurs “coups de cœur”.

Passionnée de l’histoire de nos “aînés”, Régine Albert s’attache, au sein de l’association Héritage, à recueillir la mémoire d’une époque qui s’efface avec le temps.

Membre de l’Association Vendéenne pour la qualité de vie, elle milite pour la protection de l’environnement en Vendée et le respect de la nature.

Les Herbiers de ma mémoire.
Dans cet ouvrage, l’auteur évoque les souvenirs attachés à vingt lieux des Herbiers
qui rappelleront aux lecteurs leurs propres souvenirs. Les aquarelles de Jean-Marc Bodet complètent admirablement ces évocations. Une réédition est faite à l’occasion du Printemps du Livre, les 200 premiers exemplaires n’ayant pas suffi aux amoureux du temps passé. Un deuxième tome est en préparation qui complète le premier tome.
Il est probable qu’il sortira juste pour le Printemps du Livre. Le cycle sera ainsi complet.

2019

Dans la série “Mémoires”(après les arbres, les fantômes, les cantiques, Morceaux choisis…), Régine Albert a écrit son cinquième livre évoquant les parfums liés à la mémoire. C’est ainsi qu’elle développe ses souvenirs autour de vingt lieux ou événements : l’église, les battages, le cordonnier, la fête Dieu…

• Fonction/Mandat : Autrice

René Manzor est romancier, réalisateur et scénariste Les plus grands ont fait appel à son imaginaire, de Delon à Spielberg. En quelques romans seulement, il s’est imposé comme une des références du thriller français. Il a reçu de nombreux prix dans le monde du Noir, parmi lesquels le Prix Cognac du polar Francophone, le Prix Polar Les Petits Mots des Libraires, le Grand Prix Iris Noir Bruxelles et le Prix de l’Embouchure.

Paris, bureau d’un éditeur bien connu. Alors que Marion Scriba romancière, parle de son prochain polar, des policiers surgissent et l’interpellent, l’accusant du meurtre qui occupe la France entière depuis deux jours. Sur l’arme du crime, on a retrouvé l’ADN de Marion.
En garde à vue, la romancière clame son innocence. Mais l’ADN n’est elle pas la reine des preuves. Acculée, Marion ne voit qu’une solution, certes folle s’évader pour trouver le vrai tueur et se disculper.
Wim Haag, un agent d’Europol qui a rendu son badge douze ans plus tôt, est rappelé pour cette enquête à haut risque. Très vite il comprend que quelque chose cloche comment cette femme à la vie bien rangée, qui passe ses journées à écrire des histoires, peut elle avoir un tel instinct dans sa cavale.
Entre Wim, persuadé que la fugitive a un secret, et Marion, bien décidée à débusquer celui qui l’a piégée, commence une traque sans merci.

Crédit photo : Mathieu Génon

Jours de présence : vendredi après-midi, samedi et dimanche matin

• Fonction/Mandat : Auteur

Engagée pour un monde radicalement meilleur depuis 20 ans, Sandrine Roudaut est perspectiviste, conférencière, essayiste, romancière et éditrice.
Egalement autrice des essais « L’utopie , mode d’emploi », recettes pour changer le monde, « Les Suspendu(e)s » sur l’insoumission à l’autorité et la résignation, et « Par-delà l’androcène ».

Cinq femmes convergent un midi Place de la République à Paris. De cette rencontre naît une utopie. Elles décident de s’affranchir des pires pronostics et de perturber le récit ambiant, en élaborant un plan de résistance citoyenne. Un roman foisonnant, inspirant, suspendu entre poétique et politique, pour semer de nouveaux imaginaires.

Jours de présence : vendredi matin et dimanche

• Fonction/Mandat : Autrice

Après un cursus universitaire, Séraphine Drouin a intégré la fonction publique à Paris. Elle a vécu son enfance en province, en Vendée, terre aux multiples visages, qui a certainement nourri son imagination. Elle a une passion pour l’écriture, l’histoire en général et celle de la Vendée en particulier. L’aventure humaine reste son sujet de prédilection et la nature, une source de créativité. Elle a beaucoup à raconter et c’est pour cela qu’elle écrit.

Le thème de la transmission est au centre du roman. Agathe vit ses dernières années d’adolescente à Luçon auprès de sa grand-mère qui l’aime passionnément. La jeune fille découvrira que les capacités sensorielles de son aïeule sont extraordinaires. Cette dernière, tout en lui racontant l’histoire familiale, va lui transmettre une certaine perception de la vie et lui faire vivre des voyages oniriques ou aux sens cachés et symboliques. Un retour dans le passé, à la rencontre de personnages courageux et émouvants, trouvent un écho particulier à notre époque. Ainsi, tout au long de l’histoire, le lecteur suit Agathe dans sa quête initiatique, qui pourrait bien être aussi la sienne

Jour de présence : vendredi matin

• Fonction/Mandat : Autrice

2024

Serena Giuliano, la plus italienne des autrices françaises, vit près de Metz. Elle a déjà publié cinq romans : Ciao Bella, Mamma Maria, Luna, Sarà perché ti amo et Un coup de soleil, qui ont conquis plus de 500 000 lecteurs.

Valentina organise des mariages sur le lac de Côme, près de Milan. C’est son métier, et elle l’adore.
À ses côtés, il y a Fabio, qui s’occupe des fleurs, Laura en cuisine, Ludovica pour tout et n’importe quoi. Ces dernières semaines, ils font bien plus que l’assister : ils la maintiennent carrément debout. (Avec l’aide indispensable de Totò, teckel nain en surpoids, un rien flemmard, qui veille sur sa maîtresse.)
Car « Vale » ne se remet pas du départ d’Azzura, sa meilleure amie, son double, qui laisse derrière elle une adorable petite Bianca.
Quand elle apprend que sa filleule et son papa déménagent en Sicile, Valentina perd pied.
Il faut pourtant continuer à assurer : des couples comptent sur elle pour le plus beau jour de leur vie…

Crédit photo : Christophe Martin

Jours de présence : samedi et dimanche matin 

2023

Serena Giuliano est l’autrice de Ciao Bella, Mamma Maria (prix Babelio 2020 et prix Machiavel du roman Cercle Leonardo da Vinci 2020), Luna (prix des lecteurs U 2022), Sarà perché ti amo, qui ont conquis plus de 500 000 lecteurs.

Lundi, docteur De Martino. Cardiologue, veuf au coeur brisé. Vit dans le noir, fume comme un pompier.
Mardi, Geraldina Rizzo. La doyenne de mes clientes, 92 ans. Ma vieille dame indigne.
Mercredi, Signor et Signora Ferrara. Autoritaires, culs-bénits. Leurs petits secrets ne sont pas toujours bien gardés…
Jeudi, Signora Marino. Voyante et lectrice passionnée, qui lit aussi dans les pensées.
Vendredi matin, Signor et Signora Landi. Élégants, aisés, bronzés, désespérés…
Vendredi après-midi, Signor D’Amato. L’homme invisible !
À Salerno, les jours se suivent mais ne se ressemblent pas pour Eléonore, femme de ménage. Cela fait des années qu’elle vit en Italie, mais du pays, elle n’a pas vu grand-chose. Entre ses ménages et ses jumeaux ados – un garçon et une fille –, elle n’a guère de temps pour la dolce vita. Surtout, Eléonore ne parvient pas à oublier Marco. Cette
rupture, elle l’a voulue, mais ce crétin la hante jour et nuit. À tel point qu’elle ne peut s’empêcher de guetter sur les réseaux la moindre publication susceptible de le faire réapparaître et de lui donner des indices sur sa vie après elle.
Au moins, pendant qu’Eléonore astique et récure chez les autres, son esprit est occupé. D’ailleurs, ces autres… En pénétrant dans l’intimité des gens, en lavant leur linge sale, on s’aperçoit vite que les apparences peuvent être trompeuses.
Eléonore, dans les coulisses, pourrait bien jouer un rôle principal, alors qu’elle se démène, tirée vers le passé par cet amour qui ne veut pas s’éteindre, mue par un rêve, et par un hasard qui s’apprête à rebattre toutes les cartes.

Jours de présence : Samedi et dimanche matin

Crédit photo :

2022

Serena Giuliano:  Serena Giuliano est l’autrice de Ciao Bella, de Mamma Maria et de Luna, qui ont déjà conquis plus de 300 000 lecteurs.

« Alba a tout pour être comblée : un mari aimant, un adorable bébé et une maison à Procida, où depuis toujours elle vient passer l’été. Mais la réalité est tout autre : en plein post-partum, avec des kilos en trop, les nuits écourtées et ses sautes d’humeur à répétition, Alba ne sait plus très bien qui elle est, ni ce qu’elle désire. D’autant que son ex n’a pas trouvé meilleure idée que de réapparaître soudainement…
Gabrielle croit enfin avoir trouvé le prince charmant en Nino, charismatique, plus âgé, un peu autoritaire. Elle espère qu’il pourra lui apporter la confiance dont elle manque cruellement… Et ces premières vacances en amoureux devraient sans nul doute souder leur relation.
Les deux couples se retrouvent sur cette petite île italienne chatoyante, dans l’espoir de profiter de la dolce vita.
Et si ce séjour agissait tel un déclic ? Et si chacun d’entre eux venait à douter de ses sentiments ? »

Crédit photo : Céline Nieszawer

Jours de présence : samedi et dimanche matin

2020

Serena Giuliano est blogueuse, pigiste et écrivaine. Elle arrive en France, à Talange, en 1994. Serena a alors 12 ans et ne parle pas un mot de français. En trois mois, elle maîtrise la langue et se hisse au niveau de ses camarades de classe. Après un BTS dans le domaine bancaire, elle se lance comme conseillère en image et crée un blog mode et beauté. Mère de deux fils, elle crée son blog autour de la maternité, “Wonder mum”, en 2013.
Après trois ouvrages “Wonder mum” (2014-2016), succès littéraire de l’année 2014, elle signe avec “Ciao Bella” (2019) son premier roman.

« J’ai peur du chiffre quatre. C’est une superstition très répandue en Asie. Le rêve ! Enfin des gens qui me comprennent ! Je devrais peut-être déménager…
– Vous avez beaucoup d’autres phobies ?
– Vous avez combien d’années devant vous ? »

Anna a peur – de la foule, du bruit, de rouler sur l’autoroute, ou encore des pommes de terre qui ont germé… Et elle est enceinte de son deuxième…

© Céline Nieszawer-Leextra-Editions du Cherche Midi

• Fonction/Mandat : Autrice
• Site internet : Site web de Serena Giuliano
• Compte Facebook : raslacape

Shelley Read vit avec sa famille dans les monts Elk du Colorado. Elle a été maître de conférences à la Western Colorado University pendant près de trente ans, où elle a enseigné l’écriture, la littérature, et les études environnementales. Là où la rivière te porte, son premier roman, s’inspire de sa terre natale.

Victoria Nash a dix-sept ans à la fin des années 1940, et elle gère d’une main de maître le verger de pêches de son père, à Iola, petite ville du Colorado entre montagnes et rivières. C’est la seule femme survivante de sa famille, et elle doit cohabiter avec un père colérique, un oncle acariâtre, et un frère violent. Lorsqu’elle rencontre par hasard Wilson
Moon dans les rues d’Iola, la vie semble à nouveau lui sourire. Wil est un jeune vagabond au passé mystérieux et à la peau sombre. L’étincelle qui s’allume entre eux va déclencher autant de passion que de malheurs. La famille de Victoria refuse qu’elle côtoie un « indien », et leurs entrevues deviennent de plus en plus risquées, jusqu’à ce qu’une tragédie survienne.
Victoria devra alors se battre pour se protéger et protéger le fruit de son amour interdit. Elle va survire contre les éléments des montagnes alentours où elle va se réfugier, et apprendre à continuer à vivre alors que tout ce qu’elle chérissait a disparu : sa ville, engloutie par les eaux de la Gunnison, les êtres aimés, et le souvenir d’une vie où tout était encore possible.
Cette saga est une force de la nature : au cœur des lacs, des montagnes, des rivières, le personnage de Victoria doit faire face aux changements de son temps (construction du barrage, guerre du Vietnam…), tout en sauvant sa propre vie et celle de son verger. Au risque de devoir abandonner une partie de soi pour pouvoir mieux la retrouver.

Jours de présence : vendredi fin d’après-midi, samedi et dimanche matin et début d’après-midi

• Fonction/Mandat : Autrice