2024
Après l’immense succès de La Délicatesse du homard et La Mélancolie du kangourou, Laure Manel a quitté l’enseignement pour l’écriture. Portraitiste tout en finesse et subtile analyste du couple et de la famille sur lesquels elle pose un regard aussi tendre qu’acéré, la romancière n’a pas son pareil pour nous livrer de magnifiques réflexions sur l’existence. Après Ce que disent les silences, elle se penche avec subtilité dans son onzième roman sur les conséquences qu’un drame peut avoir sur la vie d’une famille en apparence stable et heureuse.
Ils sont cinq membres d’une même famille. Ils sont fille, fils, mari, mère et sœur de Catherine.
C’est une famille comme les autres. C’était une famille (comme les autres)… jusqu’à ce que l’arrestation de Catherine bouleverse tout.
Crédit photo : Pauline Darley
Jours de présence : vendredi après-midi, samedi et dimanche
2023
Après l’immense succès de La Délicatesse du homard et La Mélancolie du kangourou, LAURE MANEL a quitté l’enseignement pour l’écriture. Portraitiste tout en finesse et subtile analyste du couple et de la famille sur lesquels elle pose un regard aussi tendre qu’acéré, la romancière n’a pas son pareil pour nous livrer de magnifiques réflexions sur l’existence ainsi qu’en attestent L’Ivresse des libellules, L’Embarras du choix, Histoires d’@ ou encore Le Sourire des fées, la suite bouleversante de La Mélancolie du kangourou. Après l’ironie douce-amère du Craquant de la nougatine qui confrontait le sens du devoir à la passion, et Les Dominos de la vie dans lequel elle livre un récit puissant et actuel, aux frontières de la narration et de l’autobiographie, elle se penche cette fois, dans son dixième roman, sur un secret de famille et la complexité des relations.
À la mort de son père avec lequel elle avait coupé les ponts, Adèle découvre chez lui des lettres, dont l’une lui révèle l’existence d’un secret autour de la mort de sa mère alors qu’elle n’avait que quatre ans.
Mue par un irrépressible besoin de vérité, Adèle décide de se rendre là où elle trouvera certainement des réponses, l’île sur laquelle elle est née et qu’elle a quittée à l’âge de six ans : Ouessant. Elle qui s’était pourtant juré de ne jamais y remettre un pied…
D’entrevues en rencontres, Adèle va découvrir autant l’histoire de l’île que celle de sa famille… et se rendre compte qu’un secret en cache peut-être un autre…
Jours de présence : Vendredi après-midi, samedi et dimanche
Crédit photo :
2022
Après l’immense succès de La Délicatesse du homard et La Mélancolie du kangourou, LAURE MANEL a quitté l’enseignement pour l’écriture. Portraitiste tout en finesse et subtile analyste du couple et de la famille sur lesquels elle pose un regard aussi tendre qu’acéré, la romancière n’a pas son pareil pour nous livrer de magnifiques réflexions sur l’existence ainsi qu’en attestent L’Ivresse des libellules, L’Embarras du choix, Histoires d’@ ou encore Le Sourire des fées, la suite bouleversante de La Mélancolie du kangourou. Après l’ironie douce-amère du Craquant de la nougatine qui confrontait le sens du devoir à la passion, elle livre avec Les Dominos de la vie un récit puissant et actuel qui joue avec les frontières de la narration et de l’autobiographie.
En apprenant qu’elle est enfin guérie d’une tumeur invasive consécutive à des violences obstétricales, une jeune trentenaire voit sa vie basculer. Qui pourrait penser qu’une si bonne nouvelle puisse provoquer un tel choc ? Comment croire vraiment à la guérison ? Comment apprivoiser la peur de la rechute ? Et surtout, que faire de ce formidable appétit de vivre, de cette quête de sens et de « plus » qui envahit quand on se sait passé à côté du pire ? Pour Amélie, architecte d’intérieur mariée avec son amour de lycée et heureuse maman d’un petit garçon de quatre ans, la vie paraît soudain morne et sans saveur. Bien décidée à embrasser pleinement cette deuxième vie et ne plus laisser la peur, la raison et les doutes gouverner son existence, la jeune femme ose pour la première fois… De petits en grands changements, Amélie se réinventera-t-elle entièrement et trouvera-t-elle le bonheur auquel elle tend ?
Crédit photo : Pauline Danlay
Jours de présence : vendredi après-midi, samedi et dimanche
- Fonction/Mandat : Autrice