Bernard Minier, reconnu pour ses thrillers captivants et ses intrigues palpitantes, s’impose depuis plusieurs années comme l’une des voix majeures du roman noir français. Son premier roman, Glacé, paru en 2011, est unanimement plébiscité par le public et la critique. Cet ouvrage mettant en scène le commandant Servaz, devenu un personnage emblématique de l’auteur, remporte le prix du Festival de Cognac et est adapté en série télévisée.
Mêlant suspense, tension psychologique et intrigue policière, les romans de Bernard Minier sont aujourd’hui traduits dans de nombreuses langues et captivent des lecteurs du monde entier. En dix ans, il a vendu plus de 6 millions d’ouvrages, faisant de Bernard Minier l’un des auteurs les plus lus dans le pays. Son dernier roman Les Effacées est paru en 2024 aux Éditions XO et les droits de son roman Lucia ont été acquis pour une prochaine adaptation en série télévisée.
H comme…Hirtmann
Depuis l’évasion de Julian Hirtmann, le plus célèbre des tueurs en série, Martin Servaz n’est pas le seul à enquêter : détectives amateurs sur le Net, fans de true crime, présentateur star du talk-show le plus regardé de France, écrivain de best-sellers, tout le monde part en chasse.
Mais lorsque la traque mortelle se double de disparitions qui rappellent l’un des plus grands scandales criminels et sexuels des dernières décennies, c’est la terreur qui s’installe.
Quand réalité et fiction finissent par se confondre, le pire est à venir…
Jours de présence : vendredi 28 (après-midi) , samedi (après-midi) 29 et dimanche 30 mars
Marie Sizun, agrégée de lettres, a enseigné en France, puis en Allemagne et en Belgique, avant de se consacrer à l’écriture.
Depuis 2001, elle se partage entre Paris et la Bretagne. Elle a publié avec succès son premier roman en 2005 Le Père de la petite (Arléa, prix Librecourt), puis, également chez Arléa, La Femme de l’Allemand (2007, prix des Lectrices de ELLE, prix des Lecteurs du Télégramme de Brest).
Elle a écrit sept autres romans, dont Un léger déplacement (2012, prix des Bibliothèques pour Tous, prix Charles Exbrayat), La Gouvernante suédoise (2016, prix Bretagne) et un recueil de nouvelles Vous n’avez pas vu Violette ? (2017, prix de la nouvelle de l’Académie française).
Lorsqu’elle était une petite fille, Marie était déjà dotée d’une imagination débordante, nourrie par sa passion pour la lecture. Curieuse et rêveuse, elle a très tôt inventé des histoires. Elle a toujours gardé en tête le désir de partager son imaginaire. Comme il n’est jamais trop tard pour faire une réalité d’un rêve, pour peu que l’on y croit très fort, elle se lance en 2012 dans la littérature jeunesse. Amoureuse de la langue française, des mots et de leur musique, elle fabrique des histoires farfelues, poétiques ou d’aventures, pour les enfants qui aiment la magie des livres.
Un peu sorcière, elle se transforme parfois en chat pour grimper sur les toits et demander à la lune de lui donner l’inspiration.
Sa potion secrète ? Mélanger deux doses de fantaisie, une botte d’optimisme, un filet d’humour, puis assaisonner de lettres de l’alphabet fraichement cueillies et finement ciselées. À boire avec une paille imaginaire.
Marie Vareille est née en Bourgogne en 1985 et vit aux Pays-Bas avec son mari et ses deux filles. Elle est l’autrice de plusieurs best-sellers totalisant plus d’un demi-million de ventes en France, parmi lesquels Désenchantées (Prix des lecteurs de la librairie Lamartine 2023, Prix des lecteurs Système U 2023) paru aux éditions Charleston et au Livre de Poche, ainsi que La Vie rêvée des chaussettes orphelines (Prix des lectrices Charleston 2020 et Prix des Petits mots des libraires 2021). Ses livres sont traduits dans plus d’une dizaine de pays.
Depuis plus de vingt ans, Abigaëlle vit recluse dans un couvent en Bourgogne. Sa vie d’avant ? Elle l’a en grande partie oubliée. Elle est même incapable de se rappeler l’événement qui a fait basculer sa destinée et l’a poussée à se retirer du monde. De loin, elle observe la vie parisienne de Gabriel, son grand frère, dont la brillante carrière d’artiste et l’imaginaire rempli de poésie sont encensés par la critique. Mais le jour où Gabriel rencontre la lumineuse Zoé et tombe sous son charme, Abigaëlle ne peut s’empêcher de trembler, car elle seule sait qui est vraiment son frère…
Un roman unique, brillamment construit et impossible à lâcher avant la dernière page. Des personnages bouleversants qui offrent une voix aux enfants confrontés à la violence des adultes.
Crédit photo : Astrid di Crollalanza
Jours de présence : vendredi après-midi et samedi
2020
Marie Vareille est une romancière et blogueuse qui vit à Paris.
Diplômée de l’ESCP-Europe et de l’Université de Cornell aux États-Unis, elle travaille en tant que Community Manager pour une start-up française. Depuis toujours, ses deux grandes passions sont les livres et les voyages. Elle a notamment parcouru l’Asie, l’Amérique Centrale et l’Amérique du Sud en sac à dos.
Fan de chick-lit et de comédies romantiques, elle partage ses coups de cœurs littéraires sur son blog.
Elle est l’auteure de trois romans feel-good : “Ma vie, mon ex et autres calamités” (City Éditions, 2014), “Je peux très bien me passer de toi” (Éditions Charleston, 2015 – 1er Prix Confidentielles 2015), et “Là où tu iras j’irai” (Fayard/Mazarine 2017). Elle est également auteure d’un roman jeunesse : “Elia, la Passeuse d’âmes” (2016), qui a remporté 4 prix : celui du meilleur roman jeunesse du Parisien/Aujourd’hui en France, le Prix Pierre Bottero 2017, le Prix de la PEEP Maroc 2017 et le Prix des Dévoreurs 2017.
12 nouvelles drôles et romantiques pour un Noël magique !
C’est le soir du réveillon. Catherine a oublié le brie aux truffes, Valentine est coincée dans la cabine d’essayage d’un grand magasin, déguisée en mère Noël. Pauline déprime en Toscane, seule et célibataire. À New York, le Dr Sam Miller se rend à un énième rencard de Noël organisé par sa soeur Imogene. Nina se retrouve enfermée chez elle, sous les toits de Montmartre, avec un inconnu et Audrey est en garde à vue pour avoir manifesté contre un abattoir. Tous ces personnages ont un point commun : malgré les apparences, ils vont passer le réveillon le plus féerique de leur vie !
Êtes-vous prêt pour un Noël 100 % comédie, 100 % romantique, 100 % magique ?
Marilyse Trécourt est romancière et anime des ateliers du bonheur basés sur la psychologie positive et des ateliers d’écriture créative. Elle est également coach en communication éditoriale et chroniqueuse littéraire sur Var Azur TV. Par-dessus tout, elle adore partager, en conférence, son propre parcours et la manière dont elle a réussi à réaliser son rêve d’enfant : écrire pour rendre les gens heureux.
Avez-vous envie de : vous éclater dans votre travail, votre couple, votre famille et votre vie ? ne plus être stressé en permanence (ou presque) ? vous lever tous les matins avec le sourire ? prendre vos décisions en fonction de vos envies plutôt que de vos peurs ? Vous avez répondu “oui” à l’une de ces questions ? Alors vous êtes prêt à envisager un changement (petit ou grand) dans votre vie ! Pour cela, vous n’avez pas besoin d’être un super-héros ! Il vous suffit de suivre les 12 étapes de ce guide, d’expérimenter les principes de la psychologie positive, de gagner en confiance en écoutant les 12 séances de méditation guidée, de vous inspirer des témoignages de ceux qui ont changé de vie et de sortir de votre zone de confort en relevant les 32 défis présentés sur les cartes détachables. Enfin, des exercices pratiques vous invitent à réveiller les super-pouvoirs qui sommeillent en vous pour que vous passiez enfin à l’action !
Présente sur le salon du vendredi matin au Samedi après-midi
Membre du comité de rédaction de la Revue des Deux Mondes, Marin de Viry est notamment l’auteur de Mémoires d’un snobé et de L’Arche de mésalliance, paru aux éditions du Rocher en 2021.
Ecrivain dubitatif, Paul de Salles arrive à un tournant de son existence où même les satisfactions d’amour-propre ne compensent pas l’ennui qu’il éprouve. Son échappée belle : prendre le tragique du quotidien avec légèreté. Par le plus heureux des hasards, Paul tombe sous le charme d’Erika, piquante, sophistiquée, stoïcienne. Elle travaille sans ardeur pour une “ravissante idiote” qui veut passionnément devenir présidente de la République. Cette confrontation entre un certain “esprit français” et une bêtise tristement contemporaine promet d’être riche en étincelles.
Né en 1975, Marin Ledun est romancier. Il a déjà publié une vingtaine de romans, traduits dans de nombreux pays, dont Free Queens (Prix des Lecteurs Quais du Polar / Le Figaro Derrière les murs 2024 ; Prix Livradois Noir 2024 ; Trophée 813 du meilleur roman francophone 2024), Leur âme au diable (Prix Polars en Série 2021, Prix ACT 2022), L’homme qui a vu l’homme (Prix Amila-Meckert 2014, sélection 2016 Prix Polar SNCF) et Les visages écrasés (Trophée 813 du roman français 2011 ; Grand Prix du roman noir 2012 du Festival International du film policier de Beaune, Prix du festival de Polar de Villeneuve les Avignon 2012), et écrit des pièces radiophoniques pour France Culture et France Inter. Docteur en sciences de l’information et de la communication, il est également l’auteur ou le coauteur d’essais, dont Mon ennemi intérieur (2018), Pendant qu’ils comptent les morts (2010) et La vie marchandise (2013). Les visages écrasés a été adapté en 2016 pour Arte et au cinéma sous le titre Carole Matthieu par le réalisateur Louis-Julien Petit, avec Isabelle Adjani et Corinne Masiero. Son dernier roman, Henua, paraît à la Série Noire, aux éditions Gallimard, le 13 février 2025.
Marin Ledun nous emmène à Nuku Hiva, dans l’archipel des Marquises, pour une enquête plus policière que noire, dans un décor de carte postale : végétation luxuriante et eaux d’un bleu profond. Mais cette île n’est pas paradisiaque pour tout le monde…
Un corps est retrouvé en haut d’une montagne. C’est celui d’une jeune femme, Paiotoka O’Connor. Le lieutenant de gendarmerie Tepano Morel, en poste à Tahiti, est dépêché pour enquêter. Sur place, il est secondé par Poerava Wong qui se trouve très bien connaitre la victime.
Arts ancestraux et tradition, ou bien braconnage, commerce d’espèces protégées où encore prostitution, quel est le motif de ce meurtre ? Pourquoi une jeune mère, respectée, empreinte de liberté, aimant passionnément son île, est-elle morte ?
L’enquête va progressivement découvrir l’envers du décor des Marquises : un territoire où le chômage est endémique, la population abandonnée de Tahiti et de la métropole, où les statistiques des violences intra-familiales sont particulièrement élevées.
Et pour Tepano Morel – né d’un père métropolitain et d’une mère marquisienne
– cette enquête est aussi le moyen de renouer avec ses racines et la mémoire de sa mère, personnalité connue de beaucoup sur l’île.
Jonglant avec les fantômes de son passé et ses investigations, le lieutenant découvre un pays rongé par les conséquences de la colonisation et hanté par le spectre des essais nucléaires français, mais où le silence est d’or et les secrets bien gardés….
Jours de présence : samedi 29 et dimanche 30 mars 2025
Marine Spaak est une autrice engagée. Depuis quelques années, elle dessine et analyse sur son blog Dans mon tiroir son expérience du sexisme ordinaire. Elle y raconte les injustices de tous les jours auxquelles les femmes sont souvent confrontées et partage sa quête de liberté et d’indépendance. Sea, sexisme and sun et son premier album BD.
Un roman graphique puisssant qui décrypte les situations sexistes que vivent toutes les femmes au quotidien !
La honte des premiers poils sur nos corps de filles, l’urgence que l’on ressent à tomber amoureuse d’un garçon, les repas de famille au cours desquels nos mères, nos grand-mères et nos tantes s’affairent en cuisine pour découper, rincer, faire cuire, puis débarasser, laver, essuyer, ranger… Le sexisme, nous l’expérimentons d’abord intimement, au sein de notre famille, au travers de notre rapport aux autres et à nous-mêmes, dans la rue : nous grandissons avec, sans même nous en rendre compte.
Mais le sexisme n’est pas qu’une affaire personnelle, il est aussi politique !
La bonne nouvelle, c’est qu’on peut le nommer, le décrire, le comprendre. Et surtout, unir nos incroyables forces de femmes pour le faire tomber ! À travers ses planches drôles et intelligentes, Marine Spaak réfléchit à l’émancipation des femmes et questionne les injonctions auxquelles elles font face tous les jours. Un livre qui bouscule les idées reçues, avec humour et douceur.
Née en juin 1984, à Bressuire, Marion Cocklico est, depuis toute petite, curieuse de tout et pleine de vie. Elle a suivi le cursus Graphisme de l’école Pivaut de Nantes pendant 4 ans. Son diplôme en poche, elle s’est tournée tout naturellement vers l’illustration. Depuis 2008, elle a travaillé pour une quarantaine d’ouvrages divers et variés avec des maisons d’éditions telles que Fleurus, Gallimard, Nathan, Tourbillon, Deux coqs d’or, Gründ, Larousse, Lito, Auzou et récemment Didier Jeunesse.
Marion McGuinness est autrice et traductrice de guides pratiques et de romans. Elle a publié dans la même collection “Égarer la tristesse”, paru en 2019.
Clothilde a fait de l’annonce des mauvaises nouvelles son métier. Son créneau : les interactions que les gens préfèrent éviter. Sa mission : informer avec diplomatie et professionnalisme en cas de ruptures, licenciements, maladies et décès… Née sous X, Clothilde porte un prénom qu’elle déteste et collectionne les objets perdus qu’elle s’efforce de rendre à leurs propriétaires. Elle a deux chats, parce qu’eux ne la contredisent jamais, et une seule amie, Sarah. L’unique défaut de Sarah c’est son frère jumeau, Ben, dont Clothilde ne veut plus jamais entendre parler. Alors qu’elle est confortablement installée dans cette vie un tantinet marginale, Clothilde reçoit la visite du notaire : il a une bonne et une mauvaise nouvelle pour elle. Sa mère biologique vient de mourir, lui laissant un héritage pour le moins inattendu : la garde d’un petit garçon de 8 ans, tout aussi roux qu’elle… qui se révèle être son petit frère. Mais est-ce la bonne ou la mauvaise nouvelle ?
Marion Mousse a vu le jour à Chabeuil dans les années 1970. Auteur au style protéiforme, il signe sa première BD Phinéas en 2001.
Il travaillera pour de nombreux éditeurs avec ses séries Fracasse, Les Contrebandiers de Moonfleet, Tête de marron et Frankenstein.
Aimant naviguer entre les genres, il réalise une biographie de Louise Brooks (Louise et les Loups) pour laquelle il est au scénario et au dessin, et adapte aussi avec Jean-David Morvan L’Écume des jours de Boris Vian.
Multipliant le plaisir de collaborations variées et enri-chissantes avec des scénaristes de renom, il dessine Brune Platine sur une histoire de Lisa Mandel et GoSt 111 pour lequel il gagne avec Mark Eacersall et Henri Scala le prix polar SNCF au festival d’Angoulême en 2021.
La baronne de Pomfrougnac ne lâchera pas le général Pichard. Elle l’a décidé, il faut trouver le soldat Carapat. Il sera le grand gagnant du jeu concours organisé par « Les marraines de France », dont elle est la présidente, et qui apportera à la baronne triomphe et gloire.
C’est réglé, Louise, accompagnée de madame Zaza, ira remettre ce fameux prix pour une photo légendaire qui émouvra la France, Trouffon et Schrapnel les accompagneront.
Voilà, nos élégants protagonistes partent donc, direction la ligne de front, pour retrouver le soldat Carapat…
Marjorie Tixier est professeure agrégée de lettres modernes. Après Un matin ordinaire et Un autre bleu que le tien, tous deux parus chez
Fleuve Éditions et Pocket, À l’encre rouge est son troisième roman.
Lysiane n’a jamais voulu être mère et Jolene n’a jamais considéré comme telle cette tornade blonde aux ongles rouges qui débarquait un lundi sur trois à l’auberge de ses parents pour lui couper les cheveux et faire des remarques acides.
L’enfant grandit loin dans sa paisible province pendant que la mère, partie à la ville, s’épuise à combattre des moulins. Jusqu’à ce qu’elle pose les yeux sur cette fille dont elle ne s’est jamais souciée. Et décide qu’elle sera sa revanche sur la vie.
Un conte cruel où les liens du sang déchirent au lieu d’unir, blessent au lieu d’apaiser. Avec en fil rouge la musique, quête de gloire illusoire ou exutoire salvateur.
Jours de présence : Samedi et dimanche matin
Crédit photo :
2022
Professeure agrégée de lettres modernes, Marjorie Tixier écrit également de la poésie et puise son inspiration dans la musique, la peinture et les voyages. Après Un matin ordinaire paru en 2020 chez Fleuve Éditions et chez Pocket en 2021, Un autre bleu que le tien est son second roman.
Restée mutique suite à un traumatisme dont elle n’a aucun souvenir, Rosanie vit à l’abri du monde depuis vingt ans, enfermée dans son univers feutré, protégée par son sauveur devenu son mari. Un jour, attirée par les thermes de la ville — elle qui craint pourtant l’eau — elle rencontre Félice, une femme sportive et volontaire, brisée par un tragique accident. Fascinée par sa force de caractère, Rosanie se résout à abattre le mur de silence derrière lequel elle s’est terrée pendant si longtemps.
Crédit photo : Melanie Avanzato
Jours de présence : Samedi et dimanche
2020
Le vendredi matin est un moment spécial pour Laurence. Un moment de paix et de liberté qu’elle vole à son quotidien réglé comme du papier à musique entre son travail d’infirmière à l’hôpital, l’éducation de ses deux filles, Julie et Annie, l’attention constante qu’elle accorde à son père malade et à Edmond, son mari entrepreneur. Chaque vendredi matin à neuf heures, Laurence chausse ses baskets et s’en va courir dans la forêt. Elle ne manquerait ce rituel pour rien au monde. Une heure durant, elle peut rêver aux voyages qu’elle n’a encore jamais entrepris, aux mots qu’elle devrait dire à son mari pour qu’il la regarde à nouveau. À sa vieille commère de voisine qui l’épie toujours quand elle rentre de sa course, dissimulée derrière la dentelle de ses rideaux.
Mais ce vendredi-là, lorsque Thérèse entrouvre le rideau à dix heures pile, elle n’aperçoit pas Laurence à l’horizon. Les minutes passent, toujours aucun signe de sa voisine. Paniquée, Thérèse prévient Edmond qui se rend sur place et appelle immédiatement la police. La disparition de Laurence n’est pas jugée préoccupante. Avec une heure de retard, elle finit en effet par réapparaître. Mais alors elle n’est plus la même, et sa vie a basculé.
Après le choc viendra le temps de la reconstruction. Laurence va devoir puiser au fond d’elle-même, découvrir des forces nouvelles, réapprendre à faire confiance aux autres. Pour enfin croire à un nouveau matin, et aux recommencements.
Marta Orzel est diplômée en design graphique à l’Académie des Beaux Arts de Wroclaw, en Pologne. Elle illustre pour l’édition jeunesse (Rouergue, Actes Sud Junior, Gallimard Jeunesse, Milan, Hatier, Didier Jeunesse) et la presse (Télérama, La revue XXI, Le JDD, Georges…).
L’ours Polaire
Sur le chemin qui serpente de page en page, à toi de choisir quel ours tu vas suivre ! Veux-tu accompagner Akiak ou sa soeur Nukka ? Te diriger vers la terre ferme ou l’océan ?
À chaque lecture, tu découvriras ainsi de nouveaux aspects de la vie de l’ ours polaire, de sa naissance jusqu’à la chasse au phoque, mais aussi les menaces qui pèsent sur lui. Une découverte amusante de l’écologie et de la nature !