Bernard Minier, reconnu pour ses thrillers captivants et ses intrigues palpitantes, s’impose depuis plusieurs années comme l’une des voix majeures du roman noir français. Son premier roman, Glacé, paru en 2011, est unanimement plébiscité par le public et la critique. Cet ouvrage mettant en scène le commandant Servaz, devenu un personnage emblématique de l’auteur, remporte le prix du Festival de Cognac et est adapté en série télévisée.
Mêlant suspense, tension psychologique et intrigue policière, les romans de Bernard Minier sont aujourd’hui traduits dans de nombreuses langues et captivent des lecteurs du monde entier. En dix ans, il a vendu plus de 6 millions d’ouvrages, faisant de Bernard Minier l’un des auteurs les plus lus dans le pays. Son dernier roman Les Effacées est paru en 2024 aux Éditions XO et les droits de son roman Lucia ont été acquis pour une prochaine adaptation en série télévisée.
Neuropédiatre, Véronique Dezellus accompagne au quotidien de très nombreux enfants présentant des troubles du neuro-développement. Grâce à Augustin, les petits pas de la victoire, un album jeunesse sur la différence, elle souhaite mettre à profit son expérience pour sensibiliser avec bienveillance le grand public sur les aspects positifs de l’inclusion et permettre aux parents et aux proches qui ne comprennent pas toujours les effets du handicap de mieux apprécier les situations que vivent les enfants.
Augustin est un petit garçon qui présente des difficultés motrices. Grâce à l’aide de ses parents et des différents professionnels qui l’accompagnent, il devient, en grandissant, de plus en plus autonome malgré sa différence. Il nous raconte avec émotion son histoire dans laquelle il se confie à son doudou Titou ! Cet album s’adresse aux enfants comme Augustin, qui en devenant conscients de leurs difficultés, se posent de nombreuses questions. Les familles et les rééducateurs trouveront aussi matière à échanger avec les enfants en leur proposant de s’épanouir malgré le handicap. A reçu le Prix Initiative handicap 2022
À sa sortie des Beaux-Arts de Rennes, Véronique Grisseaux apprend la mise en couleur aux côtés de Jean-Claude Fournier, célèbre dessinateur breton des Aventures de Spirou et Fantasio.
À Paris, Véronique Grisseaux est coloriste pour Dupuy & Berberian, Ptiluc…
1996 : Véronique Grisseaux rencontre Catel, dessinatrice pour la jeunesse. Elle réalise les couleurs des histoires de cette dernière, jusqu’à ce qu’elles décident d’écrire à quatre mains les aventures de Lucie.
2000 : Sortie de Lucie s’en soucie, premier album signé Catel et Grisseaux.
Puis trois autres tomes sortiront chez Casterman.
Véronique a écrit également pendant de nombreuses années pour la série TV : Un gars / Une fille.
Elle est actuellement auteure, scénariste et adaptatrice BD, pour plusieurs maisons d’édition.
Cet été, Skye va s’ennuyer ! Toutes ses sœurs ont des projets ou des stages, alors qu’elle n’a rien de prévu à part aider ses parents dans leur boutique.
Mais l’arrivée de Georges, un jeune campeur, qui a décidé de chercher des trésors dans la région, peut changer la donne…
En plus, ils découvrent que Rose, une dame âgée du voisinage, est menacée par un promoteur immobilier, qui veut la forcer à quitter son cottage.
Est-ce que le promoteur est dans son droit ? Pourquoi les animaux de Rose sont toujours en-dehors de leurs enclos la nuit ? Skye et Georges vont mener leur petite enquête… et peut-être se rapprocher…
Véronique Hermouet est née en 1976. Jeune fille, elle dessine toujours et tout le temps, ce qui l’amène en septembre 1996 à faire une Mise A Niveau Arts Appliqués suivit de deux ans de B.T.S. Communications Visuelles. Tout naturellement, au fil des années, elle devient illustratrice jeunesse. C’est une maman, artiste à plein temps, qui a su garder une âme d’enfant.
Il y avait une maison :
Insomny, la chouette, va répondre à toutes les questions que l’on se pose sur nos étoiles, pour le plus grand plaisir de son ami Crapoto qui est vraiment très curieux. Pourquoi la lune n’est-elle pas toujours ronde ?
Par nuit claire, combien voit-on d’étoiles à l’œil nu ?
Jeune fille, elle dessine toujours et tout le temps, ce qui l’amène en septembre 1996 à faire une Mise A Niveau Arts Appliqués suivit
de deux ans de B.T.S. Communications Visuelles.
Tout naturellement, au fil des années, elle devient illustratrice jeunesse.
Elle imagine et créé des illustrations hautes en couleurs, remplies de détails et de personnages attachants.
Installée sur le Bassin d’Arcachon, son univers fut découvert par une maison d’éditions locale. Et, en 2006, nous pûmes commencer à suivre son travail au travers des aventures de “Poiplume et Dokipic”. En 6 ans, Véronique a réalisé 18 albums, illustré 7 histoires pour différents collectifs, et créé de nombreux produits tels que des faire-part de naissance, mariage, faire-part d’adoption, de la décoration pour les chambres d’enfants (stickers, tableaux, applique murale…), une série de cartes postales, des jeux éducatifs (mémo, loto, domino, puzzle…..), des planches de gommettes et bien plus encore…
C’est une maman, artiste à plein temps, qui a su garder une âme d’enfant.
Comment vivent les princesses ? Que font-elles dans leur château ? Qu’est-ce qui différencie un diadème d’une couronne ? C’est à ces questions, parmi bien d’autres, que ce mini-guide va répondre, avec des illustrations hautes en couleurs !
Présente sur le salon le vendredi, samedi et dimanche
Véronique Ovaldé a publié dis romans dont Et mon coeur transparent (prix France Culture-Télérama), Ce que je sais de Vera Candida (prix Renaudot des lycéens 2009, prix France Télévisions et Grand Prix des lectrices de Elle), Des vies d’oiseaux, La Grâce des brigands (L’Olivier, 2008, 2009, 2011, 2013) et, plus récemment, Soyez imprudents les enfants et Personne n’a peur des gens qui sourient (Flammarion, 2016 et 2019).
Fille en colère sur un banc de pierre, Flammarion
Quand elle décroche, Aïda entend sa sœur lui lancer un grotesque “coucou”; on ne dit pas coucou à quelqu’un qu’on n’a pas vu (et pas voulu voir) pendant quinze ans. Ce qui laisse Aïda stupéfaite, c’est moins ce que lui annonce Violetta que la brutale réapparition de l’idée de famille dans sa vie – si l’on peut appeler “vie” le méticuleux et répétitif ordonnancement de son quotidien. Des années à patiemment les oublier tous, et voila qu’invitation lui est faite de se rendre à lazza pour les obsèques du père, il s’ignore Salvatore, celui-là même qui l’avait bannie adolescente de cette île. Sans que sa mère et ses deux sœurs ne s’y opposent d’ailleurs. Aida, qui s’est si bien appliquée depuis à perdre son “air de famille”, pense arriver en étrangère. Mais ce qu’elle ignore, c’est la menace que suscite son retour. Quand on a banni un proche, il ne faudrait jamais l’inviter à revenir.
Véronique Ovaldé, à travers l’histoire d’une famille frappée par une mystérieuse tragédie, ausculte au plus près les relations que nous entretenons les uns avec les autres et les incessants accommodements qu’il nous faut déployer pour vivre nos vies.
Victor Jestin a 25 ans. Il a passé son enfance à Nantes et vit aujourd’hui à Paris. La Chaleur est son premier roman.
« Oscar est mort parce que je l’ai regardé mourir, sans bouger. Il est mort étranglé par les cordes d’une balançoire. » Ainsi commence ce court et intense roman qui nous raconte la dernière journée que passe Léonard, 17 ans, dans un camping des Landes écrasé de soleil. Cet acte irréparable, il ne se l’explique pas lui-même. Rester immobile, est-ce pareil que tuer ? Dans la panique, il enterre le corps sur la plage. Et c’est le lendemain, alors qu’il s’attend chaque instant à être découvert, qu’il rencontre une fille.
Ce roman est l’histoire d’un adolescent étranger au monde qui l’entoure, un adolescent qui ne sait pas jouer le jeu, celui de la séduction, de la fête, des vacances, et qui s’oppose, passivement mais de toutes ses forces, à cette injonction au bonheur que déversent les haut-parleurs du camping.
Jours de présence : samedi et dimanche
2020
« Oscar est mort parce que je l’ai regardé mourir, sans bouger. Il est mort étranglé par les cordes d’une balançoire. » Ainsi commence ce court et intense roman qui nous raconte la dernière journée que passe Léonard, 17 ans, dans un camping des Landes écrasé de soleil. Cet acte irréparable, il ne se l’explique pas lui-même. Rester immobile, est-ce pareil que tuer ? Dans la panique, il enterre le corps sur la plage. Et c’est le lendemain, alors qu’il s’attend chaque seconde à être découvert, qu’il rencontre une fille.
Ce roman est l’histoire d’un adolescent étranger au monde qui l’entoure, un adolescent qui ne sait pas jouer le jeu, celui de la séduction, de la fête, des vacances, et qui s’oppose, passivement mais de toutes ses forces, à cette injonction au bonheur que déversent les haut-parleurs du camping.
Originaire de Madrid, ce jeune dessinateur est passionné de bandes dessinée depuis son plus jeune âge. Il fait ses premières armes à l’ESDIP de Madrid où il y suit une formation artistique. Ses premiers projets professionnels l’orientent rapidement vers des travaux de commande pour le secteur jeunesse mais également dans le cinéma d’animation comme storyboarder et coloriste. Il dirige son premier court-métrage Closed sorti en 2015 et publiera en parallèle Les Petites Marées, Rose, troisième histoire de la collection créée par Séverine Vidal chez Les Enfants Rouges. Son style tant délicat qu’épuré lui vient de ses influences multiples. Véritable touche-à-tout artistique, il s’inspire autant de Takehiko Inoue (Slam Dunk…) que de Frederik Peeters (Aâma…). Il signe donc en 2020 son arrivée dans le catalogue Grand Angle avec Puisqu’il faut des hommes sur un scénario de Philippe Pelaez puis il revient dès 2021 avec le one shot poignant Le Plongeon sur un scénario de Séverine Vidal.
Un jeune homme sort du bus et flashe sur une femme qu’il ne reverra plus. C’est le point de départ de ce récit choral où les protagonistes, tous en train d’échouer dans leurs relations personnelles, sont comme les pièces d’un jeu d’échecs. Des pions qui se demandent si ce n’est pas le moment de sacrifier une pièce pour continuer à avancer aux fous qui se regardent à distance espérant qu’aucune pièce ne se place entre eux, les empêchant de se retrouver, en passant par la tour qui ne s’expose jamais car, aussi dure qu’elle soit, une tour peut être prise par un simple pion, tous avancent, se confrontent, se déplacent dans leur vie comme sur un échiquier. Ils sont tous connectés sans même le savoir et vont jouer une partie qui va changer leur vie.
Jours de présence : vendredi après-midi, samedi et dimanche
Illustratrice de l’album jeunesse Inès à l’Océarium.
« Dis, comment il s’appelle ce poisson ? »
Accompagner son enfant dans la découverte du monde qui nous entoure et partager son émerveillement est un fabuleux moment de vie.
Cet album retrace un de ces instants où rêve et imaginaire se mêlent à la réalité.
L’océan est un monde emplit de mystères qui fascine l’humanité depuis toujours.
Prendre le temps de le regarder, apprendre à mieux le connaître nous aidera à retrouver l’harmonie qui nous relie à la nature.
Vincent Hauuy est un concepteur de jeux vidéo, romancier et scénariste. Il est titulaire d’un master en information et communication à l’Université de Metz en 2000. “Le tricycle rouge”, son premier roman, a obtenu le Prix VSD-RTL du meilleur thriller français 2017.
2035. La Terre est en sursis : les catastrophes climatiques se multiplient, les sociétés sont en ébullition et les réserves d’eau potable se raréfient. Le survivalisme prend de l’ampleur. Survivre devient à la fois un défi et une obsession. C’est aussi le thème et le nom du grand jeu télévisé que lance le milliardaire Alejandro Perez, magnat des intelligences artificielles. Dans l’énorme complexe construit ad hoc dans l’Idaho, le lancement de Survivre s’annonce spectaculaire.
Mais lorsqu’un agent de la DGSE infiltré dans l’organisation de Perez disparaît, son frère, l’ex-journaliste Florian Starck, se décide à intégrer l’émission. Et découvre un envers du décor aussi mystérieux que terrifiant. Car la promesse d’un grand divertissement dissimule un objectif beaucoup plus sombre. Dès la première épreuve, le compte à rebours commence. Pour les candidats. Pour Florian Starck.
Et pour nous tous.
Vincent Langlais est né à La Roche sur Yon en 1977. Passionné de littérature, de BD et de mangas, il s’affirme d’abord en tant que poète en publiant quelques recueils en autoédition. Il devient ensuite membre de la société des écrivains de Vendée.
L’écriture de “Karan” a débuté il y a huit ans. Sa première publication chez un éditeur arrive en 2020 avec “Minerva Project” chez Nanachi éditions, ce qui lui a permis de participer à de nombreux salons du livre et conventions. “Karan” est achevé d’écrire à la fin de l’année 2023 pour être publié chez Vent des Lettres en 2024.
«Née dans l’imagination ancestrale des hommes, la créature se tenait là, manifestant une humeur courroucée toujours plus menaçante. Ses écailles luisaient d’un éclat qui sublimait tout son être pour lui donner une magie que la plupart des praticiens en arts cachés n’auraient pu oser concevoir. Cette apparition presque divine se rapprochait d’eux et, situation inédite depuis leur arrivée, Neus et Stendhra ne voyaient aucune issue à ce piège».
Adepte de la science-fiction, poète parfois, créateur d’aventures certainement, Vincent Langlais nous emmène à nouveau dans son univers imaginaire. Un récit surprenant et addictif, Karan illustre à merveille le talent de l’écrivain.
Née en 1962 à Lorient, Virginie Caillé-Bastide a travaillée plus de trente ans dans la publicité. Après Le Sans Dieu, Le Sans Maître est son deuxième roman.
En 1720, au nord de la Bretagne, Côme de Plancoët mène une vie paisible dans la seigneurie qu’il administre avec bienveillance. Célibataire et sans héritier, sa situation étonne. Mais qu’importe, sa bienveillance fait taire les mauvaises langues.
Ses journées se partagent entre ses deux passions : l’équitation et la lecture. C’est d’ailleurs dans sa bibliothèque qu’il passe le plus clair de son temps. Avide de connaissances, il entretient une abondante correspondance dans toute l’Europe avec nombre de savants, dont certains témoignent d’une ouverture d’esprit dangereuse pour l’époque. Or il ignore qu’un ennemi puissant, cherchant à venger sa famille, lui voue une haine implacable et tisse un piège redoutable.
L’existence de Côme va voler en éclats et le conduire à croiser le chemin d’un druide sans âge aux pouvoirs étonnants, d’une jeune cavalière émérite au caractère bien trempé et des membres de sa famille ressurgissant du passé.
Un roman d’aventures qui nous embarque en terres bretonnes rythmé par la chevauchée d’un héros qui combat l’obscurantisme par la science et la vengeance par l’amour.
Photo Philippe Matsas/Leemage/editions Héloïse d’Ormesson
Virginie Carton est journaliste à La Voix du Nord et spécialiste de la musique et la chanson française. Elle est l’auteure de Des amours dérisoires (éditions Grasset, 2012), La Blancheur qu’on croyait éternelle, (éditions Stock, 2014) et La Veillée (éditions Stock, 2016). Elle est également co-auteur de Et nous sommes revenus seuls avec Lili Keller-Rosenberg (Plon, 2021).
Nous nous étions promis de n’être que des amants. Que nos vies resteraient belles et ordonnées. Que nos amours seraient respectées. Que des amants, parce qu’il est des gens destinés à s’unir pour la vie. Que nous n’en étions pas. Que des amants, parce que nos corps se trouvaient bien ensemble, ne voyaient aucune raison de s’en passer. Que des amants parce que tu vois, déjà demain, je suis si loin.
Hélène, n’est pas encore mariée ni mère lorsqu’elle rencontre son amant, un homme de scène. De la naissance d’une liaison à la prise de conscience d’une passion, cette excroissance amoureuse, gracieuse parce que légère, intense parce qu’éphémère devient le refuge d’une histoire sans avenir.
Avec pudeur, et justesse, Restons, bons amants est à la fois un hommage aux aimés, à la force d’être femme et au vertige que nous procurent les amours interdites.
Grâce au succès de ses romans, Virginie Grimaldi est la romancière française la plus lue de France en 2019 et 2020 (Palmarès Le Figaro : GFK).
Traduits dans plus de vingt langues, ses romans sont portés par des personnages attachants et une plume poétique et sensible. Ses histoires, drôles et émouvantes, font écho à la vie de chacun.
Juliane n’aime pas les surprises. Quand son père fantasque vient s’installer chez elle, à la suite de l’incendie de sa maison, son quotidien parfaitement huilé connaît quelques turbulences. Jean dépense sa retraite au téléachat, écoute du hard rock à fond, tapisse les murs de posters d’Indiens, égare ses affaires, cherche son chemin. Juliane veut croire que l’originalité de Jean s’est épanouie avec l’âge, mais elle doit se rendre à l’évidence : il déraille. Face aux lendemains qui s’évaporent, elle va apprendre à découvrir l’homme sous le costume de père, ses valeurs, ses failles, et surtout ses rêves. Tant que la partie n’est pas finie, il est encore l’heure de tous les possibles.
Crédit photo : Céline Nieszawer
Jours de présence : Samedi et dimanche matin
2020
Virginie Grimaldi s’est aujourd’hui imposée dans le paysage littéraire français et fait partie des dix romanciers français les plus lus en 2018 (palmarès Le Figaro : GFK). Ses romans, merveilles d’humanité, sont plébiscités par les lecteurs, en France comme à l’étranger.
« Lorsque nous avons emménagé impasse des Colibris, nous avions vingt ans, ça sentait la peinture fraîche et les projets, nous nous prêtions main-forte entre voisins en traversant les jardins non clôturés. Soixante-trois ans plus tard, les haies ont poussé, nos souvenirs sont accrochés aux murs et nous ne nous adressons la parole qu’en cas de nécessité absolue. Nous ne sommes plus que six : Anatole, Joséphine, Marius, Rosalie, Gustave et moi, Marceline. Quand le maire annonce qu’il va raser l’impasse – nos maisons, nos mémoires, nos vies –, nous oublions le passé pour nous allier et nous battre. Tous les coups sont permis : nous n’avons plus rien à perdre, et c’est plus excitant qu’une sieste devant Motus.»
À travers le récit de leur combat et une plongée dans ses souvenirs, Marceline raconte une magnifique histoire d’amour, les secrets de toute une famille et la force des liens qui tissent une amitié.
2023
Virginie Grimaldi est née en 1977 à Bordeaux où elle vit toujours. Traduits dans plus de vingt langues, ses romans sont portés par des personnages attachants et une plume poétique et sensible. Ses histoires, drôles et émouvantes, font écho à la vie de chacun. Elle est la romancière française la plus lue de France depuis 2019 (Palmarès Le Figaro : GFK).
À 33 ans, Iris trimballe sa vie dans une valise. Théo, 18 ans, a peu de rêves, car ils en foutent partout quand ils se brisent. À 74 ans, Jeanne regarde son existence dans le rétroviseur. Rien ne les destinait à se rencontrer. Quand le hasard les réunit sous le même toit, ces trois êtres abîmés vont devoir apprendre à vivre ensemble. La jeune femme mystérieuse, le garçon gouailleur et la dame discrète se retrouvent malgré eux dans une colocation qui leur réserve bien des surprises. C’est l’histoire de trois solitudes qui se percutent, de ces rencontres inattendues qui sonnent comme des évidences.