Bernard Minier, reconnu pour ses thrillers captivants et ses intrigues palpitantes, s’impose depuis plusieurs années comme l’une des voix majeures du roman noir français. Son premier roman, Glacé, paru en 2011, est unanimement plébiscité par le public et la critique. Cet ouvrage mettant en scène le commandant Servaz, devenu un personnage emblématique de l’auteur, remporte le prix du Festival de Cognac et est adapté en série télévisée.
Mêlant suspense, tension psychologique et intrigue policière, les romans de Bernard Minier sont aujourd’hui traduits dans de nombreuses langues et captivent des lecteurs du monde entier. En dix ans, il a vendu plus de 6 millions d’ouvrages, faisant de Bernard Minier l’un des auteurs les plus lus dans le pays. Son dernier roman Les Effacées est paru en 2024 aux Éditions XO et les droits de son roman Lucia ont été acquis pour une prochaine adaptation en série télévisée.
H comme…Hirtmann
Depuis l’évasion de Julian Hirtmann, le plus célèbre des tueurs en série, Martin Servaz n’est pas le seul à enquêter : détectives amateurs sur le Net, fans de true crime, présentateur star du talk-show le plus regardé de France, écrivain de best-sellers, tout le monde part en chasse.
Mais lorsque la traque mortelle se double de disparitions qui rappellent l’un des plus grands scandales criminels et sexuels des dernières décennies, c’est la terreur qui s’installe.
Quand réalité et fiction finissent par se confondre, le pire est à venir…
Jours de présence : samedi (après-midi) 29 et dimanche 30 mars
Parti de 9 mai 2009, pour arriver le 17 décembre suivant à Jérusalem
En traversant la France de Montaigu à Archamp (quelques kilomètres de Genève)
La Suisse (par les chemins jacquaires), L’Autriche (le Tyrol …), la Hongrie (Szombathely et Saint Martin), La Roumanie, la Bulgarie, puis, ce sera Istambul
la traversée de la Turquie par la Cappadoce pour arriver à Antioche.
La Syrie (Alep, le Krach des Chevaliers), le Liban (Les cèdres, Beyrouth) à nouveau la Syrie (Damas et Deir Mar Musa) La Jordanie (Madaba, le Jourdain, Pétra), le Sinaï et Israël (Eilat, la Galilée l)
Retrouvez au fil des jours de périple pédestre de 4 600 km à pied et 1 100 en bus ou train
En chemin tout se simplifie …
Un livre de 270 pages avec une centaine de photo et carte
Jours de présence : vendredi 28 et dimanche 30 mars 2025
Jean-Claude Mourlevat est né en 1952 à Ambert, en Auvergne. Il fait des études à Strasbourg, Toulouse, Bonn et Paris, et exerce pendant quelques années le métier de professeur d’allemand avant de devenir comédien et metteur en scène de théâtre. À partir de 1997, il se consacre à l’écriture.
Il a écrit de nombreux roman notamment pour la jeunesse : sa série Jefferson, Le combat d’hiver (recommandé par l’éducation nationale)…
3e enquête pour Jefferson, un hérisson comme vous et moi !
Ce matin-là, Jefferson est surpris par le silence qui règne dans sa maison. Pas un bruit au dehors, et pour cause : le pays des animaux est sous la neige. Alors que notre hérisson étudiant aide son ami Gilbert, le cochon, à déneiger devant son garage, il aperçoit une botte qui dépasse du tas de neige. Au bout de la botte, c’est le corps inconscient du pauvre chat Émile que leur pelle va dégager. Cette terrible découverte plonge les compères dans une nouvelle enquête : le chat photographe a été assommé et son appareil photo a été volé…
Crédit photo : Chloe vollmer lo
Jours de présence : vendredi après-midi, samedi et dimanche
Jean de Saint-Cheron a 38 ans. Le récit Éloge d’une guerrière, consacré à la vie de Thérèse de Lisieux (Grasset, 2023), lui a valu le Prix François-Victor Noury de l’Institut de France, sur proposition de l’Académie française. Auteur remarqué, il a également signé deux essais : Les bons chrétiens (Salvator, 2021), salué par la critique, et Blaise Pascal. Voilà ce que c’est que la foi (Salvator, 2023).
Résistante décorée de la Légion d’honneur par le général de Gaulle, Yvonne Beauvais est une héroïne inconnue, et pour cause : on a voulu effacer son histoire. Cette femme dont la vie, dès l’adolescence, fut dédiée au service des pauvres, se fit religieuse à l’âge de 26 ans et transforma le couvent breton de Malestroit en une clinique moderne. Quand la guerre éclata, elle s’engagea dans la Résistance, cachant parmi ses sœurs une jeune juive puis des dizaines de résistants et de parachutistes alliés. Torturée par la Gestapo, elle sera couverte de médailles à la Libération. Mais elle avait le défaut d’être mystique… Son entourage lui attribuait des phénomènes
extraordinaires, incompréhensibles (stigmates, visions, bilocation…), comme dans les récits du Moyen Âge. Or le surnaturel fait peur : il sent le soufre, le mensonge ou la folie. En 1960, neuf ans après la mort d’Yvonne à l’âge de quarante-neuf ans, l’inquisition de l’Église de Rome referma son dossier de canonisation de façon définitive, sur trois mots cinglants : « Trop de miracles ».
Qui était-elle vraiment ? Une illuminée ? Une affabulatrice prétendant avoir rencontré Adolf Hitler pour se faire briller ? Ou une vraie sainte, victime de misogynie et de jalousie, que firent finalement souffrir les grâces stupéfiantes qu’elle avait reçues ? La réponse est moins simple qu’on pourrait croire, quel que soit le camp dans lequel on se place, sceptique ou admirateur. Retracer son destin, c’est plonger dans un roman mêlant légende, témoignage et récit mystique au cœur de la grande Histoire. Ce que Jean de Saint-Cheron fait avec style et fougue en mettant en scène à la fois son enquête personnelle et les jours d’Yvonne-Aimée. Sans jugement, il se place au plus près de la vérité pour tâcher de dire ce que fut l’existence de cette femme proprement extraordinaire.
Jours de présence : samedi 29 et dimanche 30 mars 2025
Jean-François Pasques est capitaine de police et écrivain. Il a remporté en 2023 le Prix du Quai des Orfèvres.
L’histoire est en marche et n’épargne rien ni personne. La Police Judiciaire ne fait pas exception. Fraîchement nommée, sa nouvelle directrice entend la « moderniser » et l’adapter aux nouvelles pratiques criminelles. Pour le commandant Delestran, cela ne signifie qu’une chose : plus de technologie, moins d’humain. Incapable de s’y résoudre, il tient tête à sa supérieure, ce qui lui vaut d’être mis au placard. Mais bien des voix regrettent qu’un enquêteur d’une telle valeur soit ainsi sous-employé, ce qui pousse la directrice à lui confier un dossier délicat : une plainte pour viol contre une des personnalités les plus en vue du monde des lettres, l’écrivain Dominik Jean. Personnage flamboyant et sulfureux, Dominik Jean pourrait avoir un profil de violeur. Mais le commandant Delestran est surtout subjugué par l’écrivain, mélange sidérant de liberté et de nocivité. Un curieux bras de fer s’engage alors entre les deux hommes : policier, psychologique, philosophique. Delestran ne traque plus simplement le crime, il doit aussi se battre contre sa propre fascination.
Chimiste de formation, Jean-François Pasques est capitaine de police. Après une quinzaine d’années à Paris, notamment à la Section Criminelle de la 1ère DPJ, il travaille désormais à Nantes en Sécurité Publique. La police satisfait son appétit de curiosité humaine, et Fils de personne met en scène ces personnages hauts en couleurs auxquels il est confronté quotidiennement dans son métier.
Un numéro de téléphone, un exemplaire de La Peau de chagrin et un briquet de la Légion étrangère. C’est tout ce qui est retrouvé sur le cadavre d’un homme abandonné dans un bassin du jardin des Tuileries. Alors qu’il piétine déjà dans une enquête sur la disparition de trois jeunes femmes, le commandant Julien Delestran est chargé de l’affaire. Le numéro de téléphone est sa première piste : c’est celui du CNAOP, l’organisme permettant aux enfants nés « sous X » de retrouver leurs parents biologiques. Mais tandis que le commandant essaie d’avancer sur cette nouvelle enquête, la précédente se rappelle à lui quand sa hiérarchie lui adjoint l’aide d’une psychologue. Tout d’abord sceptique face à cette « ingérence », Delestran est bien obligé de reconnaître que Claire Ribot sait mettre au jour la vérité aussi bien que le plus fin des limiers. Et qu’elle ne sera pas de trop pour sonder, avec son groupe, les tréfonds de l’âme humaine…
Jean-François Vivier est un scénariste de bande dessinée. Il a longtemps travaillé pour les éditions Dargaud et Lombard avant de voler de ses propres ailes et de créer “Rêves de bulles”, un label éditorial au profit d’œuvres humanitaires.
Directeur de la collection BD des éditions Artège, il souhaite développer la BD historique.
Scénariste, il a déjà publié les biographies en image de Tom Morel, de Franz Stock, d’Honoré d’Estienne-d’Orves ou de Geneviève de Gaulle-Anthonioz.
Il a adapté également plusieurs romans de Roger Frison-Roche : Premier de cordée, La grande crevasse, Retour à la montagne et La piste oubliée.
En tandem avec Denoël, il a sorti une fiction historique intitulée “Herr Docktor”.
Frère Damien était un jeune belge qui partit en mission à Hawaï à seulement 24 ans. Après plusieurs années à évangéliser une partie de « La grande île », une mission particulière lui fut proposée : se rendre sur l’île de Molokaï pour assurer une présence chrétienne aux côtés des malades de la lèpre. En effet, une épidémie se propageait depuis plusieurs années et les malheureux malades étaient exclus de la société et abandonnés sur cette île. Ce qui devait n’être qu’une mission temporaire dura plus de quinze ans, jusqu’à ce que la maladie emporte Damien lui-même. Entre-temps, le monde entier s’était ému et passionné pour cet homme qui avait poussé la charité jusqu’à vivre au milieu des malades.
Jean-Gabriel Causse questionne avec humour et clairvoyance notre réaction le jour où l’intelligence artificielle sera plus puissante que nous. Il est l’auteur des best-sellers L’Étonnant pouvoir des couleurs et Les Crayons de couleur, traduits en plus de quinze langes.
Une trentaine de missiles nucléaires dans les airs… subitement détournés ! Qui a sauvé notre planète d’une Troisième Guerre mondiale ? Justine, jeune hackeuse éthique, va comprendre qu’Internet s’est découvert un instinct de survie.
Internet, qui abrite l’ensemble de notre savoir, est en train de s’éveiller grâce à nos logiciels d’apprentissage. Il lui manque pourtant quelque chose d’essentiel : l’intelligence des émotions. Justine n’a pas le choix : elle doit faire son éducation et lui apprendre l’empathie. Elle devra faire vite : nombreux sont ceux qui n’ont aucune envie de le voir grandir.
Né dans la Creuse, Jean-Guy Soumy est notamment l’auteur de la trilogie Les Moissons délaissées chez Robert Laffont et, aux Presses de la Cité, du Voyageur des Bois d’en Haut (2019), Une femme juste (2020) et Le Regard de Jeanne (202, Prix Arverne 2022).
Le moulin d’Entrève est à l’arrêt, faute d’un débit d’eau suffisant ; c’est ce que constate Térence, cartographe et peintre paysagiste dans l’armée de Napoléon, à son retour dans les Alpes auprès de ses parents et de sa soeur dans le moulin familial. Ayant promis à son père sur son lit de mort de découvrir la raison qui empêche le torrent de couler, Térence part en compagnie d’un camarade à l’assaut de la montagne. Au terme d’un périple semé d’embûches, il accède à un ultime hameau menacé par la progression d’un gigantesque glacier ; il y intègre une communauté aux abois en lutte permanente. Il trouvera à la fois l’amour et la cause de l’assèchement du torrent alimentant le moulin de la vallée.
Comme toujours impeccablement documenté, l’auteur emmène le lecteur dans le massif du Mont-Blanc à la rencontre d’une nature hostile, implacable et fascinante. Roman historique, dans cette période d’intensification du petit âge glaciaire du début du XIXe siècle, roman régional campé dans le massif du Mont-Blanc, roman d’aventures avec le périple dans la montagne, Le Sentier des âmes est aussi une épopée humaine, celle de la lutte contre la puissance de la nature.
Jean-Joseph Julaud est l’auteur phare de la transmission du savoir chez First. Il est l’auteur de multiples ouvrages dont L’Histoire de France pour les Nuls, La littérature française et La poésie française.
Jean-Louis Cerisier, artiste-peintre et instituteur à la retraite, sillonne inlassablement la région des Pays de La Loire depuis plus de trente ans à la recherche de ces discrets trésors, pour vous les faire partager.
Il est des oeuvres qui accompagnent notre quotidien. Situées au bord des rues, des routes, des chemins ou dans des lieux de rassemblement, communautaire, associatif, commercial, dans la campagne, les villages, les bourgs, les villes.
On ne les remarque pas toujours ou bien elles se font oublier. Peintes par des créateurs autodidactes, confirmés, ou professionnels, oeuvres collectives ou personnelles, elles rendent compte de la diversité et du dynamisme de l’art populaire à travers les époques.
Nombre de celles que vous découvrirez dans cet ouvrage n’existent plus, recouvertes, effacées, détruites. D’autres ont subi les outrages du temps et sont vouées à la disparition. Les photographies n’en sont que plus précieuses pour témoigner de cette forme de création demeurée méconnue.