Bernard Minier, reconnu pour ses thrillers captivants et ses intrigues palpitantes, s’impose depuis plusieurs années comme l’une des voix majeures du roman noir français. Son premier roman, Glacé, paru en 2011, est unanimement plébiscité par le public et la critique. Cet ouvrage mettant en scène le commandant Servaz, devenu un personnage emblématique de l’auteur, remporte le prix du Festival de Cognac et est adapté en série télévisée.
Mêlant suspense, tension psychologique et intrigue policière, les romans de Bernard Minier sont aujourd’hui traduits dans de nombreuses langues et captivent des lecteurs du monde entier. En dix ans, il a vendu plus de 6 millions d’ouvrages, faisant de Bernard Minier l’un des auteurs les plus lus dans le pays. Son dernier roman Les Effacées est paru en 2024 aux Éditions XO et les droits de son roman Lucia ont été acquis pour une prochaine adaptation en série télévisée.
H comme…Hirtmann
Depuis l’évasion de Julian Hirtmann, le plus célèbre des tueurs en série, Martin Servaz n’est pas le seul à enquêter : détectives amateurs sur le Net, fans de true crime, présentateur star du talk-show le plus regardé de France, écrivain de best-sellers, tout le monde part en chasse.
Mais lorsque la traque mortelle se double de disparitions qui rappellent l’un des plus grands scandales criminels et sexuels des dernières décennies, c’est la terreur qui s’installe.
Quand réalité et fiction finissent par se confondre, le pire est à venir…
Jours de présence : samedi (après-midi) 29 et dimanche 30 mars
Ecrivain-journaliste, Franz-Olivier Giesbert débute sa carrière à Paris-Normandie en 1971. Successivement directeur de la rédaction au Nouvel Observateur, au Figaro et au Point (jusqu’en mars 2014). Il reste éditorialiste et conseiller de la rédaction de ce magazine. Puis directeur éditorial de La Provence (de 2017 à 2021).
Il a publié plusieurs romans et obtenu le Grand prix du roman de l’Académie pour L’Affreux (1992), le Prix Interallié (1995) pour La Souille, etc et des biographies : François Mitterrand ou la tentation de l’Histoire (Prix aujourd’hui en 1977). Chirac, une vie.
Il est membre notamment du jury du Prix Renaudot, du Prix Aujourd’hui, du Prix du Quai des Orfèvres…
Dans Le Sursaut, j’ai raconté le redressement gaulliste de 1958, et dans La Belle Époque, la gestion de « mère de famille » des années Pompidou et Giscard. C’était un autre siècle. Mais les décennies suivantes, que j’essaie de faire revivre ici, celles de Mitterrand, Chirac, même Sarkozy et Hollande, nous paraissent elles aussi lointaines, avec leurs promesses et leurs ombres : bicentenaire de la Révolution, chute du Mur, 11 Septembre, irruption des « lieux de mémoire » et éclatement concomitant de notre roman national…
Mitterrand prétendait « changer la vie » en 1981. Onéreuse illusion. La présidence Chirac s’est enrayée sitôt commencée, marquée pourtant par quelques décisions mémorables. Le repli s’est poursuivi, bon an mal an, sous leurs successeurs, qui n’ont pas toujours démérité. La France n’a certes pas encore touché le fond, mais elle s’est laissée aller, au point de ne plus maîtriser ni ses comptes publics ni ses flux migratoires. Sans oublier le délitement de l’autorité qui ronge nos âmes, notre industrie qui se défait, comme notre moral, et la juxtaposition des ghettos communautaires sous l’égide du « vivre-ensemble ».
Ce qui n’empêche ni les plaisirs, ni les rires, ni les joies, ni les chansons de Véronique Sanson et de Francis Cabrel qui égaient notre vie, ni la nostalgie de ceux qui nous ont quittés sans jamais partir – Aragon, Barbara, Johnny Hallyday, Belmondo… Puisant dans mes carnets et le Journal que j’ai tenu pendant des années, j’ai voulu raconter comme je l’avais vécu ce temps de faux espoirs et de vraies ruptures, dans un va-et-vient entre nos perceptions d’alors et notre regard d’aujourd’hui. Avec la conviction qu’il n’y a jamais de fatalité en histoire.
Fred Bernard est une signature incontournable de la littérature jeunesse contemporaine, particulièrement reconnu pour ses albums réalisés en tandem avec François Roca. En bande dessinée, il est l’auteur chez Casterman de la série Jeanne Picquigny qui conte les aventures d’une jeune femme moderne au début du XXème siècle. Passionné d’Hugo Pratt, il prolonge à sa manière toute personnelle, le pendant féminin de l’aventurier Corto Maltese. En bande dessinée, il a également collaboré avec Aseyn ( Nungesser ), Jean-Marc Rochette ( Himalaya Vaudou, Glénat), Benjamin Flao ( Essence, Futuropolis), avec Émile Bravo en jeunesse ( On nous a coupé les ailes, Albin Michel) ou Jean-François Martin ( Le grand Match)
Depuis peu, il collabore avec Jérôme Attal ou Marc Levy sur des séries de romans jeunesse chez Robert Laffont dont il réalise les illustrations.
Il écrit également des chroniques sur la nature et les animaux avec Thomas Baas au dessin pour le journal de Spirou.
Une jeune princesse, Lola-Loup, décide un beau matin que c’est bien joli d’être d’essence royale, mais qu’elle n’a pas envie de finir en peinture, accrochée dans le château comme ses aïeules, les grands-tantes à moustaches. Ce dont Lola-Loup rêve, quitte à énerver très fort son papa le Roi, c’est être une petite fille comme les autres ! Lola–Loup va profiter de la visite annuelle du château par plusieurs classes d’une école voisine pour se mêler aux autres petites filles. Ni vue ni (re)connue, elle va gagner l’amitié de trois écolières bien différentes d’elle, et les entraîner dans l’exploration du grand parc royal. Ensemble, elles arriveront à la lisière d’une forêt gigantesque et partiront à la rencontre d’un arbre cinq-centenaire. Le doyen des végétaux leur révélera une terrible nouvelle : La forêt souffre. Elle est menacée. Par les gesticulations des hommes et les caprices d’une petite… Princesse ! Bouleversée par cette révélation, Lola-Loup va prendre conscience de la réalité écologique, et aussi du monde qui l’entoure après avoir construit une cabane et passé du temps avec ses nouvelles amies. Elle sera prête alors pour affronter la vie et devenir une véritable petite fille…
Jours de présence : Samedi après-midi
2020
Signature incontournable de la littérature jeunesse contemporaine, Fred Bernard est né en Bourgogne en 1969. Passionné par la nature, il serait sans doute devenu vétérinaire ou explorateur s’il n’avait pas été reçu au concours des Beaux-Arts de Beaune. Puis il suit les cours de l’école Émile Cohl à Lyon où il fait la connaissance, en 1991, de son ami et futur collaborateur François Roca.
En 1996, il publie ses premiers albums jeunesse : Mon ami crocodile, chez Albin Michel Jeunesse comme auteur-illustrateur, et remporte ensuite plusieurs prix avec François Roca. Ses histoires sont traduites dans de nombreux pays.
C’est en 2001 qu’il écrit et dessine sa première bande dessinée avec le début des aventures de Jeanne Picquigny. Infatigable conteur et curieux, il adore essayer tous les types d’écrits et joue de ses modèles pour mieux les réinventer.
Fred Bernard a été nommé Chevalier des Arts & des Lettres pour 23 albums jeunesse réalisés en 20 ans.
Après deux albums chez un petit éditeur, Label étoile, Le serpent d’Oya et Le pont du diable (2001), et un troisième, Olivier, dans la collection des « Prénoms en BD » chez Vents d’Ouest en 2005, il participe au collectif Amiante, chronique d’un crime social en septembre 2005, album qui reçoit le Prix Tournesol au Festival d’Angoulême 2006.
Fred Coicault dessine l’adaptation BD du succès cinématographique Bienvenue chez les Ch’tis, parue le 29 octobre 2008 chez Delcourt avec un premier tirage de 150 000 exemplaires.
En 2013, tout en poursuivant une série de strips animaliers dans la veine de Calvin et Hobbes, Scoop dans le Courrier du pays de Retz, En 2014 et 2015, il dessine les deux tomes de Ouïes-dire et récits natatoires, une série humoristique sur les poissons (scénario de Yanick Messager).
2017 est une année riche en parutions avec la BD Stéphane Plaza, promue à la télévision à Vivement Dimanche, C à vous, Touche pas à mon poste !, Salut les Terriens, Les Enfants de la télé et deux BD scénarisées par Renaud Dély, rédacteur en chef de Marianne (magazine), La Dynastie Le Pen et Balkany Company.
En 2018, paraissent, le tome 1, en partenariat avec Triumph (entreprise), d’une nouvelle série sur les motos, Triumph Riders Club, et le tome 2 de Stéphane Plaza.
Début 2020, Le 27 février 2020 sort le tome 1 de la BD sur Les Grosses Têtes de RTL et le 13 mai le tome 2 de Triumph Riders Club.
Jours de présence : Samedi et dimanche
2020
Retrouvez Laurent Ruquier, facétieux chef d’orchestre, entouré de ses fidèles Grosses Têtes dans des scénarios inédits : au studio RTL, en déplacement en Province, à la campagne, au quotidien… Ils sont pareils : une équipe infernale, aussi discrète qu’une école de samba au carnaval de Rio !
Avec : Chantal Ladesou, notre Calamity Jane nationale ; Pierre Bénichou, l’homme qui a donné ses lettres de noblesse à la mauvaise foi ; JeanFi : il ne vole plus, mais il nous fait décoller ! ; Isabelle Mergault, Jean-Jacques Peroni, Laurent Bafie… Et bien d’autres !
Fred Dewilde est dessinateur et auteur de BD. Né en 1966, passionné de rock et de dessin, il est sorti du Bataclan le 13 novembre 2015, chanceux, debout, vivant.
Sa bande dessinée « Mon Bataclan » (Lemieux Editeur) s’est vendue à plus de 9 000 exemplaires.
Frédéric Bischoff est âgé de 54 ans et diplômé de Sciences-Po Paris. Après de courtes expériences au sein de partis politiques, il s’est tourné vers la voie associative, plus concrète, en rejoignant le Réseau Education Sans Frontières et en co-fondant une association d’aide aux familles migrantes.
Il a par ailleurs occupé des postes de direction dans plusieurs groupes internationaux, le plus souvent à l’étranger où il a vécu 17 ans dans six pays différents. Voyageur ouvert sur le monde il a également parcouru près de 20 000 km à vélo dans une douzaine de pays.
La démocratie, un organisme vivant ? Une approche originale qui se propose d’en analyser les mécanismes et les dysfonctionnements.
Journaliste de presse régionale, Frédéric Bodin revient avec ” Meurtres aux Sables, les disparus du pont de la Chaume ” là-même où il a débuté sa vie professionnelle, à la rédaction de Presse-Océan/Vendée Matin. Il signe son troisième roman dans la collection Le Geste noir, après ” Meurtres à Niort, une affaire d’État ” (2016) et” Meurtres à La Rochelle, le mystère de la Reine de Guinée ” (2018).
Le 7 novembre 1978, le pont reliant Les Sables-d’Olonne au quartier de La Chaume était fermé et détruit de façon inopinée, privant les Chaumois et les Sablais d’un accès rapide à l’autre partie de la ville. Quarante ans après, jour pour jour, des ossements sont découverts à l’emplacement de l’ancien pont. Cette date ne tient pas du hasard estime tout de suite le commissaire Alexandre Roullin chargé de l’enquête. Celle-ci ramène le lecteur dans les années soixante-dix, époque de la construction de Port-Olona, avec des enjeux économique importants.
Grand voyageur et ancien reporter, Frédéric Couderc se consacre désormais à la fiction et enseigne l’écriture au Labo des histoires. À chacun de ses romans, il part vivre dans le pays qui sera au cœur de son intrigue pour ne pas trahir son sujet. Il est l’auteur d’Un été blanc et noir (Prix du roman populaire 2013), Le jour se lève et ce n’est pas le tien et Aucune pierre ne brise la nuit.
À Tel-Aviv, une équipe de cinéma tourne un biopic sur Abie Nathan, célèbre pacifiste des années 70 tombé dans l’oubli – à qui l’on doit, parmi ses hauts faits, la création du Voice of Peace sous l’égide de John Lennon. Zeev Stein, l’un de ses plus proches amis, accompagne la réalisation du film. À soixante-dix ans, ce brillant avocat des droits civils, proche du camp de la paix, est mariée avec Hélène depuis quarante ans et forme un couple charismatique. Dans leur ombre, deux enfants : Yonah, une muséographe récemment divorcée qui peine à reprendre pied, et Rafael, prétendument mort, qui a coupé les ponts pour embrasser la vie d’un ultra-orthodoxe.
La vie des Stein, déjà lézardée sous la façade, bascule définitivement quand la star du film Orlando Dito Beck – l’acteur instable qui joue Abie Nathan – disparaît mystérieusement à Gaza et que les ravisseurs islamistes réclament à Zeev une surprenante rançon…
À travers l’histoire d’une famille éclatée, Frédéric Couderc aborde avec finesse les enjeux du drame israélo-palestinien. Yonah ou le chant de la mer est un roman engagé qui choisit résolument le camp de l’humanité pour en révéler autant sur les failles d’un pays que sur celles qui traversent chaque individu.
Frédéric Hermel est journaliste. Depuis 2001, il est correspondant à Madrid pour l’Equipe-France Football et RMC.
Zinédine Zidane est le Français le plus célèbre au monde, mais qui est-il vraiment ? Un être secret qui cultive la discrétion, un homme adulé qui se préserve et protège les siens, une star au destin exceptionnel qui reste un type normal.
À travers dix-huit années d’échanges et de confessions exclusives avec le joueur devenu entraîneur, grâce aux témoignages des proches de l’icône qui ont accepté de parler avec confiance et liberté, Frédéric Hermel livre le récit d’une vie hors du commun.
De son enfance marseillaise et son parcours pour devenir l’un des plus grands footballeurs de l’histoire à son incroyable triplé en Ligue des champions à la tête du Real Madrid, en passant par sa relation fusionnelle avec ses quatre fils et sa femme Véronique, l’auteur raconte avec respect, délicatesse et précision, tous les épisodes majeurs de la destinée de Zidane. Il retrace la conquête de la première étoile de champion du monde, revient sur le geste fou contre Materazzi, sur cette violence en lui, mais surtout sur son immense générosité et son sens de la justice. Il explique aussi les affres de son nouveau métier, son rapport à l’argent, son identité si française et sa solitude revendiquée. Et relate de nombreux événements, petits et grands détails, méconnus et inédits.
Frédéric Lenormand saupoudre depuis toujours ses intrigues historiques d’un humour savoureux. Récompensé par les prestigieux prix Arsène Lupin et Historia, il est l’auteur de la série Au service secret de Marie-Antoinette, dont déjà cinq autres volumes sont disponibles aux Éditions de la Martinière.
Ça bouge à Versailles ! Le chevalier d’Eon est de retour à la Cour. Après avoir occupé un poste stratégique à Londres pendant près de dix ans, il revient investi d’une mission de la plus haute importance : remettre des documents confidentiels rapportés d’Angleterre. Mais lorsque le cadavre d’un agent secret est retrouvé chez lui, il est accusé de meurtre. Derrière son éventail et ses hautes-coiffes, Marie-Antoinette a du flair. Elle en est sûre : le chevalier d’Eon a été piégé ! Ni une ni deux, elle ordonne à son duo d’enquêteurs amateurs, sa modiste et son coiffeur, d’aider le chevalier à échapper à la police royale. Et quel meilleur déguisement pour passer inaperçu qu’une sublime robe de chez Rose Bertin assortie d’une somptueuse coiffure comme Léonard en a le secret ? Embarqués dans une enquête semée d’embûches, réussiront-ils à démasquer le meurtrier qui élimine les agents secrets de la couronne ?
Frédéric Lepage a écrit et produit des centaines de programmes de télévision : divertissements, concerts, documentaires sur la science, l’histoire, la nature sauvage… À travers ses essais, romans et le cinéma, il se définit comme raconteur d’histoires. Ses romans pour adolescents, Le Camp des éléphants, Le Masque du serpent et Piège de sang ont remporté de nombreux prix. Avec Si la bête s’éveille (Plon, 2021 ; Pocket, 2022), il a renoué avec son goût du thriller, qui lui a déjà inspiré, à ses débuts, La Fin du septième Jour ou La Mémoire interdite (Robert Laffont). Si la bête s’éveille a obtenu le Prix du meilleur roman policier au festival de Cognac 2021.
Une inconnue est retrouvée morte sur le toit d’un gratte-ciel de New York, le visage réduit en charpie par un tir de chevrotine. Elle se nomme Luna Ritter : vétérinaire de quartier, installée dans une petite rue de Chinatown qui se trouve être celle où ont été commis le plus de crimes dans l’histoire des États-Unis.
Luna souffre de dérèglements sensoriels bientôt diagnostiqués comme le rarissime syndrome d’Urbach-Wiethe, qui touche l’amygdale du cerveau, et dont la calcification provoque la perte totale du sens de la peur. De quoi se sentir invincible… ou se mettre en danger de mort, car elle est le système d’alerte par auquel l’humain évite les périls.
Le Dr Jasmine Coleman, neurologue au célèbre Presbyterian Hospital de New York, et Kalon Kane, l’un des meilleurs neurochirurgiens, font de Luna leur précieux sujet d’étude. Car celui qui parviendrait à reproduire la dégradation de l’amygdale de Luna détiendrait un secret d’une valeur inestimable : l’antidote de la peur.
Devenue l’objet de convoitises, Luna a-t-elle fréquenté les mauvaises personnes, ou sous-estimé le danger ? Quel rôle a joué dans sa vie le fascinant Dr Kane, virtuose du bistouri, esthète et brillant cerveau ? Pour Ken Quist, jeune électron libre au sein du New York Police Department chargé de l’enquête, trop de détails clochent. Entre lui et la femme assassinée, quelque chose d’étrange se noue bientôt, qui ressemble à une connivence post-mortem.
Jours de présence : Vendredi après-midi, samedi et dimanche
Frédérico Parra enseigne dans le Secondaire.Tombé amoureux de la France lors d’une mutation, il y réside depuis plus de dix années. D’origine espagnole et italienne, il a soutenu une thèse de doctorat en études ibériques au cours de l’année 2007.
Frédéric Parra est l’auteur de 3 thrillers ésotérique (Avant l’aube une étoile, Les conjurés de l’aube, La chambre des guetteuses) et de trois ouvrages jeunesse dont Eliott et la Malédiction du Berger-Sorcier, Prix du roman jeunesse de Rambouillet et Prix Apicius, il signe avec Les chasseurs de papillons son premier roman de science-fiction.
Un roman si original, tant dans son contenu que dans sa composition que l’on ne peut s’empêcher de songer aux immenses écrivains Erick Lhomme, Pierre Botéro et Pierre Bordage en le lisant.
Cyde H. Benent espère devenir astronécromancien. Afin d’y parvenir, il a pour mission d’analyser les données extraites de la sonde Encelade, découverte deux lunes plus tôt dans le désert de Samarah, sur la planète Gawel.
Son travail est d’importance, car de ses recherches dépend l’avenir de l’empire galactique.
L’étudiant s’est mis au travail, analysant un à un les documents mis à sa disposition, ne laissant rien au hasard. L’ouvrage que vous tenez entre les mains est le fruit de ses heures de recherches : la thèse qu’il a présentée au Vene Kalabi, l’ordre des Grands Sages astronécromanciens.
Il adorait ses parents. Joyeux, déjantés, imprévisibles, la vie à leurs côtés était un tourbillon de fantaisies. Le chagrin causé par leur mort est immense. Désormais, son quotidien routinier lui semble dérisoire. Il décide de changer radicalement d’existence.
Abandonnant ses certitudes, il s’installe à la Plateforme : un treizième étage entièrement vide où il a évolué pendant son enfance. L’endroit idéal pour laisser libre cours à son imagination et se réapproprier chaque journée, chaque heure, sans tenir compte des règles sociales. Tenter de faire son deuil grâce à deux antidotes inattendus : la fantaisie et la joie.
Frédéric Perrot est scénariste et réalisateur au sein du duo Najar & Perrot. Touche à tout, il travaille sur de multiples formats (longs métrages, pièces de théâtre, chansons).
Après Pour une heure oubliée et Cette nuit qui m’a donné le jour, Ce qu’il reste d’horizon est son troisième roman.
Jours de présence : Vendredi après-midi, samedi et dimanche