Bernard Minier, reconnu pour ses thrillers captivants et ses intrigues palpitantes, s’impose depuis plusieurs années comme l’une des voix majeures du roman noir français. Son premier roman, Glacé, paru en 2011, est unanimement plébiscité par le public et la critique. Cet ouvrage mettant en scène le commandant Servaz, devenu un personnage emblématique de l’auteur, remporte le prix du Festival de Cognac et est adapté en série télévisée.
Mêlant suspense, tension psychologique et intrigue policière, les romans de Bernard Minier sont aujourd’hui traduits dans de nombreuses langues et captivent des lecteurs du monde entier. En dix ans, il a vendu plus de 6 millions d’ouvrages, faisant de Bernard Minier l’un des auteurs les plus lus dans le pays. Son dernier roman Les Effacées est paru en 2024 aux Éditions XO et les droits de son roman Lucia ont été acquis pour une prochaine adaptation en série télévisée.
H comme…Hirtmann
Depuis l’évasion de Julian Hirtmann, le plus célèbre des tueurs en série, Martin Servaz n’est pas le seul à enquêter : détectives amateurs sur le Net, fans de true crime, présentateur star du talk-show le plus regardé de France, écrivain de best-sellers, tout le monde part en chasse.
Mais lorsque la traque mortelle se double de disparitions qui rappellent l’un des plus grands scandales criminels et sexuels des dernières décennies, c’est la terreur qui s’installe.
Quand réalité et fiction finissent par se confondre, le pire est à venir…
Jours de présence : samedi (après-midi) 29 et dimanche 30 mars
Jérôme Camut et Nathalie Hug forment un duo unique en France, salué par la critique et le grand public.
Ils sont auteurs de la série à succès W3 et de la tétralogie culte Les Voies de l’ombre, dont le bestseller Prédation est en cours d’adaptation pour le cinéma.
Leur dernier roman, Islanova, a reçu le Prix Ouest 2018.
Né en 1976 Jérôme Loubry a publié chez Calmann Lévy Les Chiens de Détroit Prix Plume libre d’Argent 2018 suivi du Douzième chapitre
« un polar complètement dingue, angoissant, terriblement prenant » selon Le Parisien Son troisième roman, Les Refuges a remporté le Prix Cognac 2019 et le Grand Prix de l’Iris Noir Bruxelles 2019
Novembren2021 Julien Perrault vient d’être nommé chef de la police de Montmorts village isolé desservi par une unique route. Alors qu’il s’imaginait atterrir au bout du monde, il découvre un endroit cossu, aux rues d’une propreté immaculée, et équipé d’un système de surveillance dernier cri. Mais quelque chose détonne dans cette atmosphère trop calme. Est ce la silhouette menaçante de la montagne des Morts qui surplombe le village Les voix et les superstitions qui hantent les habitants Les décès violents qui jalonnent l’histoire des lieux. Dans la lignée des Refuges un thriller stupéfiant à la construction aussi originale qu’habile, qui vous fera douter de vos certitudes à chaque page Un nouveau coup de maître.
Né le 24 avril 1985 à Annecy, menuisier de profession, Jez dessine et apprend les logiciels de graphisme par plaisir au départ. Arrivé à Montpellier, il montre ses dessins et décide de continuer dans le graphisme et d’en faire son métier.
Après quelques logos, affiches, et dessins industriels, il tente la colorisation en parallèle de ses dessins d’illustration. Il fera quelques pages, colorisations et illustrations dans divers magazines qui lui donneront envie de tester la bande dessinée. Après de nombreux projets, c’est donc avec la BD “Damien” puis la série “Enfer et parodie” que commence sa nouvelle et grande aventure. Il illustre par la suite la série de Bd “Kaeloo” et surtout “Le journal d’un noob” qu’il continue encore aujourd’hui.
Jours de présence : Vendredi, samedi et dimanche matin
Après plusieurs séjours en Laponie puis dans le Grand Nord canadien, Jocelyne Ollivier-Henry arrive au Groenland en 1979. Coup de foudre! Elle s’installe bientôt dans une cahute rudimentaire à Siorapaluk, au sein d’une communauté Inuit. Seule femme occidentale à demeurer à 78° de latitude Nord, elle rapporte dans cet ouvrage cette expérience unique.
Les pales ralentissent puis s’immobilisent. Le marchepied sort de la carlingue. Les passagers descendent tandis qu’installé à côté d’une chenillette antidéluvienne, tirant un traîneau, Qipisoq le responsable du comptoir s’avance. En peu de temps, courrier et marchandises sont débarqués. Puto et Tukumek m’attendent et me souhaitent la bienvenue. Niviasiak m’accompagne à la cahute que je vais habiter. Me revoilà au Groenland ! Un ouvrage magnifiquement illustré, en forme de conservatoire de la culture inuit, une culture en pleine mutation entre nouvelles technologies et réchauffement climatique…
Joël Bonnemaison, écrivain, ancien journaliste (Quotidien de Paris – France Télévision) auteur d’une trentaine d’ouvrages, dont des romans historiques sur la Vendée, (Moi Charette roi de Vendée … à L’Homme Rouge de Luçon etc.) et de nombreuses pièces de théâtre, réédite le roman policier, qui parle de chasse , de chiens et aussi de personnages importants dans « Chasse Sanglante en Vendée » .
Voyage au cœur des Services Secrets, rehaussé de poudre et de balles, lors d’une partie de chasse où se rencontrent un président Français et un empereur Africain… Il est conseillé de venir armé !
Jour de présence : dimanche 30 mars 2025 (matin)
2023
Le théâtre de Joël Bonnemaison comporte de nombreuses pièces satiriques, dont certaines se déroulent dans un contexte historique. Le tome 2 est le dernier livre de ce journaliste et écrivain “poil à gratter”.
Vendéen né à Maillezais, au cœur de la Venise Verte, Il commencera très tôt sa vie professionnelle en travaillant en usine. Tour à tour Educateur, formateur, cadre médico-social, il s’engage dans l’éducation populaire et occupera de nombreuses responsabilités dans ce secteur l’économie sociale et solidaire. Auteur Photographe il réalisera également plus de 40 expositions personnelles. L’heure de la retraite arrivée, il commence à écrire : nouvelles régionales, récits et contes, romans… Son roman sur Marie du marais lui apporte le 1er prix d’honneur en 2016. En 2018, il est élu Président de la maison d’édition associative Vent des Lettres.
Ce dernier opus de la saga Marie du marais, nous emmène en ces terres lointaines du Canada où émigra en 1910 Alexandre le père de Marie. Qu’elle aventure que ces longues années à espérer la venue de sa famille tout en affrontant les neiges et les sécheresses successives !
Enfant des années 70, Joël Legars a très vite la bougeotte. Naissance à Aix-en-Provence, jeunesse dans les Alpes, études artistiques bâclées à Lyon et Grenoble, jeune illustrateur enfin à Paris pour Fleurus Presse, les éditions Hachette et d’autres… pour quitter enfin la capitale la trentaine venue… La bonne ville de Rennes l’inspire pour se tourner vers la BD avec La nuit des cendres ou encoreElvis. Hop ! Déménagement pour Erquy, sympathique port de pêche breton puis retour à Rennes… Il crée avec son compère Marc Lizano une maison d’édition qui porte le nom d’un géant (au sens propre) de la littérature… avant de déménager pour Nantes. Avec cette quiétude retrouvée (il fume la pipe en regardant passer les saisons), il élabore un tas de projets, dessins d’humour, bandes dessinées, illustrations, des projets, somme toute, nécessaires à la bonne marche du monde.
Printemps 1942. Pour Chaïm Soutine, peintre juif russe, Paris est devenue trop risquée. Si l’exil à la campagne s’impose aussi pour sa santé, c’est finalement sa créativité qui en tirera le plus grand bénéfice ! La Gestapo semble loin, Soutine trouve en Marcel, le fils du garde champêtre, un modèle particulièrement inspirant. Le gamin qui restera “l’écolier bleu” endure l’humeur de l’artiste et parvient à lui faire tomber peu à peu le masque de l’ogre…
Originaire de Saint-André-Goule d’Oie (Vendée), l’auteur vit à Etampes. Ingénieur puis chercheur, il conseille aujourd’hui des entreprises de technologie. De famille paysanne, ses parents lui avaient transmis le parlanjhe. Le Bidule est pour lui un retour aux sources.
Le bidule :
Dans le premier récit le narrateur, Joël, raconte à la première personne son enquête sur l’histoire des défunts. Le second est centré sur ces derniers, à savoir le prêtre Felix, Abel et Joline, qui vivent au XVIIIe siècle. Tous ont un point commun : ils ont habité, à un moment donné, le « Bidule », petite maison très ancienne, de la ferme de la Gandouinére, en Vendée. L’intrigue tourne autour de deux grandes périodes historiques : l’expulsion des Français hors de Nouvelle-France après la défaite contre les Anglais lors de la guerre de Sept Ans, et les guerres de Vendée pendant la Révolution française.
Joëlle Goron, 79 ans, est scénariste et ex-« Froufrouteuse ». Elle a écrit ce livre avec Delphine Apiou comme Trop jeune pour être vieille, vendu à plus de 12 000 exemplaires.
C’est incroyable le nombre de personnes qui, quand elles parlent de leur enfance, soulignent toujours avec émotion le souvenir de leurs grands-parents, et notamment de leurs grands-mères. Qu’il s’agisse d’apprentissages ou de conseils, elles évoquent des liens très forts, comme si leurs grands-parents avaient été leurs « fondamentaux ». C’était l’époque où les parents confi aient tout naturellement leurs enfants aux grands-parents. C’était l’époque où les mamies portaient des bas de contention, sentaient l’eau de Cologne et préparaient des tartes aux pommes.
Et aujourd’hui ? Être une nouvelle grand-mère, c’est :
avoir d’autres centres d’intérêt que ses petits-enfants (« Non, désolée, chérie, mais le week-end prochain j’ai un stage de yoga Bikram en forêt, je ne peux pas prendre tes enfants ») ;
se plier aux nouveaux diktats (« Oui, c’est formidable, l’éducation
positive : tu as raison, laissons ton fi ls découper mes rideaux ») ;
apprendre à se taire (« Ah bon, tu l’allaites encore à trois ans ? ») ;
essayer de garder un lien avec ses petits-enfants via FaceTime depuis que la famille vit à Toronto (« On voit que le haut de ta tête, mamie ») ;
se lâcher avec ses copines grands-mères (« Allô, Brigitte, j’en peux plus, ils sont encore là trois jours… J’en ai ras le bol du petit pot courgette quinoa ») ;
redécouvrir son mari devenu grand-père (« Ça va, ton genou, quand tu te mets à quatre pattes pour faire le cheval ? ») ;
et aussi beaucoup d’amour, évidemment.
Une nouvelle grand-mère, c’est tout ça, mais chut ! ça ne se dit pas,
sauf dans ce livre.
Jours de présence : Samedi après-midi et dimanche toute la journée ANNULATION DE SA VENUE
Né en 1970, Johan Heliot se consacre pleinement à l’écriture depuis 2002, après avoir enseigné l’histoire-géographie et le français dans un lycée.
À ce jour, il a publié une centaine de nouvelles dans des supports variés (revues, anthologies, journaux…) et une soixantaine de romans, jeunesse et pour adultes, chez de nombreux éditeurs dans les genres de l’imaginaire.
Chez Gulf stream éditeur, il est l’auteur de la série Ciel, sélectionnée pour de nombreux prix dont le Prix Utopiales européen jeunesse 2015 et le Prix Imaginales des Collégiens 2016.