Martial Limouzin

2024

Martial Limouzin est né en 1950 dans une famille d’agriculteurs. Engagé dans l’enseignement catholique, il fut d’abord enseignant, chef d’établissements en Vendée puis directeur diocésain de l’enseignement catholique du Morbihan.
Il est également l’auteur de « J’avais 20 ans en 1914 », de « Si tu me disais Papa », d’ « Un siècle avec mon ange gardien » et « Le temps des oranges amères » aux éditions des Oyats.

Anne et Etienne sont de paisibles jeunes retraités installés dans la campagne bretonne alors qu’éclate l’inattendue pandémie du Covid. A l’image de tous les Français, le couple doit alors se confiner dans sa maison du bord de rivière à La Gacilly. Leurs trois enfants Sébastien, Louis et Corentin sont installés avec leurs familles loin du foyer parental.
Anne et Etienne vivent alors des jours improbables fragilisant leur propre santé et remettant brutalement en question leur propre vie. Face à l’adversité, la sérénité s’est envolée. Le couple sans histoires aura-t-il la force de résister ? Pourront-ils émerger de cette tempête en restant portés par leurs convictions humaines ou leurs croyances ? Trouveront-ils les ressources pour vaincre et peut-être même en sortir gagnants ?

Jour de présence : vendredi, samedi et dimanche


2023

Martial Limouzin est né en 1950 dans une famille d’agriculteurs. Engagé dans l’enseignement catholique, il fut d’abord enseignant, chef d’établissements en Vendée, puis directeur diocésain de l’enseignement catholique du Morbihan.
Il est également l’auteur de « J’avais vingt ans en 1914 », de « Si tu me disais papa » et d’ « Un siècle avec mon ange gardien »… aux éditions des Oyats.

Image : couverture du livre : Le temps des oranges amères Printemps du Livre

Dans quelques mois, les soixante ans de la signature des Accords d’Evian feront l’objet de manifestations officielles. Souhaitons qu’elles soient dépassionnées
et porteuses d’avenir. Depuis ces années 1960, les destins personnels ont suivi des cours divers et parfois bien inattendus. Le tableau contrasté porte néanmoins les marques de réussites personnelles et collectives. Tel est le propos de l’ouvrage de Martial Limouzin. Ce sont soixante ans de notre histoire qu’il parcourt au travers d’entrelacs générationnels. Les faits vécus par les personnages dont les noms ont été modifiés, sont pesés, passés au crible de la science historique. Ils interviennent à la manière de jeux de miroirs et permettent les croisements les plus inattendus que réserve l’existence. La fiction s’enracine dans la réalité historique et le sillon des vies personnelles à telle enseigne qu’il est délicat de vouloir classer cet ouvrage dans les catégories habituelles : essai d’histoire, roman historique… On s’y perdrait et est-ce là l’essentiel ?
En revanche, face à toutes les tragédies de cette période, « ce jouet disloqué sur l’océan des aventures », pour reprendre une phrase du Général de Gaulle, est brossé un tableau en forme d’espoir fondé sur des rapports ouverts, respectueux, scellés au coin de l’altérité. Nous sommes en présence d’une hymne de l’écoute, de la tolérance, de la sagesse. Sommes-nous en présence d’une vision irénique de l’histoire et de parcours familiaux ou personnels au sein d’une société qui, depuis soixante années, a connu des modifications considérables ? Ne serait-ce pas plutôt une réponse au voeu que formulait François Mauriac dans le Bloc-notes du 3 janvier 1960, en une période critique où tout espoir semblait vain, « […] rendre la France à sa mission humaine qui est de retrouver un langage commun à tous les peuples, de rétablir le dialogue entre des groupes de nations qui ne se comprenaient plus » (extrait de la préface de Pierre Legal).

Jours de présence : Vendredi, samedi et dimanche


2022

Martial Limouzin est né en 1950 dans une famille d’agriculteurs. Engagé dans l’enseignement catholique, il fut d’abord enseignant, chef d’établissements en Vendée, puis directeur diocésain de l’enseignement catholique du Morbihan. Il est également l’auteur de « J’avais vingt ans en 1914 », de « Si tu me disais papa » et d’ « Un siècle avec mon ange gardien »… aux éditions des Oyats.

Image : couverture du livre : Le temps des oranges amères Printemps du Livre

Dans quelques mois, les soixante ans de la signature des Accords d’Evian feront l’objet de manifestations officielles. Souhaitons qu’elles soient dépassionnées et porteuses d’avenir. Depuis ces années 1960, les destins personnels ont suivi des cours divers et parfois bien inattendus. Le tableau contrasté porte néanmoins les marques de réussites personnelles et collectives. Tel est le propos de l’ouvrage de Martial Limouzin. Ce sont soixante ans de notre histoire qu’il parcourt au travers d’entrelacs générationnels. Les faits vécus par les personnages dont les noms ont été modifiés, sont pesés, passés au crible de la science historique. Ils interviennent à la manière de jeux de miroirs et permettent les croisements les plus inattendus que réserve l’existence. La fiction
s’enracine dans la réalité historique et le sillon des vies personnelles à telle enseigne qu’il est délicat de vouloir classer cet ouvrage dans les catégories habituelles : essai d’histoire, roman historique… On s’y perdrait et est-ce là l’essentiel ? En revanche, face à toutes les tragédies de cette période, « ce jouet disloqué sur l’océan des aventures », pour reprendre une phrase du Général de Gaulle, est brossé un tableau en forme d’espoir fondé sur des rapports ouverts, respectueux, scellés au coin de l’altérité. Nous sommes en présence d’une hymne de l’écoute, de la
tolérance, de la sagesse. Sommes-nous en présence d’une vision irénique de l’histoire et de parcours familiaux ou personnels au sein d’une société qui, depuis soixante années, a connu des modifications considérables ? Ne serait-ce pas plutôt une réponse au voeu que formulait François Mauriac dans le Bloc-notes du 3 janvier 1960, en une période critique où tout espoir semblait vain, « […] rendre la France à sa mission humaine qui est de retrouver un langage commun à tous les peuples, de rétablir le dialogue entre des groupes de nations qui ne se comprenaient plus » (extrait de la préface de Pierre Legal).


2020

Comme 600 mille jeunes de la classe 42, Auguste Limouzin se retrouve requis STO, contraint de travailler dans les usines allemandes. 2 années de peur, d’éloignement et d’humiliation… C’est tout cela que nous raconte, de l’intérieur, ce récit de Martial Limouzin, recommandé par Pierre-Yves Camiade, gérant de la librairie Siloë à La Rochelle.

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