Sage-femme jusqu’en 2015, Agnès Ledig se consacre désormais pleinement à l’écriture. Elle publie son premier roman, Marie d’en haut, en 2011, puis obtient le Prix Maison de la Presse en 2013 pour Juste avant le bonheur, paru chez Albin Michel, qui connaît un succès fulgurant (titre vendu à plus de 550 000 exemplaires à ce jour et traduit en 19 langues).
En quelques années, elle s’est imposée comme l’une des romancières les plus aimées du grand public. Elle a également écrit deux albums jeunesse, illustrés par Frédéric Pillot.
Après six romans, ses lecteurs font preuve d’une exceptionnelle fidélité.
Elle viendra présenter ses derniers ouvrages, Se le dire enfin, publié en février 2020 aux éditions Flammarion et sa nouvelle série Jeunesse, Mazette, dont les deux premiers titres paraîtront chez Flammarion début mars.
De retour de vacances, sur le parvis d’une gare, Édouard laisse derrière lui sa femme et sa valise. Un départ sans préméditation. Une vieille romancière anglaise en est le déclic, la forêt de Brocéliande le refuge. Là, dans une chambre d’hôtes environnée d’arbres centenaires, encore hagard de son geste insensé, il va rencontrer Gaëlle la douce, son fils Gauvain, enfermé dans le silence d’un terrible secret, Raymond et ses mots anciens, Adèle, jeune femme aussi mystérieuse qu’une légende. Et Platon, un chat philosophe. Qui sont ces êtres curieux et attachants ? Et lui, qui est-il vraiment ? S’il cherche dans cette nature puissante les raisons de son départ, il va surtout y retrouver sa raison d’être.
Se le dire enfin – Parution : 26 février 2020 – Éditions Flammarion
Sylvie Allouche se partage entre la photographie (expositions, publications) et l’écriture. Elle est photographe pour l’agence internationale Bridgeman-Giraudon spécialisée en histoire de l’art. Elle commence sa carrière d’écrivain en rédigeant 26 volumes de la collection Il était une fois l’homme, et participe à plusieurs ouvrages documentaires dédiés à l’histoire des civilisations. Depuis une dizaine d’années, elle se consacre à la fiction jeunesse. Son roman Brothers a obtenu le prix Margot 2014 au festival « Un Aller-Retour dans le Noir », à Pau. En 2016, elle retrouvait le même univers dans Twist Again, un roman de société subtil et puissant, récompensé par 4 prix, dont celui de la NRP. Stabat Murder, la première enquête de la commissaire Clara Di Lazio, parue en 2017, a obtenu 12 prix littéraires à ce jour.
La fascinante commissaire Clara di Lazio (Stabat Murder) est l’héroïne du nouveau roman de Sylvie Allouche !
Un élève de terminale est retrouvé mort un dimanche à l’aube, pendu par les pieds à une branche de platane, au milieu de la cour de son lycée. 980 élèves suspects, sans compter le directeur, les profs et le reste du personnel, l’enquête s’annonce complexe. Pourquoi le meurtrier a-t-il pris le risque fou de cette mise en scène ? Y a-t-il un lien entre ce meurtre et le suicide d’une élève de seconde, victime d’un harcèlement brutal sur les réseaux sociaux quelques mois plus tôt ? Pour la commissaire Clara Di Lazio et son équipe, aucun indice ni aucune piste ne sont à négliger.
Né en 1975 à Strasbourg, Thomas Baas est diplômé en 2000 des Arts Décoratifs de la ville (atelier de Claude Lapointe). Il est à la fois illustrateur et affichiste, travaillant aussi bien pour des maisons d’édition jeunesse que pour la presse enfantine. Humour, tendresse, personnages un brin rétros, couleurs soigneusement choisies, typos ciselées caractérisent son style sophistiqué.
Ernest a dix ans. Dix ans de vide : sa mère est morte le jour de sa naissance et son père a disparu. Dix ans d’ennui : sa vie avec sa grand-mère, prénommée Précieuse, n’a rien de très exaltant : école, goûter, devoirs, soupe. Pas de téléphone, pas de télévision. Seule distraction : une mystérieuse lettre que le grand-père d’Ernest avait envoyée du front pendant la guerre, une lettre indéchiffrable. Ernest est bon élève, solitaire et taciturne, pour ne pas dire muet. Jusqu’au jour où Victoire de Montardent arrive dans sa classe et jette son dévolu sur lui. Car Ernest est beau, ce que les autres filles de la classe avaient déjà remarqué…
Signature incontournable de la littérature jeunesse contemporaine, Fred Bernard est né en Bourgogne en 1969. Passionné par la nature, il serait sans doute devenu vétérinaire ou explorateur s’il n’avait pas été reçu au concours des Beaux-Arts de Beaune. Puis il suit les cours de l’école Émile Cohl à Lyon où il fait la connaissance, en 1991, de son ami et futur collaborateur François Roca.
En 1996, il publie ses premiers albums jeunesse : Mon ami crocodile, chez Albin Michel Jeunesse comme auteur-illustrateur, et remporte ensuite plusieurs prix avec François Roca. Ses histoires sont traduites dans de nombreux pays.
C’est en 2001 qu’il écrit et dessine sa première bande dessinée avec le début des aventures de Jeanne Picquigny. Infatigable conteur et curieux, il adore essayer tous les types d’écrits et joue de ses modèles pour mieux les réinventer.
Fred Bernard a été nommé Chevalier des Arts & des Lettres pour 23 albums jeunesse réalisés en 20 ans.
Charlotte Bousquet a écrit une quarantaine d’ouvrages pour adultes et adolescents. Autrice éclectique, récompensée par de nombreux prix, elle est à l’aise dans tous les genres : anticipation (Le dernier ours), fiction contemporaine ou historique (Là où tombent les anges), fantasy ou bandes-dessinées (Mots Rumeurs, mots cutter). Ses récits, engagés, parfois âpres, laissent rarement indifférent. Avec Nos Vies suspendues, elle signe son premier roman aux éditions Scrineo.
Trois ans, déjà.
Trois ans qu’Anis court pour ne plus qu’on la rattrape.
Trois ans que Nora a préféré ralentir, pour s’arrêter de penser.
Trois ans que Milan s’en veut de n’avoir rien pu faire.
Trois ans que Steven a fermé les yeux, et qu’il avance dans le noir.
Cette nuit-là les a marqués à jamais.
Et chacun doit réapprendre à vivre, avec cette voix intérieure, qui ne les quitte pas.
Cette voix qui ne cesse de grandir et ne s’arrêtera pas de parler. Pas tant que les coupables n’auront pas payé.
Alors que le passé ne leur laisse aucun répit, comment retrouver le fil de leur vie suspendue ?
Julien Dufresne-Lamy est né en 1987. Avant d’être écrivain, il a été journaliste culturel à Lyon et a publié à 25 ans chez Stock son premier roman Dans ma tête, je m’appelle Alice. Depuis 2016, il est aussi auteur pour la jeunesse. Deux de ses titres sont parus chez Actes sud junior, Mauvais Joueurs et Boom, lauréat de plusieurs prix. Son premier roman 9-13 ans, les étonnantes aventures du merveilleux minuscule Benjamin Berlin, chez Aces sud junior à été sélectionné pour le prix Gulli du roman 2019. Ses dernières parutions : Jolis Jolis Monstres (Belfond), Mon père, ma mère, mes tremblements de terre (Belfond), Darling (Actes sud juniors), Ma story (Magnard jeunesse).
« Quand on tape mon nom sur les moteurs de recherche, j’apparais comme le diable. Aux yeux de tous, je suis l’indigne. Pourtant, je n’ai rien fait de mal. J’ai simplement joué. Dans l’émission, j’ai simplement voulu gagner. Depuis que mon prénom circule sur Internet, les gens me condamnent sans procès. »
Batool, 15 ans, est repérée un jour dans un supermarché pour participer à l’émission de télévision Le Dernier Survivant. Enthousiaste, elle intègre l’émission avec d’autres jeunes de son âge. Sur l’île, les complicités se nouent et se défont au fil des épreuves. Batool est impatiente de voir le résultat et surtout la réaction de ses proches. Mais rien ne se passe comme prévu car le montage de l’émission est sans pitié et donne de l’aventure une toute autre version. Une phrase sortie de son contexte et tout bascule. Insultée sur les réseaux sociaux, lâchée par ses amis, Batool regarde sa vie s’effondrer…
Normalienne, agrégée de lettres modernes et cinéaste, Charlotte Erlih a enseigné les arts du spectacle à l’université de Nanterre, avant de se consacrer à l’écriture et à la réalisation.
Chez Actes Sud junior, elle est l’auteur de Bacha Posh (récompensé par de nombreux prix dont le prix NRP et le prix Sésame), 20 pieds sous terre (prix des lycéens allemands), Highline (prix Jean-Claude Izzo), Coupée en deux et J’ai tué un homme. En 2020 et 2021, paraît Darling une série en 4 épisodes écrite avec Julien Dufresne-Lamy. Aux éditions Talents Hauts, elle a publié également deux albums avec
Marjolaine Leray (Comme tout le monde) et Chloé Fraser (La Belle Airelle). Elle mène en parallèle une carrière en littérature générale (Funambules, aux éditions Grasset).
Universitaire, scientifique spécialiste d’éducation et de communication scientifique, Jack Guichard consacre sa vie à rendre les sciences accessibles à tous. Il a été l’origine de la « cité des enfants » à La Villette, Directeur du Palais de la Découverte à Paris, formateur d’enseignants et auteur d’une centaine de livres d’éducation et de vulgarisation des sciences (Hachette, le Pommier, Larousse, Milan, Nathan).
Son grand plaisir et son ambition : donner envie aux enfants de faire des sciences à partir d’expériences, d’observations accompagnées d’explications compréhensibles par tous !
10 expériences faciles et amusantes avec…un œuf ! Pourquoi l’œuf flotte-t-il quand il est vieux ? La mayonnaise est-elle une émulsion ? Quel principe permet de faire des œufs en neige ? Comment faire rebondir un œuf sans le casser ?…
10 expériences faciles et étonnantes pour découvrir de grands principes scientifiques grâce à…un œuf !
Un livre pour faire des expériences avec son enfant dès 4 ans
D’origine lyonnaise, Nathalie Janer a suivi des études d’arts appliqués et de stylisme de mode. En parallèle de sa carrière dans la mode enfantine en tant que Styliste-Graphiste, elle s’est également orientée vers l’illustration jeunesse pour donner vie à des personnages hauts en couleurs utilisant des techniques numériques ou traditionnelles. Le dessin restes sa passion de toujours et l’univers de l’enfant le meilleure moyen de l’exprimer.
Après des études de lettres modernes, Cécile Jugla est devenue éditrice, puis auteure de livres documentaires pour les enfants. Elle a publié plus de cinquante ouvrages (chez Nathan, Larousse, Flammarion, Lito, Hachette, Tourbillon…). Dans ses livres, elle « explore » des sujets variés (la philosophie, la nature et les animaux, les sciences et les techniques). Elle les regarde à hauteur d’enfants, les raconte et les met en scène pour les rendre accessibles aux plus jeunes. Lors de ses « explorations », elle s’enthousiasme ; elle s’étonne ; elle comprend… C’est cet émerveillement qu’elle souhaite partager avec les enfants !
10 expériences faciles et amusantes avec… un œuf !Pourquoi l’œuf flotte-t-il quand il est vieux ? La mayonnaise est-elle une émulsion ? Quel principe permet de faire des œufs en neige ? Comment faire rebondir un œuf sans le casser ?…
10 expériences faciles et étonnantes pour découvrir de grands principes scientifiques grâce à… un œuf !
Un livre pour faire des expériences avec son enfant dès 4 ans
Erik L’Homme est né en 1967 dans les montagnes du Dauphiné. Après une enfance drômoise et des études à l’Université de Lyon, il part pendant plusieurs années, sac sur le dos, à la découverte du monde. De retour en France, il commence un doctorat d’Histoire et Civilisations, puis se tourne vers le journalisme et la défense de l’environnement, avant de se consacrer entièrement à l’écriture.
Ses livres pour la jeunesse « Le livre des étoiles », « Phaenomen », « Terre-Dragon », la série « A comme Association » écrite avec P. Bottero notamment), ont rencontré un grand succès.
Initialement professeur des écoles, Lili la Baleine se lance dans l’illustration de manière autodidacte en 2009. Très vite, son talent est repéré dans le milieu de l’édition, et elle ne tarde pas à se faire un nom, à l’aise comme un poisson dans l’eau dans cette nouvelle marotte devenue une évidence. Elle travaille essentiellement en numérique sur tablette graphique. Elle a déjà illustré plus d’une centaine d’ouvrages pour divers éditeurs tels que Flammarion, Michel Lafon, Hatier, Maison Eliza, Gautier-Languereau, Deux coqs d’or, Fleurus, Larousse, Lito…
Camille Nicolazzi a obtenu son diplôme d’illustration il y a 4 ans. Elle a illustré « Toutes les larmes du Nil », sur un texte de Pog, ainsi que « Le très grand lion et la toute petite souris », de France Quatromme (éditions Bilboquet). Elle vit et travaille en région nantaise.
Après des études de lettres et de sciences politiques, Angela Léry a exercé le métier de chargée de communication chez GulfStream Editeur et a également été libraire. Son + écolo : sa maison est équipée de toilettes sèches !
Un parcours littéraire fort semblable à celui d’Angela et neuf ans passés aux éditions Fleurus et Mango Jeunesse, voici comment la fibre d’éditrice de Sarah Hamon s’est exprimée ! Son + écolo : elle fabrique elle-même ses produits ménagers et cosmétiques.
Anne Thoumieux est d’abord journaliste et auteure spécialisée en bien-être et société. Après un roman de développement personnel, elle se tourne naturellement vers le lifestyle et l’écologie, d’abord avec le Livre du Lagom puis J’arrête le plastique. Elle se passionne aujourd’hui pour les thèmes de la décroissance et d’un retour à une vie raisonnée, plus simple et plus heureuse.
J’arrête le plastique est un livre-coach qui propose des solutions concrètes pour réduire sa consommation de plastique et le remplacer dans la vie de tous les jours. L’ouvrage comporte aussi de nombreuses interviews d’experts et des encadrés pour tout comprendre sur le recyclage, la pollution marine, les risques sanitaires et les initiatives écologiques menées par les entreprises ou les particuliers. Un livre complet, optimiste et bienveillant pour entamer sa transition écologique et agir concrètement chez soi et autour de soi.
Sylvie Allouche se partage entre la photographie (expositions, publications) et l’écriture. Elle est photographe pour l’agence internationale Bridgeman-Giraudon spécialisée en histoire de l’art. Elle commence sa carrière d’écrivain en rédigeant 26 volumes de la collection Il était une fois l’homme, et participe à plusieurs ouvrages documentaires dédiés à l’histoire des civilisations. Depuis une dizaine d’années, elle se consacre à la fiction jeunesse. Son roman Brothers a obtenu le prix Margot 2014 au festival « Un Aller-Retour dans le Noir », à Pau. En 2016, elle retrouvait le même univers dans Twist Again, un roman de société subtil et puissant, récompensé par 4 prix, dont celui de la NRP. Stabat Murder, la première enquête de la commissaire Clara Di Lazio, parue en 2017, a obtenu 12 prix littéraires à ce jour.
La fascinante commissaire Clara di Lazio (Stabat Murder) est l’héroïne du nouveau roman de Sylvie Allouche !
Un élève de terminale est retrouvé mort un dimanche à l’aube, pendu par les pieds à une branche de platane, au milieu de la cour de son lycée. 980 élèves suspects, sans compter le directeur, les profs et le reste du personnel, l’enquête s’annonce complexe. Pourquoi le meurtrier a-t-il pris le risque fou de cette mise en scène ? Y a-t-il un lien entre ce meurtre et le suicide d’une élève de seconde, victime d’un harcèlement brutal sur les réseaux sociaux quelques mois plus tôt ? Pour la commissaire Clara Di Lazio et son équipe, aucun indice ni aucune piste ne sont à négliger.
Sophie Adriansen écrit par tous les vents depuis longtemps, du long et du court. Depuis 2010, elle a publié une trentaine d’ouvrages en littérature générale et littérature jeunesse.
Depuis 2011, elle se consacre entièrement à l’écriture après une première vie dans laquelle les chiffres primaient sur les lettres. Formée à l’écriture cinématographique à la Fémis en 2013, elle a librement adapté en scénario son premier roman.
Auteur à succès en littérature jeunesse (plus de 200.000 exemplaires vendus), elle questionne notamment les libertés des femmes en littérature générale.
Elle anime des discussions autour des livres ainsi que des ateliers d’écriture en milieu scolaire. Elle intervient régulièrement dans des classes pour évoquer l’écriture et le métier d’écrivain avec les plus jeunes.
Elle a tenu pendant huit ans le blog de lecture Sophielit, finaliste du Prix ELLE 2011.
En 2018, elle fait partie des membres fondateurs de la Ligue des auteurs professionnels, rassemblement de professionnels de l’écriture désireux de construire les changements nécessaires pour sauver un métier en grand danger.
Quel malheur ! Maëlle a osé comparer son père à du sel… Peu impressionné et très susceptible, ce dernier est furieux car il n’accorde pas beaucoup de valeur à ce condiment. C’est donc tristement que Maëlle accompagne son copain Eliott en vacances sur l’île de Noirmoutier. Là-bas, le garçon lui fait découvrir les étapes de la récolte du sel auprès des paludiers. Grâce à ses nouvelles connaissances, Maëlle espère bien prouver à son père qu’il a tort et regagner ses faveurs… Parviendras-tu, avec Maëlle, à démontrer que le sel est essentiel à notre vie quotidienne ?
Yannick Agnel, né le 9 juin 1992 à Nîmes, est un nageur français spécialiste des épreuves de sprint et de demi-fond en nage libre (du 100 m au 400 m), double médaillé d’or lors des Jeux olympiques de Londres de 2012 sur le 200 mètres nage libre et le relais 4 × 100 mètres nage libre avec ses coéquipiers Gilot, Leveaux et Lefert, et double champion du monde sur les mêmes distances à Barcelone en 2013. Surnommé « Le Squale » en raison de son féroce appétit de compétitions, il est le seul nageur français de l’histoire à avoir glané deux titres sur des mêmes Jeux olympiques.
Mêlant éléments réellement vécus et ingrédients de pure fiction, ce roman original s’inspire de l’adolescence du champion de natation Yannick Agnel.
Inspirée et inspirante, l’histoire de Yann s’adresse à tous les lecteurs.
Sur la terre ferme, Yann ne sait pas bien quoi faire de son corps. Mais heureusement, il y a l’eau.
Plonger plus loin, nager devant, arrêter le chrono en premier : c’est sa vie. «Big Feet», comme le surnomment ses proches, n’a pas peur de vivre loin des siens : il débarque à Nice, et se sent vite comme un poisson dans l’eau au sein du centre aquatique de Nice. La mélancolie ? Très peu pour lui !
Ce qui compte, c’est nager contre chaque dixième de seconde. Battre tous les records. Ne jamais s’arrêter.
Mais la vie vous réserve parfois de drôles de plongeons…
Je vis à vingt kilomètres au sud de Paris, en Essonne. Après avoir commencé à dessiner très tôt je me dirige très naturellement vers des études supérieures d’électronique. Je travaille dans le domaine de la mesure électronique puis me réoriente vers la bande dessinée. En parallèle de la réalisation d’albums j’enseigne et anime des ateliers de bande dessinée dans des écoles et en collège.
Lance Crow Dog est un «sangs mêlés», un métis. pas l’idéal quand on est agent du F.B.i. ! pour les flics, il n’est qu’un indien. pour les indiens, il n’est qu’un flic blanc. Alors, il encaisse. Des deux côtés. il traîne sa mélancolie et ses doutes existentiels en solitaire jusqu’au jour où ses supérieurs l’obligent à faire équipe avec la séduisante agente Helen CAtWriGHt. Voici, enfin réédités et restaurés, les cinq premiers volumes de ce polar indianiste où la violence d’une Amérique blanche arrogante, où la cruelle réalité du racisme assumé contre les “natives”, où les inégalités dans leur plus insoutenable froideur… contrastent avec la sensibilité des deux principaux protagonistes.
Présent sur le salon du vendredi matin au dimanche après-midi
Après de brillantes études Maud Ankaoua mène tambour battant une prometteuse carrière dans le monde de l’entreprise quand elle se retrouve à deux doigts d’un burn-out. Elle éprouve alors le besoin vital de se reconnecter à ses valeurs fondamentales. En quatre jours elle organise son départ au Népal. Cinq semaines dans l’Himalaya avec un sherpa et… le silence ! Du désir de partager cette expérience fondatrice naît son premier roman “Kilomètre zéro, le chemin du bonheur”. Plus de 100.000 lecteurs l’ont déjà accompagnée sur ce chemin initiatique. Empreint de sagesse, d’humanité et d’optimisme, “Respire !” est son second roman.
Et s’il existait un Plan ? Si tout ce que nous vivions avait été placé sur notre chemin pour nous permettre de nous accomplir ? Malo, 30 ans, virtuose de la stratégie, est appelé à Bangkok pour redresser une entreprise en difficulté. Quelques semaines après son arrivée, il surprend une conversation qui l’anéantit : il ne lui resterait que peu de temps à vivre… Au moment où il perd tout espoir, une vieille dame lui propose un pacte étrange : en échange de 30 jours de la vie du jeune homme, elle le met au défi. Sera-t-il prêt à tenter une série d’expériences susceptibles de modifier le cours de son destin ? Malo accepte et le voilà embarqué dans un incroyable périple aux saveurs et aux parfums de la Thaïlande, au terme duquel il pourrait découvrir l’ultime vérité. Plus qu’un roman, “Respire !” se lit comme un véritable livre d’accompagnement, convie à un voyage vers soi, vers le sens profond de notre existence. Il nous invite à transformer notre passé en force pour dépasser nos peurs et vivre la vie qui nous inspire.
Née en 1978, Sofia Aouine est autodidacte. Aujourd’hui journaliste radio et documentariste, elle publie son premier roman, Rhapsodie des oubliés.
Tout commence dans les rues de la Goutte d’Or, de nos jours. Influencée par L’Assommoir de Zola, qui narre le quotidien de ce quartier populaire et ouvrier, Sofia Aouine dévoile la vie d’Abad, un jeune garçon de treize ans malicieux et turbulent. Comme Antoine Doinel dans Les Quatre-cents coups de Truffaut, Abad rêve d’un avenir meilleur. Mais dans cette jungle urbaine où une population démunie et bigarrée tente tant bien que mal de cohabiter, ses aspirations sont vite reclassées au rang des illusions perdues. Pourtant, des échappées pour s’extirper de ce monde étouffant se dessinent et parmi elles, la découverte du désir et de la sexualité. Quitte à outrepasser les règles, quitte à en imposer d’autres pour faire son propre apprentissage de la vie.
Le mot « rhapsodie » vient du grec ancien et signifie littéralement « couture de chants ». À la manière d’un rhapsode, Sofia Aouine suture les mots, coud ensemble les vies de ses différents personnages et fait ainsi chanter la langue. Avec ce premier roman, elle révèle un talent de conteur grandiose, un style singulier, carnassier et prodigieux.
Né un jour de Juin 1976 à Toulouse, lors d’une grosses année de canicule, il commence son exploration du dessin à l’adolescence, par des reproductions aux pastels secs de photos d’animaux. Au collège, il s‘intéresse à la BD lors d’ateliers tenus pendant la pause du midi. Il intègre d’autres ateliers extra scolaires avec les interventions d’auteurs de tous styles (Serge Carrère, Boëm, Marc N’Guessan, Gilles Gonord et Gani Jakupi pour les plus récurents) qui lui font découvrir des univers graphiques insoupçonnés. En la toute fin du siècle dernier, la rencontre avec Christophe Gibelin débouche sur Le Vieux Ferrand, un polar rural Français paru en trois volumes aux éditions Delcourt. Après cela, viennent quelques histoires courtes commandées par Spirou. Suite à une remise en question de l’envie de faire de la BD. Le dessin animé fait son apparition, mais après huit années passées à réaliser des décors traits chez Ankama, le retour à la BD se fait pressant.
La proposition de Grand Angle de dessiner La Ballade de Dusty sur un scénario d’Aurélien Ducoudray tombe alors à pic et le coup de cœur pour cette histoire est immédiat.
Tout ce que vous allez lire est vrai… sauf l’histoire !
Lucienne et Georges, deux sexagénaires campagnards vivent dans leur petit village de La Rondière où Georges répare son infatigable tracteur et Lucienne s’occupe des tâches quotidiennes. Elle apaise un peu le deuil de son unique fils en parrainant des enfants défavorisés dans le monde entier. Lorsque le facteur amène à Lucienne une lettre annonçant qu’elle est la grande gagnante du jeu-concours des magasins Outillor, sa vie va être bouleversée. Avec le premier prix de 200 000 euros, elle aurait enfin de quoi parrainer tous les enfants nécessiteux de la Terre…
Originaire de Bordeaux, Marie-Claude Aristégui a été journaliste-pigiste pour plusieurs titres (dont Sud Ouest, Midi Libre et Libération) à Toulouse. Puis journaliste à Sud Ouest titularisée à Périgueux. Chef de la rédaction à Pau, elle a ensuite travaillé à Bordeaux où elle a été nommée grand reporter. En 2007 elle est arrivée en Charente-Maritime. Elle a d’abord dirigé l’agence de Rochefort avant de rejoindre la rédaction de La Rochelle (2010 à 2018) où elle a traité l’actualité en général, mais surtout politique, comme dans ses précédents postes.
« Je peux tuer qui je veux. Croyez-moi, c’est bien agréable. » Cette plaisanterie d’un goût douteux va bouleverser la vie de son auteur, Nicolas Villandry. Le médecin palois est romancier à ses heures. Alors, quand au lendemain de sa causerie dans un village sans histoires, un homme est poignardé devant son hôtel, il va se retrouver malgré lui au cœur de l’enquête. D’autant qu’un corbeau lance les gendarmes sur la piste d’un passé enfoui, que le polar de Villandry vient justement de ressusciter… Cette fiction psychologique, et néanmoins teintée d’humour, emmène le lecteur à Pau, en Chalosse dans les Landes, à Biarritz, mais aussi à Bordeaux et à La Rochelle. Le monde contemporain s’y télescope avec la vie d’autrefois, jusqu’à la révélation du secret qui a conduit au drame.
Ingela est une artiste suédoise. D’abord reconnue pour ses collaborations avec des marques de design comme Ferm Living ou Omm Design, elle est aujourd’hui une artiste incontournable dont le talent s’exerce dans tous les domaines. Elle a récemment travaillé pour Djeco, Vilac, ou encore le Musée d’Art moderne de Stockholm, ville où elle vit avec son mari et leurs deux fils. Francophone et «gallophile», elle vient souvent en France.
Où est caché le lapereau ? Et le chaton ? Et toi, où es-tu ?
Soulève les volets en feutrine et joue à cache-cache avec les bébés animaux !
Sophie Astrabie a 26 ans. Originaire d’Albi, elle vit maintenant à Lille. Après avoir travaillé dans le marketing, elle se consacre aujourd’hui à l’écriture.
Camille, jeune fleuriste qui rêve sa vie, visite des appartements qu’elle n’a aucune intention d’acheter. Marguerite, quatre-vingt-sept ans, met en vente son appartement qu’elle s’est pourtant juré de ne jamais quitter. Derrière leurs fenêtres qui se font face, dans cette rue parisienne, la vie de l’une n’apparaît à l’autre qu’en reflet. Les mensonges de Camille à son entourage et les secrets de Marguerite enfouis soigneusement depuis l’enfance se croisent et se répondent. Comment prendre sa vie à bras-le-corps quand on a décidé d’en vivre une autre ?
Jérôme Attal est écrivain romancier, auteur-compositeur-interprète, parolier, scénariste.
Depuis deux ans, il écrit avec succès pour la jeunesse, des albums et romans illustrés, accompagnés de disques de chansons dont il écrit également les paroles : Le goéland qui fait miaou et La princesse qui rêvait d’être une petite fille.
Il a deux projets jeunesse en cours qui sortiront en 2020. L’un avec Fred Bernard, Alcie et la forêt des fantômes chagrins aux Editions Robert Laffont (mars 2020), et un autre titre en septembre. Chacun de ces projets jeunesse donne naissance à un spectacle vivant.
Il a publié une douzaine de romans dont les cinq derniers aux éditions Robert Laffont, Les jonquilles de Green Park et 37, étoiles filantes ont obtenu chacun deux prix littéraires et figuré dans les coups de cœur de nombreux libraires.
Auteur, compositeur, interprète, depuis quinze ans, il écrit des paroles de chansons plébiscitées par de nombreux artistes, notamment : Johnny Hallyday (trois chansons dont une sur l’ultime album), Florent Pagny, Vanessa Paradis, Jenifer, Garou, Kids United…
Né en Vendée en 1953, Philippe AUDUREAU vit aujourd’hui dans la métropole nantaise. Sa première publication est un recueil de nouvelles primées à différents concours. Même les étoiles ont pâli est son deuxième roman.
Au décès de sa mère, Anatole quitte son travail de régisseur au domaine d’Albret et part sur les chemins de France. La jument Philomène et le chien Socrate représentent désormais son unique famille. Dans sa roulotte, onguents et potions médicinales abondent pour soigner les bonnes gens. Dans un village du Bas-Poitou, il est accueilli chez les Verger qui lui renvoient l’image de ce qui lui manque cruellement : une vraie famille. Après maints démêlés, un coup du sort ternira sa réputation et changera le fil de son existence.
Philippe Ayraud, est professeur de Lettres dans la « fausse vie ». Dans la vraie, il a publié quatre recueils de nouvelles, et sept recueils de poèmes. Depuis quelques années, il se consacre de plus en plus à des lectures publiques de ses textes et des auteurs qu’il apprécie, et anime des rencontres en librairies ou médiathèques.
Il nous conte l’infamie des temps modernes, « la mémoire des vaincus en série sur Netflix ». Chez ce faiseur de rimes, il y a aussi la tendresse de la « petite fleur de bitume », parfois de la désespérance : « voici venir rien du tout / je suis tombé dans un putain de trou ». Découvrez qui est le renard prédateur, peut-être alors, vous aussi, serez dans l’angoissante attente de Quand viendra le Renard…
Né en 1975 à Strasbourg, Thomas Baas est diplômé en 2000 des Arts Décoratifs de la ville (atelier de Claude Lapointe). Il est à la fois illustrateur et affichiste, travaillant aussi bien pour des maisons d’édition jeunesse que pour la presse enfantine. Humour, tendresse, personnages un brin rétros, couleurs soigneusement choisies, typos ciselées caractérisent son style sophistiqué.
Ernest a dix ans. Dix ans de vide : sa mère est morte le jour de sa naissance et son père a disparu. Dix ans d’ennui : sa vie avec sa grand-mère, prénommée Précieuse, n’a rien de très exaltant : école, goûter, devoirs, soupe. Pas de téléphone, pas de télévision. Seule distraction : une mystérieuse lettre que le grand-père d’Ernest avait envoyée du front pendant la guerre, une lettre indéchiffrable. Ernest est bon élève, solitaire et taciturne, pour ne pas dire muet. Jusqu’au jour où Victoire de Montardent arrive dans sa classe et jette son dévolu sur lui. Car Ernest est beau, ce que les autres filles de la classe avaient déjà remarqué…
Olivier Bal a été journaliste pendant une quinzaine d’années. Après avoir travaillé dans différents titres de la presse généraliste et culturelle, et beaucoup voyagé pour ses reportages, il a animé un événement culturel emblématique : les Masterclass à la Cité des sciences et de l’industrie de Paris.
Olivier Bal se consacre aujourd’hui pleinement à l’écriture. Les Limbes, un thriller fantastique, est son premier roman. Best-seller de l’auto-édition, il a d’abord conquis des milliers de lecteurs avant d’être édité en 2018 par les éditions De Saxus. Les Limbes a reçu le Prix Méditerranée Polar 2018 du premier roman et le Prix Découverte 2018 des Géants du Polar. Il est suivi par Le Maître des Limbes (Prix des Géants du Polar), publié en 2019 chez le même éditeur. Olivier Bal est également l’auteur de L’Affaire Clara Miller, paru chez XO Éditions en 2020.
Son cadavre est remonté, comme celui d’autres femmes, à la surface de l’eau. Six au total…
Là-bas, dans les forêts du New Hampshire, le lieu maudit porte un nom : le lac aux Suicidées.
Clara Miller était journaliste. Comme Paul Green, le reporter du Globe qui débarque sur l’affaire. Il avait connu Clara étudiante, et ne croit pas un instant à la thèse du suicide.
Un homme l’intrigue : Mike Stilth, l’immense rock star retranchée à quelques kilomètres de là, à Lost Lakes, dans un manoir transformé en forteresse.
L’artiste y vit entouré d’une poignée de fidèles, dont Joan Harlow, redoutable attachée de presse qui veille sur son intimité et se bat comme une lionne dès que l’empire Stilth est attaqué.
Mais Paul, lui, a tout son temps. Dans sa vieille Ford déglinguée, il tourne inlassablement autour du domaine. Avec cette question : et si, du manoir, la route menait directement au lac ?
Isabelle Bary, née Camerlynck le 27 octobre 1968 est une écrivaine belge d’expression française. Ingénieure commerciale de formation (Solvay, ULB, 1991), elle se consacre désormais principalement à l’écriture. Romancière et conférencière, elle collabore également à des œuvres littéraires collectives, anime des stages et des ateliers d’écriture pour des écrivains en devenir.
Martin Leroy, quinze ans six mois et vingt-deux jours, vient de recevoir un étrange cadeau : un paquet de feuilles reliées. Il croit d’abord à une farce – on ne lit plus de livres en 2050 –, mais lorsqu’il découvre sur la première page la dédicace À mon petit zébron Marty, il est pris d’un véritable tremblement. Au risque de paraître ringard, il entame clandestinement la lecture de ce texte qui dévoile la vie mystérieuse et bouleversée d’un enfant Haut Potentiel dans les années 2010 et celle de sa mère touchante et burlesque à la fois… Il comprend peu à peu qu’il n’est pas étranger aux secrets bien gardés que renferme le récit.
On les appelle HP, HPI, surdoués, précoces, zèbres… Comme la plupart d’entre nous, Isabelle Bary ignorait tout de leur monde extra-ordinaire avant d’y être inopinément plongée. À l’abri de toute prétention, avec tendresse, humour et fantaisie, Zebraska tente de démystifier ces enfants pas comme les autres, menottés à des clichés fumistes et si souvent incompris.
Un roman où se reconnaîtront en souriant tous les parents soucieux de léguer tant bien que mal leur héritage à leurs enfants.
N.C. Bastian vit en région parisienne, la tête dans les nuages et fourmillant sans cesse de nouvelles idées. Elle a toujours aimé se plonger dans les livres et a découvert sa passion pour l’écriture à l’âge de 12 ans. Elle trouve son inspiration dans la vie de tous les jours, dans ses lectures ou dans les films. Elle aime s’évader et adore l’idée de pouvoir faire rêver les autres.
Être la fille d’un puissant et dangereux mafieux californien n’a rien d’enviable. Lila sait que certaines personnes envient sa position privilégiée mais la vérité est toute autre. Surveillée sans cesse par les hommes de son père, elle n’a aucune liberté. Aucune vie privée. Et aucun espoir depuis qu’Evan, son ami d’enfance et le seul qui l’appréciait tout en ignorant qui elle était, a été tué à cause d’elle. Alors, lorsqu’Evan réapparaît sept ans plus tard, Lila est déchirée entre l’envie de se jeter dans ses bras et la terreur de le voir à nouveau menacé par son père. Sera-t-elle prête à risquer la vie de l’homme qu’elle aime ? Mais le danger vient-il seulement d’elle… ou de l’homme qu’il est devenu ?
Après des études à Sciences Po Paris, Claire Bauchart a réalisé des documentaires, diffusés notamment sur Teva et La Deux (RTBF). Elle a également travaillé aux services économiques des quotidiens L’Opinion et Les Echos. Elle est actuellement journaliste pour le magazine ELLE.
Journaliste de l’influent hebdomadaire En Avant, Pascaline Elbert vient d’être promue responsable du service politique. Cette femme de caractère, « temporairement » séparée, doit tout mener de front : piloter des enquêtes d’envergure, supporter la jalousie de ses confrères ou le regard culpabilisant de la nounou quand elle est en retard, sans oublier les nuits entrecoupées par les pleurs de sa fille… Sa vie est un désordre savamment orchestré, mais Pascaline ne se laisse jamais abattre ! En s’emparant d’un dossier brûlant qui mêle le très populaire ministre de l’Économie Stéphane Toxandrie, un dirigeant d’entreprise de premier plan et un romancier en mal de reconnaissance, elle va révéler au grand jour leurs liens troubles et leurs aspirations aussi insatiables que dévorantes…
Né à Paris dans une famille bretonne (ses parents tenaient au début des années 1950 une ferme à La Défense), Hervé Bellec revient au « pays » dans les années 1970, porté par la vague celtique et nourri par les espoirs de la Beat Generation. Installé à Brest, il est un peu musicien, un peu étudiant, et surtout barman pendant de longues années avant d’entamer une carrière de professeur d’histoire-géographie. Il est l’auteur d’une vingtaine de livres qui parlent avec tendresse et humour de ses voyages, de sa Bretagne, de ses rencontres. Son récit La Nuit Blanche par chez Nil en 2000, lui a valu le prix Edmond et Tristan Corbières.
Ludivine est « quéreur de pardons », c’est-à-dire qu’elle accomplit des pèlerinages religieux par procuration en échange de rétribution financière (c’était une fonction connue au Moyen Age et jusqu’au XIXe siècle, pas impossible qu’il y ait encore des personnes qui fassent ce « métier »). Baptiste est un musicien de talent, qui a un certain renom et qui suite à une sorte de burn out (il ne peut plus toucher sa trompette) décide sous l’insistance de ses filles d’aller à pied à Saint-Jacques-de-Compostelle. En chemin, Baptiste rencontre par hasard cette Ludivine à Sainte-Anne d’Auray (Morbihan). Il l’accompagne un peu sur sa marche puis, au moment où leurs chemins doivent se séparer, décide d’abandonner Compostelle pour la suivre dans ses pérégrinations. S’en suit un road-trip qui va les mener d’un monastère à l’autre et d’un sanctuaire à l’autre (Bretagne, Mayenne, Normandie, Mont-Saint-Michel…).
Bien évidemment, une relation amoureuse très ambigüe va s’installer entre eux, tantôt cocasse, tantôt un tantinet romantique, avec un dénouement forcément tragique. En toile de fond, une réflexion sur l’adhésion à des modes de vie que nous imposent nos sociétés contemporaines, sur le choix entre l’isolement volontaire ou la vie en communauté ou en couple. Et puis, comme toujours, une ode à la nature et à l’aventure.
Baptiste à la fin du livre se décide à raconter, quelques années plus tard, à ses filles cette « belle histoire » qu’il leur avait cachée.
Mère de trois enfants, Ines Benaroya est chef d’entreprise installée dans la région parisienne.
Passionnée de littérature, elle s’inscrit à des ateliers d’écriture qui aiguisent son style et lui donnent peu à peu l’envie de se lancer dans l’aventure de son premier roman, Dans la remise (2014).
Pendant un été torride, entre la France et la Grèce, une famille se trouve confrontée à ses démons présents et passés.
Rachid Benzine est enseignant, islamologue et chercheur associé au Fonds Ricœur, auteur de nombreux essais dont le dernier est un dialogue avec Delphine Horvilleur, Des mille et une façons d’être juif ou musulman (Seuil). Sa pièce Lettres à Nour a été mise en scène avec succès dans plusieurs pays. Ainsi parlait ma mère, son premier roman, est la révélation d’un écrivain.
« Vous vous demandez sans doute ce que je fais dans la chambre de ma mère. Moi, le professeur de lettres de l’Université catholique de Louvain. Qui n’a jamais trouvé à se marier. Attendant, un livre à la main, le réveil possible de sa génitrice. Une maman fatiguée, lassée, ravinée par la vie et ses aléas. La Peau de chagrin, de Balzac, c’est le titre de cet ouvrage. Une édition ancienne, usée jusqu’à en effacer l’encre par endroits. Ma mère ne sait pas lire. Elle aurait pu porter son intérêt sur des centaines de milliers d’autres ouvrages. Alors pourquoi celui-là ? Je ne sais pas. Je n’ai jamais su. Elle ne le sait pas elle-même. Mais c’est bien celui-ci dont elle me demande la lecture à chaque moment de la journée où elle se sent disponible, où elle a besoin d’être apaisée, où elle a envie tout simplement de profiter un peu de la vie. Et de son fils. »
Signature incontournable de la littérature jeunesse contemporaine, Fred Bernard est né en Bourgogne en 1969. Passionné par la nature, il serait sans doute devenu vétérinaire ou explorateur s’il n’avait pas été reçu au concours des Beaux-Arts de Beaune. Puis il suit les cours de l’école Émile Cohl à Lyon où il fait la connaissance, en 1991, de son ami et futur collaborateur François Roca.
En 1996, il publie ses premiers albums jeunesse : Mon ami crocodile, chez Albin Michel Jeunesse comme auteur-illustrateur, et remporte ensuite plusieurs prix avec François Roca. Ses histoires sont traduites dans de nombreux pays.
C’est en 2001 qu’il écrit et dessine sa première bande dessinée avec le début des aventures de Jeanne Picquigny. Infatigable conteur et curieux, il adore essayer tous les types d’écrits et joue de ses modèles pour mieux les réinventer.
Fred Bernard a été nommé Chevalier des Arts & des Lettres pour 23 albums jeunesse réalisés en 20 ans.
Delphine Bertholon est née à Lyon en 1976. Après une maîtrise de Lettres Modernes, elle monte à Paris rejoindre des amis réalisateurs, devient scénariste, puis romancière. Elle publie en 2007 Cabine Commune (JC Lattès). Suivront Twist, L’effet Larsen, Grâce, Le soleil à mes pieds, Les corps inutiles et Cœur-Naufrage. Elle publie également pour la jeunesse : Ma vie en noir et blanc (Rageot, 2016) et Celle qui marche la nuit (Albin Michel, 2019)
« Nous sommes donc arrivés à destination sous une pluie battante. Il était seize heures, mais on aurait dit qu’il faisait nuit. Une pancarte en bois piqué annonçait : « La Maison des Pins ». Elle se balançait, lugubre, grinçait dans le vent ; on se serait cru dans un bouquin de Stephen King. »
Malo, 15 ans, déménage, et doit quitter à regret son quotidien parisien. Aussitôt installé dans le sud de la France, il est gagné par l’angoisse. La Maison des Pins, isolée au milieu des bois, semble tout métamorphoser. Les parents de Malo sont absorbés par les travaux de rénovation, Jeanne, sa petite sœur, se réveille en hurlant, parle aux murs et s’est liée d’amitié avec une jeune fille… qu’elle est la seule à voir. Lorsque Malo découvre une vieille cassette audio, vestige d’un passé qui exige de refaire surface, l’adolescent décide de percer, coûte que coûte, le terrible secret qui hante la demeure.
À partir de 12 ans.
Odile Berthomeau, fille de petits culti-vateurs, a passé son enfance dans le bocage vendéen. Après un baccalauréat technique de biochimie, elle a travaillé dans des laboratoires d’analyses mé-dicales. Aujourd’hui à la retraite, elle retrouve ses racines paysannes. Ce livreest son premier roman. Elle vit en Vendée.
Récit du destin tragique d’une jeune vendéenne envoyée à l’asile durant la Seconde Guerre mondiale. L’auteure relate l’histoire de Marie, fille de pay-sans vendéens qui, après s’être amourachée d’un homme d’un autre rang que le sien, sombre dans la dépression. Ses proches se plaignent du comportement de Marie et elle inquiète les gens d’église et la mai-rie, qui proposent alors à sa mère de l’envoyer à l’asile, ce qu’elle accepte.
Frédéric Bischoff est âgé de 54 ans et diplômé de Sciences-Po Paris. Après de courtes expériences au sein de partis politiques, il s’est tourné vers la voie associative, plus concrète, en rejoignant le Réseau Education Sans Frontières et en co-fondant une association d’aide aux familles migrantes.
Il a par ailleurs occupé des postes de direction dans plusieurs groupes internationaux, le plus souvent à l’étranger où il a vécu 17 ans dans six pays différents. Voyageur ouvert sur le monde il a également parcouru près de 20 000 km à vélo dans une douzaine de pays.
La démocratie, un organisme vivant ? Une approche originale qui se propose d’en analyser les mécanismes et les dysfonctionnements.
Jean-Luc Bizien est né en 1963 à Phnom-Penh où il a vécu une partie de son enfance. Entré à l’École Normale de Caen en 1984, il y découvre les jeux de société et en particulier les jeux de rôle. Depuis, il s’en inspire dans ses classes, les adaptant dans une méthode pédagogique toute personnelle.
Il écrit son premier jeu de rôle en 1989. Il sera publié la même année et le second, Chimères, obtiendra le prix du Jeu de rôle de l’année en 1994. Ce fut pour lui l’occasion de rencontrer Didier Graffet, jeune dessinateur qui est devenu son complice dans la création d’ouvrages de la collection « Vivez l’aventure » aux éditions Gründ.
Étrange message que Matthew Slides reçoit à son domicile !
Le texte est codé, au point qu’il faut faire appel aux talents de Sonny Boy pour en saisir le sens.
Et voilà que l’ancien avocat d’affaires est rattrapé par son passé : un vieil ami, perdu de vue depuis des lustres, l’appelle au secours depuis la Russie. Il se dit menacé par les services secrets et bientôt arrêté.
Si tel est le cas, le malheureux risque d’être condamné pour espionnage… et exécuté sans que quiconque ait vent de sa terrible situation.
Pour lui venir en aide, une seule solution : embarquer pour Moscou et découvrir de quoi il retourne. Ce que Justin Case n’hésite pas à faire. Le jeune milliardaire saute dans son jet en compagnie de ses compagnons.
Destination ?
L’ancien paradis des espions !
Révélée par la série phénomène « Dear You » et confirmée par le succès de chacun de ses nouveaux titres, Emily Blaine est devenue, avec plus de 500 000 exemplaires vendus, la reine incontestée de la romance moderne à la française.
Bretonne de cœur et parisienne d’adoption, elle envisage l’écriture comme un plaisir et, malgré son succès impressionnant, met un point d’honneur à rester proche de ses lectrices et à ne pas se prendre trop au sérieux.
Il paraît que « les opposés s’attirent ».
Il paraît que « qui se ressemble s’assemble ».
Il paraît que les Jedi préfèrent les blondes.
Et il paraît aussi qu’on évite les otites en se fourrant un oignon dans l’oreille. Les proverbes, Ashley s’en méfie depuis qu’elle a eu l’occasion de constater qu’un de perdu, c’était un de perdu. Mais, depuis que Ben est entré dans sa vie et s’est installé dans l’appartement qu’elle partageait jusque-là avec sa meilleure amie, elle en viendrait presque à accepter l’idée qu’elle n’est pas condamnée à passer toute son existence en solitaire. Ben est si drôle, Ben est si touchant, Ben est si… Ben est un ami. Et il doit le rester. L’amour, ça finit toujours mal, et il est hors de question de risquer leur amitié pour une relation sans lendemain. Pour elle, c’est clair, ils sont amis. Et colocs. Et rien d’autre. Mais il paraît que Ben ne l’entend pas de cette façon…
« Un très bon roman où les sentiments sont présents, mais avec néanmoins une bonne dose d’humour et de tendresse» – Les livres en folie
Fabienne Blanchut est auteure de livres pour enfants et scénariste de télévision française.
Elle est née le 22 février 1974 à Grenoble. Après une maîtrise en Histoire sociale et culturelle à l’Université de Grenoble, elle entreprend un DEA de Sciences sociales à Jussieu mais ne trouve finalement sa voie qu’après un DESS en Audiovisuel et édition à la Sorbonne.
Alors en stage de fin d’études à TF1, Janine Langlois-Glandier la fait venir auprès d’elle au CSA, en qualité d’assistante personnelle. Elle y restera un an avant d’être rappelée par TF1 qui lui propose le Poste d’Observatoire de la Concurrence au service de la Programmation. En parallèle, elle commence à proposer divers projets d’émissions.
En 2004, Fabienne Blanchut commence à écrire des histoires pour les enfants. Depuis 2005, elle partage son temps entre Paris et Bruxelles où elle effectue des missions de consultance pour des chaînes de télé ou en production. Elle écrit des concepts d’émissions télé et travaille sur ses projets littéraires qui vont de l’album au roman jeunesse. En octobre 2016, elle devient directrice de collection pour les Editions Leducs avec la collection Destins Extraordinaires, parrainée par Gilbert Sinoué.
Walter est un enquêteur hors pair. Il est ainsi appelé par la bibliothécaire en chef, car la première encyclopédie du Gruyère a disparu! Et ça,c’est une enquête pour Walter…qui s’en va résoudre le mystère. Mais qui est le coupable?
Luc Blanvillain est père de trois enfants, enseigne le français à Lannion et a déjà publié quelques romans pour la jeunesse, dont le remarqué Crimes et jeans slim.
Il se régale à mettre en scène élèves, parents et enseignants, ce trio infernal qu’il fréquente assidûment.
« Le monde est ma principale source d’inspiration. Je le fais juste tourner un peu plus vite ou moins rond. »
Maxence et Victor sont meilleurs amis depuis toujours. En septembre, ils rentreront au lycée. Mais avant, ils souhaitent marquer le coup et profiter de cet été à fond. Une dernière fois, Victor arrive à convaincre son “vieux pote” de se lancer dans une nouvelle aventure. Ils vont s’introduire dans un ancien manoir, le seul lieu qu’ils n’ont pas encore visité dans le village où ils ont grandi…
Maxence se demande dans quelle histoire il s’est encore laissé entraîné !
Mais une aventure plus grande les attend et leur été va être bouleversé… Ont-ils bien fait de pousser la porte du manoir aux mystères .
Entre secrets de famille, amitié et premier amour, les deux garçons ne sont pas au bout de leurs surprises !
Journaliste de presse régionale, Frédéric Bodin revient avec ” Meurtres aux Sables, les disparus du pont de la Chaume ” là-même où il a débuté sa vie professionnelle, à la rédaction de Presse-Océan/Vendée Matin. Il signe son troisième roman dans la collection Le Geste noir, après ” Meurtres à Niort, une affaire d’État ” (2016) et” Meurtres à La Rochelle, le mystère de la Reine de Guinée ” (2018).
Le 7 novembre 1978, le pont reliant Les Sables-d’Olonne au quartier de La Chaume était fermé et détruit de façon inopinée, privant les Chaumois et les Sablais d’un accès rapide à l’autre partie de la ville. Quarante ans après, jour pour jour, des ossements sont découverts à l’emplacement de l’ancien pont. Cette date ne tient pas du hasard estime tout de suite le commissaire Alexandre Roullin chargé de l’enquête. Celle-ci ramène le lecteur dans les années soixante-dix, époque de la construction de Port-Olona, avec des enjeux économique importants.
Janine Boissard est l’auteur d’environ trente-cinq livres, dont : une autobiographie Vous Verrez… Vous m’aimerez (Plon, 1987), une grande saga familiale, L’Esprit de famille, tomes I à VI (Fayard, 1977-1984), et plusieurs oeuvres romanesques. Elle a notamment publié Une Femme neuve (Fayard, 1981), Croisière (Fayard, 1987), Bébé couple (Fayard, 1997), La Maison des enfants (Robert Laffont, 2000), Priez pour petit Paul (Fayard, 2001), Recherche grand-mère désespérément (Fayard, 2002), Histoire d’amour (Robert Laffont, 2003), La Chaloupe, tome 1: Le Talisman (Robert Laffont, 2005), La Chaloupe, tome 2: L’Aventurine (Robert Laffont, 2005) et Laisse-moi te dire (Fayard, 2006). Janine Boissard a été décorée des Palmes Académiques pour son action auprès de la jeunesse.
Né en 1959, il a été très tôt marqué par deux années passées aux Antilles, où la mer et les parfums océaniques se sont combinés intimement aux soubresauts de son histoire familiale. Le retour en France se fait à Nantes, où la vie l’ancre pour une très longue période : enfance, adolescence et cette première étape de l’âge adulte où les choix déterminants se font. La médecine en est un, la psychiatrie particulièrement, avec cette attirance ancienne pour l’autre différent, le parcours de vie singulier, la façon dont chaque individu s’arrange ou non avec son histoire et celle des autres autour de lui. Le désir d’écrire naît à ce moment là. Il s’agit de retrouver et de prolonger cet espace de liberté, de rêverie et de connaissance de soi que lui a toujours apporté la lecture. Depuis presque vingt ans maintenant, il s’est installé en Vendée, pas bien loin de l’océan, de ce littoral atlantique qu’il continue à parcourir du pays basque à la pointe bretonne et où se situent pour une grande part ses romans.
La côte atlantique, une maison au bord des marais, des perspectives qui miroitent sous la lumière du ciel, et des éoliennes comme des sentinelles. L’endroit a un étrange pouvoir sur les êtres qui s’y croisent ou s’y retrouvent : conjuguer leurs désirs et libérer les secrets de leur existence. Paul, Blaise et Claire en feront l’expérience. Alors qu’ils s’entraînent avec régularité pour le marathon de Paris, c’est au bord de leur vie qu’ils vont soudain se mettre à courir.
Présent sur le salon du Samedi matin au Dimanche après-midi
Audrey Bouquet se familiarise avec l’univers de la littérature jeunesse grâce à ses enfants et son mari Fabien Öckto Lambert. Elle se lance donc dans l’écriture en 2016, et traite de sujets qui la touche, notamment l’écologie, la nature, la protection animale. Elle a été publiée chez de nombreux éditeurs.
Alors qu’elle gambade aux abords de son village adoré, Wendy découvre un paquet de biscuits vide par terre. Qui a osé commettre un tel crime ? Wendy décide de mener l’enquête en interrogeant tour à tour ses amis qui l’aident à démasquer le coupable.
Un album en randonnée plein d’humour qui sensibilisera les plus jeunes à l’écologie et à un geste bénéfique au quotidien pour notre planète : le tri sélectif.
Charlotte Bousquet a écrit une quarantaine d’ouvrages pour adultes et adolescents. Autrice éclectique, récompensée par de nombreux prix, elle est à l’aise dans tous les genres : anticipation (Le dernier ours), fiction contemporaine ou historique (Là où tombent les anges), fantasy ou bandes-dessinées (Mots Rumeurs, mots cutter). Ses récits, engagés, parfois âpres, laissent rarement indifférent. Avec Nos Vies suspendues, elle signe son premier roman aux éditions Scrineo.
Trois ans, déjà.
Trois ans qu’Anis court pour ne plus qu’on la rattrape.
Trois ans que Nora a préféré ralentir, pour s’arrêter de penser.
Trois ans que Milan s’en veut de n’avoir rien pu faire.
Trois ans que Steven a fermé les yeux, et qu’il avance dans le noir.
Cette nuit-là les a marqués à jamais.
Et chacun doit réapprendre à vivre, avec cette voix intérieure, qui ne les quitte pas.
Cette voix qui ne cesse de grandir et ne s’arrêtera pas de parler. Pas tant que les coupables n’auront pas payé.
Alors que le passé ne leur laisse aucun répit, comment retrouver le fil de leur vie suspendue ?
Franck Bouysse partage son enfance entre un appartement du lycée agricole où son père enseigne et la ferme familiale tenue par ses grands-parents. Il y passe ses soirées et ses week-ends, se passionne pour le travail de la terre, l’élevage des bêtes, apprend à pêcher, à braconner…Sa vocation pour l’écriture naîtra d’une grippe, alors qu’il n’est qu’adolescent. Sa mère, institutrice, lui offre trois livres pour l’occuper tandis qu’il doit garder le lit : L’Iliade et L’Odyssée, L’Île aux trésors et Les Enfants du capitaine Grant. Il ressort de ses lectures avec un objectif : raconter des histoires, lui aussi.
Grossir le ciel paraît en 2014 à La Manufacture de livres et, porté par les libraires, connaît un beau succès. La renommée de ce roman va grandissant : les prix littéraires s’accumulent, la critique s’intéresse à l’auteur, un projet d’adaptation cinématographique est lancé. Ce livre est un tournant. Au total, près de 100 000 exemplaires seront vendus. Suivront Plateau, puis Glaise, dont les succès confirment l’engouement des lecteurs et des professionnels pour cette œuvre singulière et puissante.
“Mon père, on va bientôt vous demander de bénir le corps d’une femme à l’asile.
— Et alors, qu’y-a-t-il d’extraordinaire à cela ? demandai-je.
— Sous sa robe, c’est là que je les ai cachés.
— De quoi parlez-vous ?
— Les cahiers… Ceux de Rose.”
Ainsi sortent de l’ombre les cahiers de Rose, ceux dans lesquels elle a raconté son histoire, cherchant à briser le secret dont on voulait couvrir son destin.
Franck Bouysse nous offre avec Né d’aucune femme la plus vibrante de ses œuvres.
Ce roman sensible et poignant confirme son immense talent à conter les failles et les grandeurs de l’âme humaine.
Plus connu sous le pseudo Ian Manook, Roy Braverman est l’auteur de la série à succès Yeruldelgger chez Albin Michel. Le premier opus de la série a été récompensé en 2014 par : le Prix des lectrices Elle, le Prix SNCF du Polar et le Prix Quais du Polar. Hunter est le premier titre d’une série de trois, à paraître chez Hugo Thriller sous le pseudo Roy Braverman.
Puissant comme un ouragan sur le bayou
Épicé comme un jambalaya créole
Enivrant comme un Ramos Gin Fizz
Endiablé comme un air de zydeco
Envoûtant comme le parfum des belles-de-nuit
Sensuel comme La Nouvelle-Orléans
Noir comme un roman de James Lee Burke
L’ouragan se déchaîne. Les bourrasques défoncent et emportent jusque sous le ciel noir tout ce qu’elles déchirent. Les traits de pluie, glacée et violente, fouettés par le vent, le cinglent comme autant de lanières. La pelouse est jonchée de projectiles hétéroclites qui retombent lourdement du ciel. Il pleut des barques, des barbecues, des poubelles.
Des lampadaires. Des remorques. Tout ce que l’ouragan arrache sur l’autre rive du bayou Teche, il le crache sur cette pelouse. Une baignoire se fiche dans un parterre de géraniums, à deux mètres à peine de l’homme qui sursaute.
C’est en se retournant pour voir à quoi d’autre s’attendre qu’il aperçoit l’alligator.
Un monstre de quatre bons mètres. Trois cent cinquante kilos de fausse pesanteur préhistorique. Caparaçonné d’une armure d’écailles cornées et de plaques osseuses.
Le crâne incrusté de coquillages. La plus puissante mâchoire sur Terre. Quinze fois celle d’un rottweiler.
On devine son flanc nacré enfoncé par les coups de boutoir de la tempête. Chaque bourrasque le percute de côté pour le retourner. Par instinct, il se plaque au sol et plante ses griffes cornées dans la terre qui s’emboue et fond sous le déluge. Son oeil d’ambre alerté par les mouvements de l’homme, le monstre se dresse sur ses courtes pattes, coudes écartés, pour mieux le voir de ses yeux myopes grand ouverts sous la pluie.
Le vent en profite aussitôt. Il se glisse sous son ventre d’ivoire, l’arrache du sol, et l’emporte avec lui dans son assaut contre la maison.
Paralysé par l’horreur, l’homme regarde l’alligator valdinguer à travers les airs droit sur lui, tournoyant sur lui-même, comme une simple bouée de piscine sous un vent de plage. Mais ce qui le frappe en pleine poitrine, ce sont trois cent cinquante kilos d’un animal blindé projeté par des vents de cent quatre-vingts kilomètres-heure. Le choc les projette cinq mètres plus loin dans la boue épaisse qu’est devenue la pelouse. L’homme y patauge aussitôt sur le dos, terrifié, et tente de se dégager du poids de l’alligator qui l’étouffe, tombé à l’envers en travers de sa poitrine. Mais, d’abord étourdi par le vol et le choc, le reptile retrouve vite ses instincts primaires. D’un coup de reins puissant, il se remet sur ses courtes pattes et se retourne face à l’homme, pétrifié par l’horreur à quatre pattes lui aussi. Les deux restent immobiles dans la tempête, la gueule et le visage lacérés par la pluie, abasourdis par le vent. Les yeux d’ambre et fendus de noir de l’alligator, sans aucune expression, comme absent du carnage qui s’annonce. Quand il amorce un imperceptible recul, le sicaire croit à sa chance. Une seconde. Une seule. Celle d’après, l’alligator se jette sur lui et sa gueule hérissée de crocs d’ivoire jaunis claque sur sa tête et lui déchire l’épaule et le crâne. Puis l’animal s’assure, de deux brusques mouvements de la tête en l’air, que l’homme hurlant ne lui échappera pas, et le traîne à reculons jusqu’à la berge du bayou. Pour le noyer dans son garde-manger, quelque part au fond de l’eau, profond sous les courants inondés.
Adèle Bréau est l’auteure de la trilogie initiée par La Cour des grandes, dont les droits ont été vendus à la télévision, et de L’Odeur de la colle en pot. Ancienne rédactrice en chef de Elle.fr, elle croque avec humour et férocité les petits travers de notre société sur son blog et dans de nombreux médias. Frangines est son cinquième roman.
Mathilde, Violette et Louise sont sœurs. Depuis l’enfance, elles vivent leurs plus belles heures à La Garrigue, la maison que leurs parents ont achetée à Saint-Rémy, quand le village était encore préservé du tourisme. Au fil des joies et des épreuves de la vie, un lien solide s’est noué entre Mathilde, éblouissante et dominatrice, Violette, la cadette, qui a grandi dans l’ombre de son aînée, et Louise, la benjamine, née bien des années plus tard.
Cet été, les frangines Carpentier se retrouvent toutes les trois à La Garrigue pour la première fois depuis le drame de l’année précédente. Entre petites exaspérations, grands chamboulements et secrets enfouis, les retrouvailles vont prendre des allures de thérapie familiale, où les rancœurs et les émotions se mêlent au soleil de cette Provence tant aimée.
Sarah Briand est journaliste sur France 2 et a réalisé plusieurs documentaires pour l’émission de Laurent Delahousse « Un Jour Un Destin ». Elle est l’auteure de Simone, éternelle rebelle (Fayard, 2015), un portrait inédit de Simone Veil largement salué par la presse et vendu à plus de 70 000 exemplaires.
Le 29 mai 1982, Romy Schneider s’est éteinte à l’âge de 43 ans. Que s’est-il passé la nuit de sa mort au 11, rue Barbet-de-Jouy, dans le VIIe arrondissement de Paris ?
Icône du cinéma français à la photogénie incroyable, que sait-on vraiment de Romy, de ses bonheurs, mais aussi de ses chagrins et de ses blessures, notamment depuis la mort de son fils quelques mois plus tôt ?
Sarah Briand a marché dans ses pas, du chalet de son enfance à Berchtesgaden en Allemagne, près du nid d’aigle d’Adolf Hitler, jusqu’à l’appartement parisien où elle a passé ses dernières heures, pour nous livrer une série d’instantanés de ces moments intimes.
Un portrait nourri de témoignages inédits d’amis, de réalisateurs, ses partenaires de cinéma et parfois de vie, comme celui qui fut son époux, Daniel Biasini, le père de sa fille Sarah, ou encore Alain Delon, qui rend pour la première fois, à la femme qu’il a aimée, un hommage exceptionnel.
Paul Bridier, né en 1978, est un passionné de la France à qui il consacre son action et sa plume. Auprès de personnalités du monde politique ou de décideurs locaux, il développe des projets destinés à mettre en valeur l’identité et le caractère de sites, d’histoires ou de territoires. Après avoir prêté son style empreint de poésie épique à divers ouvrages, il publie en 2019 son premier livre aux éditions Beaufort : « Au cœur de la guerre de Vendée ».
Entre récit historique et guide de voyage, ce livre documenté, richement illustré et accessible à tous, offre un nouveau regard sur les Guerres de Vendée. Construit comme une chronique au coeur de l’action, il propose au lecteur l’expérience immersive d’une épopée en terre de Géants. En 7 chapitres écrits à la manière d’un roman de chevalerie, il egrène les hauts faits, les hauts lieux et les hautes figures qui ont fait de l’insurrection vendéenne au temps de la Révolution, une méditation universelle pour les âges nouveaux. Un beau livre qu’on peut lire seul ou à haute voix, d’une traite ou lentement, et destiné à tenir bien en mains, pour le prendre avec soi sur les lieux des batailles.
« A travers ce livre aux allures de chanson de geste, vous allez découvrir l’histoire d’une épopée exemplaire, devenue un mythe fondateur. » Nicolas de Villiers, Président du Puy du Fou
Lauréate du Mazarine Book Day 2018 avec son roman L’habit ne fait pas le moineau, Zoe Brisby, diplômée en histoire de l’art, aime raconter des histoires mêlant humour et sagesse, rire et philosophie.
Brune a 35 ans et désespère de ne pas avoir d’enfant. Elle part au Danemark, accompagnée de sa meilleure amie Justine, une militante végane, dans une clinique de reproduction assistée afin de choisir le donneur idéal sur catalogue.
Évelyne Brisou-Pellen est née en Bretagne et, hormis un petit détour par le Maroc, elle y a passé le plus clair de son existence. Ses études de Lettres devaient la mener à une carrière de professeur mais, finalement, elle a préféré se raconter des histoires, imaginer la vie qui aurait pu être la sienne si elle avait vécu en d’autres temps, sous d’autres cieux.
Elle aime que ses histoires fassent rire, fassent peur, émeuvent, donnent à réfléchir. Elle aime partir dans des mondes nouveaux, d’autres temps, d’autres pays. Elle aime concocter des drames et des bouffonneries, le crayon à la main, bien au chaud, partir en voyage tranquillement installée devant son ordinateur, à surveiller du coin de l’œil les fleurs dans le jardin, sans craindre les grèves dans les aéroports.
Elle a écrit beaucoup de textes (plus de 170 à ce jour), des contes et des romans, publiés chez de divers éditeurs (Gallimard, Bayard, Hachette, Rageot, Nathan, Pocket, Milan, Casterman, Flammarion, Millefeuille, Coop Breizh, Belin…) Ses histoires se déroulent chez les Égyptiens ou les Aztèques, en Russie, au Japon ou en Chine, en Italie, en France, à toutes les époques, depuis la préhistoire jusqu’à nos jours.
Elle explore la vie sur terre et sous terre avec sa dernière série, JOHN ET LE ROYAUME D’EN BAS, s’est intéressée aux chiens qui aidaient les combattants de le Première Guerre mondiale dans MOI, VASCO, MESSAGER DE VERDUN, HÉROS SANS LE SAVOIR, et elle est aussi allée voir du côté de ceux qui refusent leur mort et arrivent à une curieuse destination : LE MANOIR.
Nous sommes en 1916.
Louis, 16 ans, fait de la contrebande, aidé de son chien Vasco.
Un matin, ils sont arrêtés par les gendarmes. Pour Vasco, c’est la mort assurée ! Afin de le sauver, Louis le confie à l’armée qui a besoin de chiens pour porter des messages, sauver les blessés ou défendre les tranchées. Loin de son maître, le pauvre Vasco se retrouve au front, au milieu des champs de mines. Pourtant, grâce à son courage et son ingéniosité, Vasco deviendra l’un des héros de la Première Guerre Mondiale.
D’origine vendéenne, Nadine Brisson exerce le métier d’assistante maternelle depuis 27 ans, tout en restant passionnée par le dessin et les loisirs créatifs.
Très attachée aux valeurs du bénévolat, elle s’est engagée auprès de différentes associations : les écoles, danse, périscolaire. Elle a créé l’association “les calinous” qui propose des activités pour les enfants âgés de O à 3 ans et est vice présidente de la Bruffière des Arts.
En 2003, elle intègre une association d’Arts et suis des cours de dessin, peinture pendant cinq ans auprès de Pierre le Cars, artiste peintre.
Aujourd’hui, elle partage son temps entre les enfants, la création personnelle et la transmission de sa passion à un groupe d’adultes depuis une dizaine d’années.
Agathe, Clémentine et Sophie sont trois carottes inséparables pas tout à fait comme les autres… Sous le regard bienveillant de leur ami le grand chêne, elles mènent une vie paisible en attendant d’être mangées mais pas avant d’avoir voyagé ! Le destin s’invite alors et entraîne nos trois carottes vers la plus belle histoire de leur vie…
Prendre son destin en main, accepter la différence et croire en ses rêves, voilà ce que nous réservent nos amies carottes. Accompagnées de trois navets avides de liberté et d’une famille lapin anticonformiste, elles nous prouvent que tout est possible et que la vie nous appartient… À nous d’en faire une aventure extraordinaire !
« Trois amies… pas tout à fait comme les autres ! » est né de deux coeurs et quatre mains. Professeur des écoles, Rita Rautureau aime entraîner ses élèves dans l’univers des belles histoires et partager avec eux la magie des mots et des images. Assistante maternelle, Nadine Brisson est passionnée par le dessin et la peinture. Vice-présidente de la Bruffière des Arts, elle partage son temps entre les enfants, la création et la transmission.
Ensemble, elles livrent une histoire touchante déclinée en deux albums illustrés, une version française pour les plus petits et une version bilingue français/anglais pour les plus grands.
Née en 1962 à Lorient, Virginie Caillé-Bastide a travaillée plus de trente ans dans la publicité. Après Le Sans Dieu, Le Sans Maître est son deuxième roman.
En 1720, au nord de la Bretagne, Côme de Plancoët mène une vie paisible dans la seigneurie qu’il administre avec bienveillance. Célibataire et sans héritier, sa situation étonne. Mais qu’importe, sa bienveillance fait taire les mauvaises langues.
Ses journées se partagent entre ses deux passions : l’équitation et la lecture. C’est d’ailleurs dans sa bibliothèque qu’il passe le plus clair de son temps. Avide de connaissances, il entretient une abondante correspondance dans toute l’Europe avec nombre de savants, dont certains témoignent d’une ouverture d’esprit dangereuse pour l’époque. Or il ignore qu’un ennemi puissant, cherchant à venger sa famille, lui voue une haine implacable et tisse un piège redoutable.
L’existence de Côme va voler en éclats et le conduire à croiser le chemin d’un druide sans âge aux pouvoirs étonnants, d’une jeune cavalière émérite au caractère bien trempé et des membres de sa famille ressurgissant du passé.
Un roman d’aventures qui nous embarque en terres bretonnes rythmé par la chevauchée d’un héros qui combat l’obscurantisme par la science et la vengeance par l’amour.
Photo Philippe Matsas/Leemage/editions Héloïse d’Ormesson
Originaire de Touraine, Georgia Caldera est écrivain et illustratrice. Elle est l’auteur de la série Les Larmes rouges, récompensée du prix Merlin 2012, ainsi que de Dentelle et nécromancie, De velours et d’acier, Nos chemins de travers, Hors de portée, Hors de question et Hors de contrôle. Georgia tient également un blog beauté/mode, lafilleauxcheveuxbleus.com
Dans le royaume de Cendrelune, les dieux épient les pensées des hommes, et leur Exécuteur, l’Ombre, veille à condamner tous ceux qui nourriraient des envies de rébellion.
Or, il semble que certaines failles existent. À l’âge de 17 ans, Céphise ne vit en effet que pour se venger. Depuis qu’on l’a amputée d’une partie d’elle-même et privée de sa famille, elle ne rêve plus que d’une chose : s’affranchir de la tyrannie du tout-puissant Orion, Dieu parmi les dieux. Et contre toute attente, il se pourrait qu’elle ne soit pas seule…
Mireille Calmel a l’habitude de dire que l’écriture lui a sauvé la vie. Car lorsque, à l’âge de 8 ans, elle tombe gravement malade et est déclarée perdue, Mireille commence à écrire, par besoin d’extérioriser sa peur, mais aussi parce qu’elle croit profondément que tant qu’elle écrira, elle ne mourra pas.
Et inexplicablement, bien que les médecins aient renoncé, la maladie régresse. Peu à peu, Mireille reprend des forces, recommence à marcher. Elle travaille avec acharnement ses cours par correspondance, sans jamais cesser d’écrire : 250 poèmes, des chansons, un roman… Ce n’est qu’à quinze ans qu’elle retrouve une vie pleinement normale. Elle ne pense plus qu’à écrire, lire, chanter, vivre à tout prix.
Elle écrit des chansons, des nouvelles, des pièces de théâtre, dont l’une destinée aux adolescents sera couronnée d’un prix, chante dans les bals populaires, organise un festival de théâtre, monte des spectacles sur différentes scènes à travers la France…
En 1995, elle dépose un dossier d’insertion et obtient le RMI pour écrire ce qui deviendra Le lit d’Aliénor. Cinq ans après, elle envoie son manuscrit à Bernard Fixot, avec qui elle signe son premier contrat. Et c’est le succès : plus de 100 000 exemplaires vendus en librairie en France, 800 000 exemplaires vendus dans le monde… Deux ans après, les héroïnes de son Bal des Louves rencontrent le même engouement auprès du public.
Mireille Calmel vit en Aquitaine, à Saint-Christoly-de-Blaye, avec son mari et ses enfants.
Juillet 1322. Royaume de France. ” Tous qui avez péché par orgueil, par cupidité. Oui, tous vous mourrez. Lors, Flore Dupin délivrera le baume sacré à qui, d’une autre lignée, l’aura mérité ! ”
Ainsi s’est abattue la malédiction sur les derniers Capétiens, coupables d’avoir fait brûler en place publique le grand maître de l’ordre du Temple. Charles IV doit à tout prix retrouver cette Flore qui détiendrait le secret des Templiers : la clé, pour tout souverain, de la bénédiction divine. Le début d’une traque implacable, des palais parisiens aux faubourgs de Londres.
Alors que l’étau se resserre autour de Flore, la rumeur enfle : et si la jeune femme avait pour mission de remettre le baume sacré au prince d’Angleterre ?
Un seul roi pour les deux royaumes.
L’ultime vengeance…
Des Rois maudits, une confrérie mystérieuse, des femmes de courage, Mireille Calmel nous révèle l’extraordinaire dénouement d’un grand roman d’aventure.
” Un beau roman d’aventure, au dénouement incroyable. ” Prima
Christian Carayon, originaire du Sud-Ouest, enseigne l’histoire et la géographie en lycée depuis plus de 20 ans. Il vit actuellement dans la Sarthe. Il se lance dans l’écriture en 2012 et publie Le Diable sur les épaules, lauréat du Prix Ça m’intéresse Histoire. Après Un souffle, une ombre paru en 2016 et traduit en plusieurs langues, et Torrents (2018), il retrouve le héros de son premier roman pour une nouvelle aventure, Les Naufragés Hurleurs.
1925. Tout semble si déréglé qu’une prédiction qui annonce la fin des temps au solstice d’hiver se fait de plus en plus entendre. Pour Martial de la Boissière, cette fin des temps correspond plutôt au naufrage d’un voilier au large de l’île de Bréhat. Celui-ci emporte son ami d’enfance et, ainsi, le dernier fil qui le reliait à celle-ci. Mais, quand Martial se décide à creuser un peu, il découvre que l’accident n’en est peut-être pas un. Dès lors, son enquête ne va cesser de le ramener sur cette île aux deux visages, où les secrets d’une riche famille viennent côtoyer les rumeurs de sorcellerie, tout en le poussant à affronter sa propre part d’ombre. Et à comprendre qu’il n’y a pas qu’en mer que l’on déplore des naufragés.
Sophie Carquain, écrivain et journaliste, a publié plus de 20 livres, dont Trois filles et leurs mères aux éditions Charleston et Manger dans ta main (Albin Michel). Elle est également scénariste (Simone de Beauvoir, une jeune fille qui dérange, Marabulles).
Pour ses amis et sa famille, Molly N. a disparu en septembre 2010. Plus aucun signe d’elle. Menacée de mort par une fatwa suite à un concours de caricatures du prophète Mahomet, la cartoonist de Seattle a dû intégrer le programme de protection de témoins du FBI, changer de ville, de nom, d’identité.
Comment renaître à l’autre bout du monde ? Comment vivre sous haute protection ?
Cela fera bientôt dix ans qu’elle a disparu.
Fascinée par cette histoire, dont elle entend parler le 7 janvier 2015, jour de l’attentat contre Charlie Hebdo, Sophie Carquain décide d en faire un roman :
« Il m’a fallu affronter une situation inédite : écrire le destin d’une femme qui vit encore mais n’existe plus sous son vrai nom. Ce livre est aussi le récit d une enquête qui m’a menée plus loin que prévu – vers un secret familial. »
Jean-Gabriel Causse questionne avec humour et clairvoyance notre réaction le jour où l’intelligence artificielle sera plus puissante que nous. Il est l’auteur des best-sellers L’Étonnant pouvoir des couleurs et Les Crayons de couleur, traduits en plus de quinze langes.
Une trentaine de missiles nucléaires dans les airs… subitement détournés ! Qui a sauvé notre planète d’une Troisième Guerre mondiale ? Justine, jeune hackeuse éthique, va comprendre qu’Internet s’est découvert un instinct de survie.
Internet, qui abrite l’ensemble de notre savoir, est en train de s’éveiller grâce à nos logiciels d’apprentissage. Il lui manque pourtant quelque chose d’essentiel : l’intelligence des émotions. Justine n’a pas le choix : elle doit faire son éducation et lui apprendre l’empathie. Elle devra faire vite : nombreux sont ceux qui n’ont aucune envie de le voir grandir.
Il apprend très tôt les fondamentaux du dessin sur les bancs de l’Ecole Brassart, à Tours. Cette formation réputée l’entraîne ensuite inéluctablement vers le monde de la publicité. Il exerce successivement les fonctions d’illustrateur, de maquettiste et d’infographiste dans différentes entreprises Vendéennes. Parallèlement, il enseigne la bande dessinée à l’école Pivaut de Nantes. Sa rencontre avec le scénariste Serge Perrotin, lors d’une séance de travail organisée par le dessinateur Crisse, est déterminante. Les deux compères élaborent ensemble le projet de science fictionTerra Incognita. Avec Trois mondes, Chami se tourne vers l’héroïc fantasy et débute un nouveau cycle où il est à la fois scénariste, dessinateur et coloriste.
Trois-mondes est une trilogie de fantasy, construite sur une trame classique (quête, méchants contre gentils, etc).
T1 : SHANARA Dans le petit village de Scimira, Shanara vit une enfance insouciante et banale. Son univers bascule à l’apparition d’un être mystérieux, Bulltag le tag. Shanara apprend qu’une terrible menace pèse sur ses épaules, s’engage une course-poursuite dans un monde où le danger est omniprésent et où se côtoies larmes et joie.
T2 : AKWA Pourquoi la guilde des kalimas, les guerrières tueuses, est-elle impuissante face à notre quatuor parti à la recherche d’enfants mange-têtes ? Certainement pas à cause des deux tchop’touts, ni de Bulltag le kill en chef de la famille Taglya. Pourquoi ont-elles peur de Shanara la petite gamine télépathe ? Pourquoi ? Pourquoi ? Les réponses se trouveraient-elles dans Akwa, le monde subaquatique ?
T3 : RENAISSANCE Le monde d’En-Haut est en ébullition… Le bruit court qu’un sauveur arrive. Une sorte de messie qui vient aider la rébellion. Un messie qui rend aux esclaves, les Soumis, leur liberté. Un messie qui va détruire le Monde d’En-Haut pour faire renaître Trois-mondes…
Présent sur le salon du vendredi matin au Dimanche après-midi
Né en Belgique, vit en France depuis 1972. Après le baccalauréat, passe par l’école des Arts Appliqués Duperré, à Paris. Débute dans la publicité. En 1990, il travaille sur la série Canal Choc, avec Hugues Labiano et Philippe Aymond sous la direction de Jean-Claude Mézières, sur un scénario de Pierre Christin.
Ils avaient vu l’Allemagne, ce jeune et puissant empire, humiliée par la défaite de 1918. Ils rêvaient d’une revanche, d’une victoire éclatante. Ils s’étaient lancés avec enthousiasme dans l’aventure du IIIe Reich qui devait durer mille ans… Mais ce Reich avait pris sous l’autorité d’Hitler un visage monstrueux. Ils avaient reconnu dans les nazis et leur Führer les pires ennemis de leur pays ! Ayant revêtu l’uniforme du guerrier pour servir leur patrie, ils n’allaient pas se détourner de leur devoir. Ils devaient mener le plus dur de tous les combats : affronter l’ennemi niché au coeur de leur patrie bien-aimée et disposant de toute la puissance d’un État totalitaire. Le choix le plus difficile de leur vie était fait : Hitler devait mourir.
Éloïse Cohen de Timary est née en 1982. Les amants météores est son deuxième roman.
“Quelle folie s’était emparée d’elle, personne n’aurait pu le dire, mais lentement et sûrement cette folie poussait à l’intérieur, étendant ses racines partout, dans les moindres replis de sa chair et de ses rêves.”
Un soir, dans un bar clandestin du XVIIIe arrondissement, Marianne fait la rencontre de Virgile, paysagiste talentueux, fantasque et homosexuel. Très vite, c’est l’évidence. Ils s’aiment comme on ne s’aime qu’une fois. Des rues de Paris aux plages bretonnes, leur amour a le goût citronné et sec de la margarita, celui des huîtres iodées, des bons vins et des soirées déjantées ; en bande-son on entend la variété italienne des années 80, Patti Smith, Janis Joplin. Ensemble, Marianne et Virgile mènent une vie de fête et de gaieté, ils ont des projets d’avenir, et bientôt le désir d’un enfant, quand un drame vient bouleverser leur histoire.
Après deux albums chez un petit éditeur, Label étoile, Le serpent d’Oya et Le pont du diable (2001), et un troisième, Olivier, dans la collection des « Prénoms en BD » chez Vents d’Ouest en 2005, il participe au collectif Amiante, chronique d’un crime social en septembre 2005, album qui reçoit le Prix Tournesol au Festival d’Angoulême 2006.
Fred Coicault dessine l’adaptation BD du succès cinématographique Bienvenue chez les Ch’tis, parue le 29 octobre 2008 chez Delcourt avec un premier tirage de 150 000 exemplaires.
En 2013, tout en poursuivant une série de strips animaliers dans la veine de Calvin et Hobbes, Scoop dans le Courrier du pays de Retz, En 2014 et 2015, il dessine les deux tomes de Ouïes-dire et récits natatoires, une série humoristique sur les poissons (scénario de Yanick Messager).
2017 est une année riche en parutions avec la BD Stéphane Plaza, promue à la télévision à Vivement Dimanche, C à vous, Touche pas à mon poste !, Salut les Terriens, Les Enfants de la télé et deux BD scénarisées par Renaud Dély, rédacteur en chef de Marianne (magazine), La Dynastie Le Pen et Balkany Company.
En 2018, paraissent, le tome 1, en partenariat avec Triumph (entreprise), d’une nouvelle série sur les motos, Triumph Riders Club, et le tome 2 de Stéphane Plaza.
Début 2020, Le 27 février 2020 sort le tome 1 de la BD sur Les Grosses Têtes de RTL et le 13 mai le tome 2 de Triumph Riders Club.
Retrouvez Laurent Ruquier, facétieux chef d’orchestre, entouré de ses fidèles Grosses Têtes dans des scénarios inédits : au studio RTL, en déplacement en Province, à la campagne, au quotidien… Ils sont pareils : une équipe infernale, aussi discrète qu’une école de samba au carnaval de Rio !
Avec : Chantal Ladesou, notre Calamity Jane nationale ; Pierre Bénichou, l’homme qui a donné ses lettres de noblesse à la mauvaise foi ; JeanFi : il ne vole plus, mais il nous fait décoller ! ; Isabelle Mergault, Jean-Jacques Peroni, Laurent Bafie… Et bien d’autres !
Paul Colize est né à Bruxelles, d’un père belge et d’une mère polonaise. Ses polars, à l’écriture aiguisée et au rythme singulier, sont ancrés dans le réel et flirtent avec la littérature générale.
Son œuvre (Back Up, Un long moment de silence, Concerto pour 4 mains…) a été récompensée par de nombreuses distinctions littéraires dont le prix Saint-Maur en poche, le prix Landerneau, le prix Polar pourpres, le prix Arsène Lupin et le prix Sang d’Encre des lecteurs.
Une jeune femme est retrouvée dans son appartement bruxellois, tuée de plusieurs coups de couteau. Tout accuse Nikola Stankovic, artiste marginal, dernière personne que la victime a appelée avant sa mort. Il apparaît sur les caméras de surveillance juste après le meurtre, la police retrouve ses vêtements maculés de sang et découvre des croquis de la scène de crime dans son atelier.
Sous ses airs d’enfant perdu, Niko est un graffeur de génie que la presse a surnommé le Funambule après l’apparition d’une série de fresques anonymes ultra-violentes dans les rues de la capitale. Muré dans le silence, sous surveillance psychiatrique, le jeune homme nie tout en bloc. Pour seule ligne de défense, il ne répète qu’une phrase : « c’est pas moi ».
Ingénieur de formation, il écrit depuis l’adolescence. C’est en tentant l’autoédition avec son troisième roman, Seulement si tu en as envie…, qu’il rencontre son premier succès, avec 35 000 téléchargements en un an. Son écriture délicate révèle une extrême sensibilité et distille subtilement les émotions des personnages au fil des pages.
À l’âge de 16 ans, ils s’étaient juré un amour éternel. 27 ans plus tard, ils se sont retrouvés et rien n’a pu empêcher cette passion de renaître. Ni les deux beaux enfants de Camille, ni Richard, son mari. Stephen, totalement libre, lui, ne peut plus supporter cette situation. Il somme Camille de choisir. Bouleversée par cet ultimatum, elle a un accident de voiture. Stephen la bombarde d’appels, lui demande pardon… Camille est rassurée : dès qu’elle ira mieux, tout recommencera comme avant. Sauf que tout change…
Dessinatrice franco-italienne née en 1990, naviguant entre Bande Dessinée, expositions, résidences et reportages dessinés, Anna Conzatti vit et travaille à Nantes. Avec en poche un DNSEP, de nombreux voyages et toujours au moins un crayon, Anna propose des récits mettant en scène des personnages discrets qui se révèlent plus fantaisistes qu’il n’y parait. Aux éditions Des ronds dans l’O, elle réalise les couleurs de l’album Cash-cash à Paname, une aventure de Arsène Lupin !
En 1941, en France, alors que se multiplient les rafles antijuives dans la capitale et que les artistes juifs « dégénérés » sont recherchés pour leurs œuvres, le peintre russe d’origine juive Chaïm Soutine quitte Paris avec sa compagne Marie-Berthe Aurenche, pour trouver refuge en Touraine, dans le petit village de Champigny-sur-Veude. Ici, l’artiste peut se concentrer sur son travail en pleine nature. Mais ses nombreuses colères le font passer pour un véritable ogre aux yeux des enfants, notamment le petit Marcel, 12 ans, fils du garde-champêtre. Et lorsque l’enfant apprend que ses parents vont loger le terrible Soutine sous leur toit, il est pris d’angoisse : l’ogre va habiter chez lui et dormir dans sa chambre ! Mais petit-à-petit, ces deux êtres que tout oppose, vont apprendre à se connaître malgré les crises du peintre russe. Et une profonde amitié va s’installer entre l’artiste et Marcel, sujet de sa toile L’Écolier en Bleu.
Grand voyageur et ancien reporter, Frédéric Couderc se consacre désormais à la fiction et enseigne l’écriture au Labo des histoires. À chacun de ses romans, il part vivre dans le pays qui sera au cœur de son intrigue pour ne pas trahir son sujet. Il est l’auteur d’Un été blanc et noir (Prix du roman populaire 2013), Le jour se lève et ce n’est pas le tien et Aucune pierre ne brise la nuit.
À Tel-Aviv, une équipe de cinéma tourne un biopic sur Abie Nathan, célèbre pacifiste des années 70 tombé dans l’oubli – à qui l’on doit, parmi ses hauts faits, la création du Voice of Peace sous l’égide de John Lennon. Zeev Stein, l’un de ses plus proches amis, accompagne la réalisation du film. À soixante-dix ans, ce brillant avocat des droits civils, proche du camp de la paix, est mariée avec Hélène depuis quarante ans et forme un couple charismatique. Dans leur ombre, deux enfants : Yonah, une muséographe récemment divorcée qui peine à reprendre pied, et Rafael, prétendument mort, qui a coupé les ponts pour embrasser la vie d’un ultra-orthodoxe.
La vie des Stein, déjà lézardée sous la façade, bascule définitivement quand la star du film Orlando Dito Beck – l’acteur instable qui joue Abie Nathan – disparaît mystérieusement à Gaza et que les ravisseurs islamistes réclament à Zeev une surprenante rançon…
À travers l’histoire d’une famille éclatée, Frédéric Couderc aborde avec finesse les enjeux du drame israélo-palestinien. Yonah ou le chant de la mer est un roman engagé qui choisit résolument le camp de l’humanité pour en révéler autant sur les failles d’un pays que sur celles qui traversent chaque individu.
Après de solides études en arts graphiques à l’école MET de PENNINGHEN à l’ESAG puis à l’académie CHARPENTIER, il est d’abord illustrateur indépendant et réalise des illustrations pour Bayard Presse, Hatier, Hachette (« la Bibliothèque rose »), etc.
Il entre en 1981 dans le groupe Bayard Presse comme maquettiste et illustrateur pour le magazine Pomme d’Api. Il y devient directeur artistique en créant le magazine Youpi. Parallèlement, il illustre le magazine Popi et se spécialise dans la connaissance de l’attitude des tout-petits. Il se met à son compte en 1992 pour se consacrer à des projets personnels : réalisation de décors d’émissions de télévision pour enfants, création de la gamme graphique des CD du chanteur Pierre Lozère, illustrations de produits de puériculture pour des agences de design et de jeux (Absorba, Nestlé, Peau Douce, Monsavon, Smorby, Mustella), collections d’albums pour la France et les Etats-Unis (Readers Digest, Penguin & Putnam)… et surtout la création du personnage T’choupi pour les jeux Nathan. Il imagine un tendre petit garçon pingouin, aux formes rondes et graphiques : il crée son univers, sa famille, ses amis et en plus le fidèle confident de T’choupi : Doudou. Il réalise une gamme de couleurs plus douces que les couleurs alors en vogue : « j’ai travaillé dans la recherche d’une forme ronde aux trois couleurs, ce qui le rend unique et c’est ainsi que la tête du pingouin conceptualisé à ma façon graphique m’est apparue. » Il a réalisé plus de 30 produits-jeux de ce personnage. En 1997, les albums de T’choupi sont lancés, diffusés depuis à 3 millions d’exemplaires dans plusieurs pays !…
Thierry Courtin a toujours travaillé pour les enfants de 1 à 5 ans, son graphisme qui va à l’essentiel (pureté, tendresse de ses dessins et de leurs couleurs) touche particulièrement cette tranche d’âge et leur famille.
T’choupi ne fait plus pipi au lit !
Des histoires qui racontent la vie des enfants de 2 à 4 ans, les grandes joies, les temps forts de la vie de famille et les petits tracas du quotidien. Grâce à T’choupi, de nombreux petits problèmes trouvent leur solution tout en douceur.
Résumé de cette histoire : Pour aider T’choupi à ne plus faire pipi au lit, son papa va lui donner plein de conseils très utiles :
un petit pot dans la chambre, ne pas boire avant d’aller au lit et un tableau pour noter ses réussites !
SONIA DAGOTOR est épouse, mère et working girl dans la région parisienne. Malgré un emploi du temps bien rempli, chaque soir, elle a rendez-vous avec ses personnages et invente des histoires pour tout le monde. Elle a été finaliste du Prix des Plumes Francophones.
Trois femmes. Trois générations. Trois histoires d’amour.
Roxane Dambre est née en 1987 dans la banlieue de Paris. Très vite, son imagination lui montre les mystères qui dorment derrière les murs de la capitale, et à 14 ans, elle décide de prendre la plume pour les révéler aux autres.
Par amour de la chimie et de la logique, elle poursuit pourtant ses études dans la voie scientifique. Après son bac, elle s’égare dans les méandres de l’orientation professionnelle, mais après quelques détours, elle finit par trouver sa voie dans l’ingénierie des procédés industriels.
Elle continue d’écrire pour elle, pour ses proches et pour tous ceux qui ont rêvé, qui rêvent et qui rêveront un jour.
Sous pseudonyme, elle a publié de nombreuses nouvelles en webzines, fanzines et anthologies. Animae est son premier roman publié.
Sous le pseudonyme de Blanche Saint-Roch, elle a publié de nombreuses nouvelles en webzines, fanzines et anthologies. Animae (2012) est son premier roman.
C’est enfin la consécration pour Sixtine : elle signera l’article central du prochain numéro d’ActuParis ! Est-ce un test de son directeur, ou un nouveau piège tendu par les Marcus Meilleur ? Peu importe, la pétillante journaliste, accompagnée de son photographe Melchior, est prête à relever le défi.
Et cette fois, sa grand-mère aussi distraite qu’attachante, l’adorable Maminou, fait partie du voyage. Direction Angers et son festival sur les visions de l’Apocalypse à travers les âges.
La mission de Sixtine prend une tournure encore plus intéressante lorsqu’une mystérieuse petite fille lui fait part d’une théorie étonnante : et si l’Humanité réussissait à échapper à toutes les Apocalypses prévues (épidémies, guerres…),
car « quelqu’un » parvenait à les neutraliser à chaque fois ? Un sujet en or pour notre enquêtrice du paranormal, mais qui pourrait bien lui attirer quelques ennuis…
Une enquête pleine d’humour et de rebondissements qui clôt la série en beauté!
Scénariste, dessinateur, coloriste
Au grand désespoir de ses parents, qui l’imaginaient chanteur ou Footballeur, le petit Dav décide très tôt de devenir dessinateur de BD. A Cholet, son village natal, il rencontre des gens comme lui qui veulent dessiner, et le faire savoir ! Ils lancent donc tous ensemble le fanzine bien connu : “Le Rhinolophe Mag”. Cette expérience permet au petit Dav de faire des planches de BD, de les mettre dans un petit magazine, d’aller le vendre sur les festivals, et de rencontrer d’autres gens comme lui qui dessinent déjà, eux, et qui sont payés pour le faire ! Dès lors, il met tout en œuvre pour faire pareil et réalise l’œuvre de sa vie, “Dr Prout”. Seulement, ce projet-là n’apporte ni or, ni argent, ni bronze au pauvre garçon, mais juste un peu d’estime de la part de ses collègues. Désespéré, il décide d’en finir avec la vie. Il est prêt à se jeter sous un (arrière) train, quand Curd Ridel lui propose de travailler sur une BD avec lui. Le petit “Django Renard” voit bientôt le jour aux éditions Bamboo. Entre temps, et encore de nos jours, il fait des jeux pour le Journal de Mickey, des gag pour Lanfeust Mag’, scénarise, dessine, joue à la console, regarde la télé, et plein d’autres choses encore … comme le “Larh-don”, “Les Garnimos”, …
Après Un temps égaré (prix du premier roman), À l’ombre des vainqueurs (Prix des Romancières, Grand Prix de l’Académie d’Alsace, Prix Horizon, prix du Roman historique), et Mon nom est Otto Gross, Ceux du fleuve est le quatrième roman de Marie-Laure de Cazotte. Tous sont publiés par les éditions Albin Michel.
À l’automne 1793, six personnages aux destins bouleversés par la guerre, s’unissent, se séparent, s’attendent. Confrontés à la folie révolutionnaire, à l’enfer des combats et des massacres, ballotés par les événements, ils n’ont pour seul trait d’union qu’un fleuve. Personnage principal du livre, il est le lieu de passage où se révèle leur nature profonde. Au-delà de l’entraide, de l’amitié, ou de l’amour qui les sauve. Par-delà l’exil ou le sacrifice qui les broie.
Ceux du fleuve, ce sont Henri, le fils d’un paysan assassiné ; Pierre, un solitaire vivant sur une des îles de la Loire ; Philippe, un prêtre passionné de théâtre ; Isabelle et Marie, deux femmes en fuite ; Amédée, un évêque aristocrate défroqué par la République.
Anne de Kinkelin est journaliste au Parisien. Elle publie en 2017 aux éditions Charleston son premier roman, L’Année du flamant rose, qui figure parmi les finalistes du Prix du livre romantique. Elle vit à Paris.
Louise, Ethel, Caroline. Trois amies, joyeuses mais solitaires, partagent tout, leurs peines et leurs bonheurs, leur passion aussi pour les belles choses. Toutes trois sont des créatrices, des faiseuses de rêves, dans leurs ateliers qui se font face dans un passage parisien.
Louise, joaillière, crée des bijoux qui réjouissent le coeur et les yeux. Ethel, corsetière, réveille les sentiments et les sens des amoureuses éperdues (et des autres). Caroline, relieuse, redonne vie aux livres anciens, tout en rêvant la sienne. Toutes trois, passionnées, sont amoureuses de l’amour, mais celui-ci leur semble inatteignable…
Le jour où Louise s’entiche d’un flamant rose empaillé, superbe et quelque peu étrange, qu’elle installe dans son atelier, son regard sur la vie semble changer. Après sa rupture, elle est face à un défi : se relever, tenir debout, comme le flamant sur une patte, pour sa petite fille, Rose, malgré sa fragilité et les obstacles.
Cette année, les trois femmes sauront-elles trouver la force de se reconstruire ?
NaC’ de La Rafistolerie est un illustrateur créatif qui aime varier les techniques, allant des crayons de couleurs aux papiers tordus, en passant par l’acrylique et les images à l’eau. Il retranscrit à travers ses images son goût pour la poésie et son optimisme. “Je dis Wonder Rafistol, pour raconter que je m’abîme, me blesse, souffre parfois et que je reste habité, dans le même temps par l’en VIE ! L’envie de raconter à travers mes créations qu’il y a toujours des grappes de raisons de penser que la vie est une Merveilleuserie !”
Il était une fois un chat rusé, un ogre, un prince et une princesse… Le fils cadet du meunier est désespéré lorsque son père lui donne pour tout héritage un chat. L’animal rusé pourrait bien surprendre son maître… Le Chat botté est une adaptation en lecture confortable du conte de Charles Perrault par Liza Todorovic. Les illustrations poétiques nous entraînent dans ce monde imaginaire. Associées au travail sur le texte, elles garantissent un grand plaisir à la lecture de cet ouvrage. En bonus, une recette exclusive du chat botté !
Xavier de Moulins est journaliste, présentateur du 19h45 sur M6, et de l’émission 66 minutes.
Il est l’auteur de cinq romans, parmi lesquels, chez Lattès, Que ton règne vienne (2014), Charles Draper (2016), Les Hautes lumières (2017).
“Le petit chat est mort. Les mots sont une détonation. Les choisir pour l’annoncer aux enfants n’a pas été chose facile, alors je me suis résigné à faire simple, cinq mots et un point final. Court, cruel, monstrueux.” Des petites choses et des plus grandes pour mieux vivre sous les orages à la saison des hécatombes.
Déjà petite, Sophie de Mullenheim écrivait. Elle imaginait des romans policiers qu’elle écrivait au feutre, changeant de couleur à chaque lettre. Les choses ont un peu changé depuis : elle écrit toujours, mais elle a confié ses feutres à ses six enfants !
Depuis 12 ans, elle se consacre à l’écriture, ne se séparant jamais de ses petits carnets fourmillants d’idées, qu’elle réutilise plus tard, pour bâtir de nouveaux projets une fois installée devant son ordinateur.
Ses livres de référence sont les séries Alice de Caroline Quine, Tobie Lolness de Timothée de Fombelle et Arsène Lupin, l’aiguille creuse de Maurice Leblanc.
Paris, printemps 1942.
Depuis l’emprisonnement de son père par les Allemands dès le début de la guerre, Emile, 12 ans, vit seul avec sa maman et leur chien Puce. Les conditions de vie sont difficiles à cause de l’occupation et du rationnement. La mère d’Emile qui est infirmière doit travailler double. Mais ce soir – ou plutôt cette nuit – Emile est inquiet. Il est deux heures du matin et sa mère n’est toujours pas rentrée.
« Si un soir, je ne reviens pas, l’a prévenu sa maman, tu dois quitter immédiatement Paris et aller chez ma sœur Jeanne à Chartres. Prends Puce avec toi et quelques bagages que tu glisseras dans la sacoche de ton père. Il y tient beaucoup. J’aimerais qu’il la retrouve à son retour. Ensuite, va. Et ne te retourne pas. »
Fidèle à sa promesse, Emile prend la route de Chartres. En chemin, il rencontre Mado – Madeleine de son vrai nom –, 12 ans elle aussi qui tente de passer en zone libre.
Les deux enfants sympathisent et font la route ensemble.
Tatiana de Rosnay a été élevée à Boston et à Paris. Après des études littéraires en Angleterre, à l’Université de East Anglia, Tatiana a travaillé à Paris comme journaliste pour Vanity Fair, Psychologies, ELLE et le JDD. Tatiana de Rosnay a publié son premier roman, L’Appartement témoin, en 1992. Depuis, elle a publié une douzaine de livres dont Elle s’appelait Sarah, vendu à neuf millions d’exemplaires dans le monde et porté à l’écran par Gilles Paquet-Brenner en 2010. Quatre de ses romans sont en cours d’adaptation, Boomerang, Spirales, Moka et Le Voisin. Sa romancière préférée est Daphné du Maurier, dont elle a publié la biographie en mars 2015, Manderley For Ever, nominé pour le Goncourt de la Biographie 2015 et gagnant du Prix de la Biographie d’Hossegor 2015.
Bilingue, Tatiana de Rosnay écrit certains de ses romans en anglais et d’autres en français. Ses livres sont traduits dans une quarantaine de pays et elle figure sur la liste des romanciers français le plus lus à l’étranger, notamment aux Pays-Bas et aux USA. Ses thèmes de prédilection sont les secrets de famille et la mémoire des murs.
” Bienvenue chez CASA, chère Clarissa… “
Une résidence pour artistes flambant neuve. Un appartement ultramoderne, au 8e étage, avec vue sur tout Paris. Un rêve pour une romancière en quête de tranquillité. Rêve, ou cauchemar ? Depuis qu’elle a emménagé, Clarissa Katsef éprouve un malaise diffus, le sentiment d’être observée. Et le doute s’immisce. Qui se cache derrière CASA ? Clarissa a-t-elle raison de se méfier ou cède-t-elle à la paranoïa, victime d’une imagination trop fertile ?
Fidèle à ses thèmes de prédilection – l’empreinte des lieux, le poids des secrets –, Tatiana de Rosnay tisse une intrigue au suspense diabolique pour explorer les menaces qui pèsent sur ce bien si précieux, notre intimité.
Guillemette de Sairigné est biographe, auteur de nombreux succès, dont Mon illustre inconnu, enquête sur un père de légende (Fayard,1998) et La Circassienne (Robert Laffont, 2011).
Fils adoptif de Gorki, héros de la Légion étrangère, homme d’influence, ambassadeur de France, grand séducteur, Zinovi Pechkoff, surnommé « Le manchot magnifique », est une légende oubliée du XXe siècle.
Nijni-Novgorod, années 1900. Un adolescent traîne sur les bords de la Volga. Il est pauvre, il est juif, il n’a pas d’avenir dans la Russie tsariste. Jusqu’au jour où il croise l’immense écrivain Gorki qui en fait son assistant et l’adopte. Yeshua Sverdlov devient Zinovi Pechkoff.
En exil à Capri avec son nouveau père, il découvre la littérature, la politique, se lie avec Lénine, l’écrivain Bounine ou le chanteur Chaliapine. Mais il brûle d’agir. Quand la Première Guerre mondiale éclate, il s’engage en France dans la Légion étrangère au côté de Blaise Cendrars, connaît la rude vie des tranchées et la gloire des combats – il y perd le bras droit. La France l’adopte à son tour et le dépêche aux États-Unis pour les inciter à entrer en guerre.
En 1918, alors que son frère Iakov Sverdlov s’apprête à devenir le premier chef d’État soviétique, Pechkoff est au cœur de la guerre civile russe, avec les Armées blanches. Dans les années vingt, au Maroc, il gagne son surnom de « Manchot magnifique » pendant la guerre du Rif. Puis ce sera la Syrie, le Liban, ses premiers succès diplomatiques. Et la France Libre. De Gaulle en fait son envoyé spécial, un général-ambassadeur abonné aux missions délicates, en Chine auprès de Chiang Kaï-Shek, au Japon auprès de MacArthur dont il devient l’ami.
Pechkoff parcourt le monde, connaît tout le monde, séduit tout le monde. Son courage, son goût de la vie, sa connaissance de l’âme humaine ont révélé sa nature, celle d’un héros de roman.
À partir d’archives inédites, notamment la magnifique correspondance avec Gorki, Guillemette de Sairigné signe la première grande biographie de Zinovi Pechkoff.
Sophie de Villenoisy est scénariste et journaliste. Elle est aussi l’auteure de plusieurs romans dont Joyeux suicide et bonne année, en cours d’adaptation au cinéma. Elle vit à Paris et a deux enfants.
Jean, cinquante-six ans et dessinateur de BD has been, est déprimé.
Pour lui remonter le moral, sa femme lui offre un stage de rigologie.
Mais que croit Françoise ?
Que le rire se trouve dans une pochette-surprise ou sur commande, dans un stage ?
Et pourquoi pas à l’hôpital pendant qu’on y est ?
Pourquoi pas, en effet ?
Un roman empreint d’humour et de tendresse qui raconte ces rencontres improbables qui vous changent à jamais, et révèlent le meilleur de vous-même.
Charlotte de Villiers est une vendéenne depuis 15 ans maintenant. Amoureuse de sa région elle décide de la faire découvrir aux autres. Elle vit à Saint-Mars-la-Réorthe.
Une redécouverte de l’histoire de la Vendée par l’image. Une double vision, grâce à des documents anciens et récents, mis face à face. Tous les cantons du département photographiés. L’auteure propose une trentaine de cartes postales et de photographies pour confronter l’ancien et le nou-veau, les changements survenus dans la région et plus particulièrement à Pouzauges. Avec des anecdotes his-toriques et architecturales de la ville, et le mode de vie des Vendéens, cet ouvrage a pour but d’apporter une valeur historique aux paysages de la ville. Une occasion de redécouvrir et d’apprécier l’histoire de la région.
Au coin de la cheminée, les rêves s’éveillent et l’esprit vagabonde au fil des histoires. Nostalgie de l’enfance, du temps passé, des bonheurs d’autrefois.
Chronique d’une vie simple où le merveilleux et le surnaturel se racontent en famille, entre amis, la veillée conclut heureusement la journée de labeur.
À la lueur de l’âtre, elle allège les cœurs et réconcilie les âmes, juste avant la prière et le repos mérité.
Aurélie Delahaye a fait des études de droit puis une école de commerce. À sa sortie, elle range quelques uns de ses rêves au placard et commence à travailler en entreprise. Elle passera par tous les types d’entreprises pour essayer d’y être heureuse : la grande boîte renommée, la PME familiale et la start-up à la pointe de la technologie. En vain. Depuis son entrée en école de commerce, elle se passionne pour l’improvisation théâtrale et se produit dans des petits théâtres parisiens. Le 1er mars 2015, elle décide de remettre ses rêves au coeur de son existence et fait de sa vie une improvisation en se lançant dans « Ordinary Happy People ».
Embrasser l’inconnu est l’histoire d’une révolution intérieure. Ne trouvant pas de sens à son quotidien professionnel et voyant trop de résignation autour d’elle, le 1er mars 2015, Aurélie quitte tout : son job, son appartement, Paris, ses amis et sa famille. Elle se lance dans l’aventure pour aider les gens à renouer avec le bonheur et espère ainsi elle-même trouver sa voie. Elle entreprend alors un projet dont elle ne sait pas où il la mène et qui la guidera sur des chemins jusque-là inconnus.
Elle voyagera à travers l’Europe, où elle fera sourire des milliers de personnes, puis prendra la route dans un ancien camion de pompier aménagé qui deviendra sa maison neuf mois durant. Jusqu’au jour où, alors qu’elle était partie pour aider les autres, elle trouvera le sens qu’elle avait toujours cherché à son quotidien.
Claudine Desmarteau est romancière et illustratrice. Elle a publié plus d’une vingtaine de livres jeunesse. Elle signe ici son premier roman adulte.
Raphaël, devenu adulte, se souvient. Ils avaient seize ans. Lui, Kevin, Ryan, Idriss et les autres : une bande de garçons soudés comme des frères, qui se connaissaient depuis l’enfance – sauf Quentin, dit « Queue-de-rat », débarqué au collège. Le dernier arrivé devient le bouc émissaire. Parce que, quand on est adolescent il faut parfois quelqu’un à rabaisser pour se sentir supérieur. Les journées sont longues dans cette petite ville. On en a vite fait le tour. Leur vie est rythmée par les longues soirées à fumer des joints dans un jardin ouvrier, les petits vols, la voiture empruntée, les rivalités amoureuses, les défis inspirés de vidéos américaines. Ils zonent, s’ennuient, testent leurs limites… jusqu’au drame.
Claudine Desmarteau signe un livre d’une grande tension sur cet âge de tous les extrêmes et cette culpabilité qu’adulte on porte en soi. Chaque page est un pas de plus vers l’issue qu’on devine fatale.
Elle est l’autrice de la série à succès Les Colombes du Roi-Soleil (plus d’1 120 000 exemplaires vendus, grand format, poche et BD).
Elle publie également plusieurs ouvrages en 2018 : Comment devenir une vraie sorcière ; le tome 3 de la série DinosauRex, illustré par le Rennais Emmanuel Cerisier ; le tome 5 de la série Vétérinaire et les bébés animaux, ainsi que le 1er tome d’une nouvelle série Marie-Antoinette et ses soeurs chez Flammarion.
Il m’est arrivé quelque chose d’incroyable ! Vraiment incroyable ! Je veux bien vous le raconter, mais je me demande si vous n’allez pas me prendre pour un fou. Alors, voilà… Accrochez-vous bien… Et si j’en entends un murmurer : « Non, il exagère, c’est impossible », j’arrête tout !
Allez, je commence … J’étais un petit garçon comme les autres. Je n’aimais pas DU TOUT l’école et je rêvais de faire comme mon chat : passer mes journées à ne rien faire ! Jusqu’au jour où ma maîtresse a changé ma vie d’une façon inimaginable…
Sélection Prix du roman jeunesse « La vache qui lit »
Née en 1971, Sandrine Destombes a toujours vécu à Paris. Elle travaille dans la production d’événements depuis plus de vingt ans et profite de son temps libre pour écrire des polars, son domaine de prédilection. Attachée à ses origines italiennes, elle instille son amour des Abruzzes au fil de ses romans.
Blanche Barjac, Madame B, est nettoyeur de profession. Malfaiteurs, tueurs à gages
et meurtriers, tous font appel à elle pour qu’il ne reste plus une trace de leurs crimes
et délits.
Après plusieurs années passées à s’imposer dans ce monde d’hommes, Blanche est devenue une professionnelle respectée dans ce milieu si particulier. Digne héritière de son beau-père qui l’a formée, elle est reconnue pour son efficacité, sa discrétion et son savoir-faire.
Si après chacune de ses interventions Madame B garde un indice comme ” assurance-vie “, elle n’est pas la seule à accumuler les preuves compromettantes.
En menant l’enquête sur le maître chanteur qui la persécute et la fait douter chaque jour un peu plus de sa santé mentale, Blanche revient sur son passé et réalise que malgré
les nettoyages, toutes les taches ne sont pas effacées. Et que chaque acte entraîne des conséquences.
Mathilde Domecq est diplômée des Arts Déco de Strasbourg. Originaire de Marseille et basée actuellement à Berlin, elle a publié plusieurs romans graphiques.
La sagesse, celle qui est censée venir avec les années, est un leurre, un mythe savamment entretenu. Quel que soit son âge, on reste en réalité un sale môme.
Sale môme un jour, sale môme toujours.
Journaliste, reporter de guerre, présentateur vedette du 20 H au Portugal depuis plus de 25 ans, J.R. dos Santos s’est imposé avec la saga Tomás Noronha, comme l’un des plus grands auteurs de thrillers historiques et scientifiques en Europe. Après L’Homme de Constantinople, Un Millionnaire à Lisbonne retrace la deuxième partie de la vie de l’Arménien que l’on surnommait « Monsieur 5% ».
L’apogée et la fin de la vie du mystérieux Arménien qui a régné sur le monde du pétrole et sur celui de l’art.
L’organisation mondiale de l’industrie pétrolière est désormais établie et Kaloust Sarkisian devient l’homme le plus riche du XXe siècle. Vivant entre ses suites du Ritz à Paris et à Londres, l’homme d’affaires se consacre à sa collection d’art et à ses jeunes maîtresses. Mais l’Histoire va le rattraper.
L’horreur du génocide arménien puis le chaos de la Seconde Guerre mondiale forcent le millionnaire arménien à chercher une nouvelle ville pour s’installer. Il choisit Lisbonne ; un choix qui étonne tout le monde… notamment le dictateur Salazar qui ne voit pas cela d’un bon œil.
Avec la magie propre à J.R. dos Santos, ce deuxième roman nous fait comprendre combien ce petit Arménien si mystérieux a bouleversé l’ordre mondial. Il explique également comment il a marqué l’histoire des Portugais et notamment celle de Lisbonne, en léguant toute sa collection d’Art à la ville. Aujourd’hui, la Fondation Gulbenkian est l’une des plus riches et des plus importantes d’Europe.
Julien Dufresne-Lamy est né en 1987. Avant d’être écrivain, il a été journaliste culturel à Lyon et a publié à 25 ans chez Stock son premier roman Dans ma tête, je m’appelle Alice. Depuis 2016, il est aussi auteur pour la jeunesse. Deux de ses titres sont parus chez Actes sud junior, Mauvais Joueurs et Boom, lauréat de plusieurs prix. Son premier roman 9-13 ans, les étonnantes aventures du merveilleux minuscule Benjamin Berlin, chez Aces sud junior à été sélectionné pour le prix Gulli du roman 2019. Ses dernières parutions : Jolis Jolis Monstres (Belfond), Mon père, ma mère, mes tremblements de terre (Belfond), Darling (Actes sud juniors), Ma story (Magnard jeunesse).
« Quand on tape mon nom sur les moteurs de recherche, j’apparais comme le diable. Aux yeux de tous, je suis l’indigne. Pourtant, je n’ai rien fait de mal. J’ai simplement joué. Dans l’émission, j’ai simplement voulu gagner. Depuis que mon prénom circule sur Internet, les gens me condamnent sans procès. »
Batool, 15 ans, est repérée un jour dans un supermarché pour participer à l’émission de télévision Le Dernier Survivant. Enthousiaste, elle intègre l’émission avec d’autres jeunes de son âge. Sur l’île, les complicités se nouent et se défont au fil des épreuves. Batool est impatiente de voir le résultat et surtout la réaction de ses proches. Mais rien ne se passe comme prévu car le montage de l’émission est sans pitié et donne de l’aventure une toute autre version. Une phrase sortie de son contexte et tout bascule. Insultée sur les réseaux sociaux, lâchée par ses amis, Batool regarde sa vie s’effondrer…
Anne Dumergue est à la fois autrice jeunesse et professeure des écoles, deux métiers qu’elle aime passionnément. Elle écrit pour les enfants, pour les faire rêver, les émouvoir, les faire voyager, frissonner, rire… et qu’ils découvrent à quel point les livres nous font passer des moments fabuleux.
Après sa série de romans policiers qui se déroulent en Vendée, Anne Dumergue signe cette année un album dont elle a réalisé le texte mais aussi les illustrations.
L’album contient quatre petites histoires, chacune avec une couleur dominante. « La recette magique » de la sorcière célèbre la gentillesse (rêve violet), « Le stylo de la maîtresse » console les enfants qui n’aiment pas l’école (rêve rouge), « Le chêne et la clématite » raconte une belle histoire d’amour (rêve vert), « Simon et les étoiles » clame qu’il faut croire en ses rêves (rêve bleu).
Les jeunes enfants apprécieront ces histoires toutes douces, les plus grands pourront en saisir toute la portée poétique et symbolique.
Passionnée d’Histoire, Coline Dupuy a joué comme actrice bénévole dans la Cinéscénie du Puy du Fou pendant 20 ans. Le succès du Trésor du Puy du Fou, une trilogie en BD coécrite avec Thibaut Dary, l’a conduite à scénariser la vie du général vendéen Cathelineau, puis à prolonger l’œuvre du Puy du Fou par plusieurs ouvrages historiques tirés des spectacles du Grand Parc. Ayant repris la BD avec Geneviève de Gaulle-Anthonioz, coécrite avec Jean-François Vivier, elle se lance à nouveau dans la scénarisation de la vie de grands personnages de l’Histoire de France.
En 1772, l’enseigne de vaisseau Jean-François Galaup de La Pérouse rencontre la fille d’un fonctionnaire colonial de l’île de France, Éléonore Broudou. Leur histoire d’amour à rebondissements l’entraîne vers son destin. Véritable gentilhomme des mers, La Pérouse pacifie les Indes et se concilie même ses ennemis anglais dans la guerre d’Amérique. Choisi par Louis XVI pour rivaliser avec James Cook dans une grande expédition autour du monde, il confirme son humanité face aux Indiens du Pacifique, mais il n’en remet pas moins en cause le mythe du bon sauvage, en se confrontant à une réalité souvent hostile. Son interprète, Jean-Baptiste de Lesseps, et le capitaine irlandais Peter Dillon tentent de percer le mystère de sa disparition à Vanikoro en 1788 lors d’une rencontre à Paris quarante ans plus tard…
« Mon histoire est un roman que je vous supplie d’avoir la bonté de lire. »
Elie Durel, né à Saumur en 1946, est l’auteur de plusieurs romans et récits à caractère historique. Il vit retiré dans la région nantaise où il est correspondant de presse.
Catherine École-Boivin, est biographe, romancière et professeur à Nantes. Elle est née à Cherbourg.
Lucille est née au milieu des marais salants de la baie de Bretagne. Très tôt, elle apprend auprès d’Agnès une saulnière qui est aussi sonneuse de cornemuse, à extirper le sel des entrailles de la terre. De cette passion secrète, elle veut en faire son métier. Mais dans la Bretagne des années 60, les salines sont rarement léguées aux femmes. Son père a prévu d’offrir celle de sa famille à son frère qui perpétuera la tradition.
La jeune femme quitte le marais et devient vendeuse à Nantes. Dès qu’elle a un moment, elle vend des pochons de sel. Mais cela ne suffit pas à lui faire oublier le pays maraîchin. Car tout, y compris l’amour, la ramène à la terre salée du marais, là où son corps et sa vie embrassent l’eau et la lumière.
Dans ce roman empreint d’humanité et de poésie, Catherine Ecole-Boivin, l’auteure de La Métallo, prix Ouest 2019, dresse le portrait d’une femme prête à tout pour prendre sa place parmi les hommes sur cette terre qui est la sienne, la baie de Bretagne, ses mystères et ses coutumes ancestrales.
Astrid Eliard est née en 1981. Elle est journaliste. Elle est l’auteur d’un recueil de nouvelles, Nuits de noces (prix SGDL de la nouvelle) et de trois romans, Déjà l’automne, Sacrée Marie et Danser.
La fille ne regardait pas l’objectif, d’ailleurs elle ne regardait rien, à part peut-être une pensée, un regret, un projet? à l’intérieur d’elle-même. Elle ne souriait pas. Elle était tout simplement absente. En quelques jours, une foule innombrable de gens croisa ce visage. Et tous se dirent qu’elle avait l’air de poser pour son propre avis de recherche.
Lorsqu’elle constate la disparition de sa fille Adèle, seize ans, Marion panique. Fugue? accident? Elle prévient son ex-mari, la police… Au fil des heures, l’angoisse croît. Adèle reste introuvable. Quelques jours plus tard, un attentat perpétré par Daech au Forum des Halles tue vingt-cinq personnes. Et si Adèle faisait partie des victimes? Sans relâche Marion appelle les numéros verts, les ministères, scrute la presse, les réseaux sociaux, traque les moindres indices… Jusqu’au jour où, sur une image saisie par une caméra de surveillance, elle reconnaît Adèle, dissimulée sous un hidjab… Sidération, incompréhension, culpabilité. L’inexorable quête d’une mère pour retrouver sa fille commence.
Diplomate lors des grands bouleversements à l’Est, Vladimir Fédorovski est l’écrivain d’origine russe le plus édité en France.
Avec Le Roman vrai de la Manipulation, il renoue avec sa collection emblématique, « Le Roman des lieux et destins magiques » (Éditions du Rocher).
Il est l’auteur de nombreux best-sellers traduits dans le monde entier, dont Le Roman de Saint-Pétersbourg et Le Roman de Raspoutine.
Tout le monde a vu le film Le Docteur Jivago, un des films emblématiques du cinéma américain, basé sur le roman de Boris Pasternak consacré à la période de la révolution russe, une fiction d’inspiration éminemment autobiographique couronnée du prix Nobel.
Vladimir Fedorovski propose ce « roman vrai » du Docteur Jivago s’appuyant sur le destin de son auteur comme guide à travers les aléas de l’histoire du XXe siècle où la réalité tragique dépasse la fiction.
En effet la vie réelle de Pasternak réunit les éléments des grands drames historiques. Tel un Faust il releva tous les défis : les passions absolues comme les tragédies sans nom, les coups de foudre comme un insolite « amour à distance » immortalisé par ses échanges épistolaires avec une grande poétesse russe, Marina Tsvetaïeva, et le génie de la poésie européenne, Rilke, sans parler des démons de la jalousie dans la grisaille de la vie soviétique ou de l’ambiguïté des rapports de l’écrivain avec le dictateur rouge Staline. Les archives américaines et russes récemment déclassifiées (dont certaines sont inédites) permettent aussi à l’auteur d’évoquer l’épopée de Pasternak à travers les aléas d’une bataille féroce cyniquement menée par la Cia et le KGB dans l’ombre du Docteur Jivago.
Une balade passionnée à travers la Russie éternelle comme la grâce venue des neiges la veille de Noël.
Maxime FONTAINE (62) est à la fois professeur des écoles et auteur. En 2008, grâce à un imaginaire foisonnant, il coécrit avec Bertrand Ferrier une trilogie chez Intervista, dans la collection « Cinemascope ». Ezoah, Immemoria et Ténébria se sont vendus à 20 000 exemplaires. En 2018, il a publié Mes vies à l’envers chez Gulf stream éditeur (coll. ECHOS).
Soryan Nesh et ses deux assistants, Thomas et Alexandra, ont été engagés par un vieux loup de mer : Tobias Carlsson. Cette fois, il ne s’agit pas de résoudre une enquête, mais d’assurer la protection de cet arnaqueur aux nombreux ennemis, et dont la tête a été mise à prix. Une course-poursuite s’engage à travers le monde. Equateur, Porto Rico et le redoutable triangle des Bermudes… Les tueurs, nombreux et déterminés, n’hésitent pas à les suivre jusqu’en mer. Soryan, obligé d’utiliser un masque surpuissant qu’il maîtrise mal, provoque une effroyable tempête capable de tout balayer sur son passage, amis comme ennemis. Au risque de provoquer la fin des aventures de l’Agence 100 visages ?
Présent sur le salon le Samedi après-midi et dimanche
Avant de se consacrer à l’écriture, Lorraine Fouchet a été urgentiste pendant quinze ans. Auteur de dix-sept romans, dont L’Agence (prix des Maisons de la Presse), Couleur Champagne et d’une lettre ouverte à son père, J’ai rendez-vous avec toi. Ses derniers succès, Entre ciel et Lou, Les Couleurs de la vie,Poste restante à Locmaria et Tout ce que tu vas vivre ont paru chez EHO. Elle vit entre les Yvelines et l’île de Groix.
Tout oppose Lise et Cerise. Pourtant, elles sont mère et fille et cohabitent bon gré mal gré. Jusqu’au jour où, à l’âge de dix-sept ans, Cerise a vent d’une étrange rumeur : elle aurait été adoptée. Et la source n’est autre que sa mère ! Elle en serait presque soulagée tant elles peinent à se supporter, mais le répit est de courte durée. La mort d’Axel, ce père qu’elle adore, laisse les deux femmes en tête à tête alors que Cerise apprend, après enquête, que la rumeur n’était qu’un mensonge. Mais pourquoi sa mère a-t-elle inventé et colporté pareille énormité ?
Le juste endroit de ta vie est le roman à trois voix d’une famille où l’on se lacère avec courtoisie et élégance. Chacun défend son point de vue, mais y’en a-t-il un qui prévale ? Entre heurts, jalousie et non-dits, mère et fille accepteront-elles un instant de déposer les masques pour sortir de l’impasse ? À moins que le surgissement d’une inconnue, la maladie, celle qui vous fait tout oublier de vos plus tenaces rancœurs et de vos secrets, ne vienne tout bouleverser…
Une fois encore, Lorraine Fouchet nous secoue et nous émeut avec sa galerie de personnages aussi sensibles qu’attachants qui nous fait voyager de la Bretagne à la Namibie.
® Philippe MATSAS_Leextra – éditions Héloïse d’Ormesson
Sandrine Fourrier est à la fois designer textile, illustratrice et graphiste. Elle est diplômée de l’école Pivaut en illustration et arts graphiques, ainsi que de l’école des Beaux-Arts de Rennes. Elle aime mélanger les techniques (crayonnés, digital et aquarelles) et relever des challenges. Elle illustre ici son premier album chez ZTL-ZéTooLu dont elle adhère complétement à la philosophie.
Il était une fois un prince qui voulait épouser une princesse, mais une vraie princesse… Un simple petit pois permettra-il de savoir si la jeune fille qui frappe aux portes de la ville est une véritable princesse ? L’adaptation du conte d’Andersen en lecture confortable par Liza Todorovic, permet à tous les lecteurs de découvrir ou redécouvrir ce classique de la littérature jeunesse. Les magnifiques illustrations de Sandrine Fourrier apportent une touche de fraîcheur et de douceur. Les jeux en fin d’ouvrage offrent une touche ludique.
Né en Suisse romande, Nicolas Fraissinet apprend tôt les rudiments du piano et grandit dans un environnement mélomane. Sa passion pour le jazz n’a d’égale que son appétit pour la chanson à texte.
C’est de sa propre plume qu’il signe ses premières compositions, servies par un véritable talent de pianiste et un univers original. Les chansons de Nicolas Fraissinet, qui doivent autant au classique qu’au jazz, font l’objet d’un premier EP 6 titres autoproduit en 2005 (Disques Office).
Après plusieurs récompenses, l’artiste est invité à se produire au Québec et dans les festivals de la région alpine, du Paléo Festival à Musilac, accompagné de sa formation comprenant Loïc Molineri (guitare), David Obeltz (basse et contrebasse), Rosalie Hartog (violon) et Mathias Simson (batterie).
Le 11 octobre 2009, Nicolas Fraissinet reçoit le prix de la SACEM. En novembre 2009 paraît le premier album Courants d’Air, remarqué d’emblée par la critique et l’Académie Charles-Cros. Le pianiste-chanteur est à l’aube d’une belle carrière.
Je m’appelle Eliott.
J’ai 25 ans.
Je l’ai appris aujourd’hui. Je serai aveugle dans quinze jours.
Imaginez qu’il ne vous reste que quelques jours pour voir le monde et les personnes que vous aimez. Comment ne pas vous lancer, comme Eliott, à la recherche des seules images que l’on ne peut pas observer du bout des doigts ?
Recueillir les regards qui traduisent la profondeur de l’âme, quand les yeux s’emplissent d’étoiles.
Avant que l’obscurité ne vienne, Eliott découvre que sa quête effrénée lui ouvre les portes d’un monde nouveau, aussi bouleversant qu’inattendu…
Olivier Frébourg est né à Dieppe en 1965. Flaubert et Maupassant furent les maîtres et complices de son adolescence. Éditeur et journaliste, il a notamment publié Nimier, trafiquant d’insolence (prix des Deux Magots, 1990), Port d’attache (prix François Mauriac de l’Académie française et prix Henri Queffélec, 1998), Souviens-toi de Lisbonne, Maupassant, le clandestin (Folio n° 3666), Gaston et Gustave (prix Décembre 2011), et La Grande Nageuse (prix Jean Freustié 2014).
«J’ai la chance d’avoir eu une enfance voyageuse, aérienne comme un palmier. Mais je n’ai pas connu d’odyssée plus intense que celle de parent. Le bonheur et l’exigence d’être un père dans une époque où tout se consommait : les histoires d’amour, les mariages, les divorces, les égo. Une époque aussi où tout se consumait : le sacré, les forêts, la mémoire et même les livres.
L’enfance est un paquebot. Il faut prendre la mer malgré les tempêtes. Où vont les fils ? se demandent les pères inquiets de les perdre de vue sur la ligne d’horizon.»
Margot Fried-Filliozat est coach en relations intimes et sexuelles. Elle intervient dans les collèges et lycées en éducation sexuelle et affective et sur les questions du vivre-ensemble.
Un livre incontournable pour tous les ados et les jeunes adultes.
Je l’aime ou je le désire ?
Comment lui dire non ?
Ça fait mal ?
Et si elle ne cherche qu’un coup d’un soir ?
Et si je ne bande pas ?
Qu’est-ce qui plaît vraiment aux filles ?
Marre des images trash du porno ? Besoin d’infos fiables ? C’est ici ! Un livre qui parle de la vraie sexualité, celle où l’on s’épanouit dans la tendresse et le respect de l’autre.
Isabelle Filliozat et Margot Fried-Filliozat, mère et fille, ont uni leurs talents pour apporter aux jeunes les connaissances, valeurs humaines et compétences émotionnelles et sociales fondamentales sur ce sujet si sensible.
Corps, amour, communication, désir, orientation sexuelle, première fois, consentement, plaisir, porno, viol… : sans ambages, avec clarté et simplicité, Sexpérience aborde tous les sujets de la sexualité des jeunes et de la relation à l’autre.
À partir de 13 ans.
Attention, certaines images peuvent heurter la sensibilité des plus jeunes ainsi que des personnes non averties.
Née en 1998 en Vendée, Charlotte Gaborieau a toujours été passionnée de lecture et d’écriture – les ébauches de textes qu’elle a conservées sont multiples, certaines très anciennes, et « assez drôles maintenant que le temps a passé ».
Après un bac littéraire, elle effectue une année de classe préparatoire et intègre finalement l’université de Nantes pour une licence de Lettres Modernes et d’Anglais. Sa tête toujours en ébullition, elle prévoit d’écrire de nombreux livres. Son genre de prédilection, à l’origine, est la fantasy, mais les années passant elle a appris à aduler de nombreux autres genres (aventure, policier, polar, contes). Il y aura toujours “quelque chose d’inexplicable” dans ses histoires…
“Désorientée et amnésique, Analea se réveille au fond d’une rivière chaotique. Sauvée de la noyade par le jeune chevalier de l’Ombre Aeron, elle découvre l’histoire de Lewsyn, son monde déchiré et l’existence d’Yrazia, une sorcière sanguinaire. À la tête d’une grande armée, cette dernière n’a qu’une idée en tête, contrôler tous les territoires et toutes les créatures magiques.
“Vierge de tout souvenir, mais dotée de fantastiques pouvoirs, Ana deviendra bien vite la victime d’enjeux qui la dépassent.
Découvrira-t-elle son identité ? Saura-t-elle faire face à la violence de ce monde divisé ou deviendra-t-elle l’Arme de la destruction ?”
Humoriste d’origine suisse, Charlotte Gabris se passionne très rapidement pour les arts de la scène. À 5 ans, la jeune femme pratique avec passion la danse avant de découvrir le théâtre à l’âge de 8 ans. Rapidement, elle intègre un conservatoire où elle perfectionne son jeu d’actrice. À l’aise sur les planches, Charlotte réussit à jouer autant dans des pièces contemporaines que dans des pièces classiques. À 17 ans, elle décide de sauter le pas en écrivant son propre spectacle J’en ai marre qu’elle joue dans plusieurs théâtres à Lausanne. Le succès est immédiat et la jeune femme ne tarde pas à s’installer à Paris.
En 2006, alors qu’elle n’a que 19 ans, elle intègre La Grosse émission sur la chaîne Comédie ! où elle révèle son talent d’humoriste. 3 ans plus tard, elle rejoint l’équipe de Laurent Ruquier dans son émission On va s’gêner le temps d’une saison. En parallèle, elle se lance également à la télévision et au cinéma où elle collabore très souvent avec Philippe Lacheau. Elle apparaît ainsi dans ses deux films Babysitting et Babysitting 2 avant de le retrouver dans la comédie Epouse-moi mon pote en 2017. L’année suivante, elle est à l’affiche de Spirou et Fantasio, l’adaptation des aventures du petit Spirou.
Paris, une terrasse de café ensoleillée. C’est l’heure du déjeuner, les gens font la queue. Les salades sont immangeables, une tasse de thé coûte huit euros, le personnel est abject. Mais les gens font la queue.
Une jeune provinciale est attablée, seule. À ses côtés, une Parisienne attend son amoureux qui tarde à la rejoindre.
Deux femmes qui n’ont a priori rien…
Philippe Garand est scénariste et dessinateur de Bandes dessinées tout public. Il a appris à faire de la BD en se plongeant dans les livres de ses aînés : Goscinny pour le scénario, Morris, Hermann, Gotlib, Mandryka, Maëster pour le dessin, mais aussi Vian, Cocteau, Fallet, Allais, Devos… pour leurs mondes imaginaires et drôles qui invitent au rêve. C’est ainsi qu’après un détour par la photographie, il comprend que pour mettre en lumière son univers, il lui faudra le dessiner. Ses idées et ses projets inspirent d’autres auteurs et dessinateurs qui rejoignent les éditions Poulailler Production. En 2007, il se rend compte qu’il peut captiver des salles entières en mettant en scène le processus de création de ses BD. Il monte une animation/spectacle “Le Show du Petit oeuf” qui nourrit l’imaginaire des enfants et leur donne envie de lire et de dessiner.
S’il veut pouvoir continuer à livrer ses pizzas, Rampe en Plan, l’escargot, va devoir passer son permis de conduire ! Accompagnons-le car voilà une occasion en or pour découvrir ou redécouvrir les panneaux et les règles de la sécurité routière.
Présent sur le salon du vendredi matin au Dimanche après-midi.
Béatrice Gédouin Malinge est angevine de naissance et nantaise dadoption depuis 1990. Professeur d’économie à Nantes, elle se passionne pour lhistoire dune des plus célèbres personnalités de la Région : la Duchesse Anne de Bretagne. Cest de là, que naît lenvie de faire découvrir aux jeunes, par le biais de romans, la vie de la duchesse devenue reine de France, ainsi que la richesse des châteaux de la Loire.
Une quête du bonheur autour du monde. Et si finalement il était là, à portée de main ? Louise est une petite fille heureuse, de six ans, vivant dans un petit village de l’Ouest de la France. Cet été, elle s’ennuie un peu, et c’est avec plaisir qu’elle voit arriver son ami Paolo, petit Brésilien venu passé l’an dernier les vacances dans sa famille. Mais cette année, Paolo n’a pas la même joie de vivre. Vivant en orphélinat depuis sa tendre enfance, Paolo aimerait tant trouver le bonheur ! Les deux enfants sont alors emportés dans une formidable quête du bonheur, voyageant de pays en pays, de rencontre en rencontre à travers le monde pour trouver ce don précieux. Mais le bonheur se trouve-t-il vraiment au bout du monde ?
Philippe GILBERT, ce Vendéen du fond des âges, cependant né à Madagascar (1956), sa boulimique passion du cinéma à l’apparition de la télévision au foyer familial à la Mainborgère, en 1962. Un éblouissement pour cet « enfant sauvage », au cursus scolaire lamentable, du collège Beaussire à Luçon au lycée Guitton à la Roche-sur-Yon. C’est qu’il était souvent absent, séchait les cours pour se rendre dans les salles obscures. Il n’en faisait qu’à sa tête et n’a pas changé en vieillissant. Devenu autodidacte forcené, deux longs voyages (route des Zindes, Afrique) furent l’université de ce routard, qui exerça tous les petits métiers, tomba dans la marmite de la FM en 1983, à son retour en Vendée, devenant ainsi journaliste, d’abord de radio puis dans la presse écrite. « Vendée, terre de cinéma » est son huitième livre.
Présent sur le salon le Samedi après-midi et Dimanche après-midi
Corinne Girard vit à Luçon. Elle est responsable du Pôle foncier et patrimoine dans une collectivité territoriale du Sud Vendée, et partage son temps libre entre sa famille, l’écriture et les loisirs créatifs. L’Enfant du secret est son premier livre, écrit dans le cadre de la Masterclass de création littéraire, organisée par la Communauté de Communes Vie et Boulogne.
Comment réagiriez-vous si vous découvriez que votre grand-père n’était pas celui que vous croyiez ? Peut-être comme Thierry Perraudeau, un habitant du Poiré-sur-Vie, dans le bas-bocage vendéen lorsqu’il apprend, le 7 juillet 2017, à la lecture du testament de sa mère, que Raymond, un soldat mort au combat en 1940, s’est infiltré dans sa filiation. En pleine crise existentielle, le Genôt part pourtant tambour battant à la recherche de ses origines, pour comprendre ce qui s’est réellement passé en ce mois de juillet 1942 sur la longue route entre Paris et la Vendée.
Pauline Giraud est née en 1986 à Maisons-Laffitte.
Après un Bac L option théâtre et un passage peu concluant en faculté, elle intègre l’école des Beaux-arts de Grenoble. Diplomée en 2010, elle finit son cursus à Nantes où elle obtient son DNSEP en 2012.
Plasticienne mais pragmatique, Pauline Giraud décroche en parallèle un Master en Technologies numériques à l’Université d’Angers qui lui permettra de travailler dans le milieu culturel et sur différents projets artistiques.
En 2014, elle fonde Ultralazer avec son compagnon Maxence Henry, depuis ils créent ensembles des sculptures en papier et répondent ainsi à diverses commandes.
Et c’est en 2016 qu’Ultralazer évolue vers un projet de bande dessinée, qu’elle co-scénarise aux côtés de Maxence Henry et Yvan Duque.
Serena Giuliano est blogueuse, pigiste et écrivaine. Elle arrive en France, à Talange, en 1994. Serena a alors 12 ans et ne parle pas un mot de français. En trois mois, elle maîtrise la langue et se hisse au niveau de ses camarades de classe. Après un BTS dans le domaine bancaire, elle se lance comme conseillère en image et crée un blog mode et beauté. Mère de deux fils, elle crée son blog autour de la maternité, “Wonder mum”, en 2013.
Après trois ouvrages “Wonder mum” (2014-2016), succès littéraire de l’année 2014, elle signe avec “Ciao Bella” (2019) son premier roman.
« J’ai peur du chiffre quatre. C’est une superstition très répandue en Asie. Le rêve ! Enfin des gens qui me comprennent ! Je devrais peut-être déménager…
– Vous avez beaucoup d’autres phobies ?
– Vous avez combien d’années devant vous ? »
Anna a peur – de la foule, du bruit, de rouler sur l’autoroute, ou encore des pommes de terre qui ont germé… Et elle est enceinte de son deuxième…
Gaston Godard, né à Saint-Fulgent, est enseignant-chercheur en sciences de la Terre à l’Université de Paris.
Ce livre retrace la singularité de l’histoire viticole de la Vendée : la géologie et les premières traces de vin datant de l’Antiquité, mais aussi les traditions liées à la vigne, les vendanges, la cave où l’on reçoit les amis, les chansons à boire… Un livre très illustré.
Illustratrice jeunesse depuis une dizaine d’années, Anaïs fait jaillir de ses tubes de gouache des sorcières et des monstres doux. Elle crée Les Éditions du Lumignon en 2014 pour découvrir ce qu’il se passe dans cette fameuse chaîne éditoriale, en dehors de la case « illustration ». C’est une véritable aventure… qui ne fait que commencer !
Le vaste océan, personne ne le connaît mieux qu’un pirate, nom d’une jambe de bois ! Alors imaginez ce qu’un équipage entier de flibustiers farfelus pourrait vous faire découvrir… Plongez dans les pages de cet almanach perpétuel en bonne compagnie : de joyeux pirates vous emmènent explorer les mers ! Des profondeurs des abysses jusqu’aux vents capricieux, la vie des océans n’aura plus de secret pour vous. Partagez mille anecdotes et une foule d’astuces que seuls les plus vieux loups de mer connaissent. Et surtout, laissez-vous emporter par ces pirates protecteurs des océans, grands connaisseurs du monde marin et amateurs de rhum… Euh, de voile ! Mieux vaut vous prévenir : la lecture de l’Insubmersible Almanach de l’Océan risque de vous donner envie de hisser la grand voile !
Présente sur le salon du vendredi matin au Dimanche après-midi
Derrière les livres d’Emma Green, il y a en réalité deux auteures françaises de talent qui écrivent en duo des romans modernes, percutants, émouvants. Avec son écriture aussi drôle qu’incisive, Emma Green a séduit des dizaines de milliers de lecteurs, avec, entre autres succès, Call Me Baby, la série des Jeux, Âmes indociles, (Im)parfait, It’s Raining Love !, The Boy Next Room et PS : Oublie-moi !
Il y a Brody, l’architecte sexy ; Dermot, le prof de philo en slip ; Charlotte, l’amie des bêtes mais pas des gens ; Callum, le rugbyman malentendant ; Elif, la boulimique de romances ; et Maeve, qui préfère collectionner les mecs plutôt que les livres. Au milieu de ces colocataires fantasques et parfois invivables, Ada la solitaire va devoir répondre à trois questions existentielles et plutôt urgentes : Comment survivre dans cette maison de fous ? Comment reconstruire sa vie à Dublin, quinze ans après son départ forcé ? Et comment ne pas tomber amoureuse de Brody Gallagher, le bel Irlandais qu’elle a embauché pour rénover l’appartement de son enfance ? Mais à part ça, tout va bien.