Bernard Minier, reconnu pour ses thrillers captivants et ses intrigues palpitantes, s’impose depuis plusieurs années comme l’une des voix majeures du roman noir français. Son premier roman, Glacé, paru en 2011, est unanimement plébiscité par le public et la critique. Cet ouvrage mettant en scène le commandant Servaz, devenu un personnage emblématique de l’auteur, remporte le prix du Festival de Cognac et est adapté en série télévisée.
Mêlant suspense, tension psychologique et intrigue policière, les romans de Bernard Minier sont aujourd’hui traduits dans de nombreuses langues et captivent des lecteurs du monde entier. En dix ans, il a vendu plus de 6 millions d’ouvrages, faisant de Bernard Minier l’un des auteurs les plus lus dans le pays. Son dernier roman Les Effacées est paru en 2024 aux Éditions XO et les droits de son roman Lucia ont été acquis pour une prochaine adaptation en série télévisée.
H comme…Hirtmann
Depuis l’évasion de Julian Hirtmann, le plus célèbre des tueurs en série, Martin Servaz n’est pas le seul à enquêter : détectives amateurs sur le Net, fans de true crime, présentateur star du talk-show le plus regardé de France, écrivain de best-sellers, tout le monde part en chasse.
Mais lorsque la traque mortelle se double de disparitions qui rappellent l’un des plus grands scandales criminels et sexuels des dernières décennies, c’est la terreur qui s’installe.
Quand réalité et fiction finissent par se confondre, le pire est à venir…
Jours de présence : samedi (après-midi) 29 et dimanche 30 mars
Comme beaucoup d’entre nous, Emma B. a plusieurs vies.
Femme, maman, entrepreneuse, chanteuse… elle aime les musées autant que les concerts, les terrasses des cafés autant que la solitude sur une plage à marée basse.
L’écriture a une place importante dans sa vie, et avec « Les ballons » c’est la première fois que ses mots arrivent dans les pages d’un livre.
Théo, petit, avait de nombreux rêves en tête, des rêves fous ou à portée de main, mais des rêves qu’il essayait de réaliser et qui le rendaient léger, léger… comme des ballons !
Et puis, Théo a grandi, et les rêves se sont envolés…
Le phénomène Emma Green ? Deux autrices françaises au style aussi touchant qu’incisif, qui ont déjà vendu 1,8 million de livres. Leurs romans abordent des sujets de société avec finesse et nous atteignent en plein cœur. Entre récits bouleversants et tranches de vie réalistes, le duo entraîne toutes les générations de lecteurs dans des tourbillons d’émotions qui font passer du rire aux larmes.
Après une adolescence tumultueuse, Romeo Cruz a trouvé la vocation qui donne un sens à sa vie : il est désormais secouriste et vient en aide à la population de Chicago.
Mais ce nouvel équilibre se fissure lorsque Maxima Miller revient à la caserne après trois ans d’absence. Elle est l’amie d’enfance de son frère, la femme intouchable qui l’a toujours fasciné – et celle qui les a tous lâchés du jour au lendemain. Il est des départs qui ne s‘expliquent pas… Ceux-là sont les plus difficiles à pardonner.
Depuis toujours, Max semble vouloir affronter seule les épreuves qui la poursuivent. C’est pourtant vers Romeo qu’elle se tourne pour lui demander de devenir son faux petit ami. Impensable pour lui… Intenable, aussi. Mais tous deux savent trop bien comme la vie est fragile. Et qu’il faut oser s’y accrocher de toutes ses forces, tant que le cœur bat encore…
Jours de présence : samedi 29 et dimanche 30 (matin) mars 2025
Il y a Brody, l’architecte sexy ; Dermot, le prof de philo en slip ; Charlotte, l’amie des bêtes mais pas des gens ; Callum, le rugbyman malentendant ; Elif, la boulimique de romances ; et Maeve, qui préfère collectionner les mecs plutôt que les livres. Au milieu de ces colocataires fantasques et parfois invivables, Ada la solitaire va devoir répondre à trois questions existentielles et plutôt urgentes : Comment survivre dans cette maison de fous ? Comment reconstruire sa vie à Dublin, quinze ans après son départ forcé ? Et comment ne pas tomber amoureuse de Brody Gallagher, le bel Irlandais qu’elle a embauché pour rénover l’appartement de son enfance ? Mais à part ça, tout va bien.
Emmanuel Faure est journaliste depuis 1993. Il travaille à France 3 Pays de la Loire, chaîne pour laquelle il a effectué de nombreux reportages d’actualité et magazines. Il présente une émission d’information quotidienne après avoir présenté le journal du soir durant une vingtaine d’années et un magazine pendant dix ans.
Il y a 40 ans, la France remportait son premier titre international de football. En juin 2024, se joue l’Euro au sein duquel la France a toutes ses chances de victoire grâce à une génération dorée. La parole de Max Bossis, omniprésente dans les médias pour l’occasion, apporte un contrepoint fort aux valeurs du foot-business actuel.
Né en 1980 à Lyon, Emmanuel Ruben est l’auteur d’une dizaine de livres – romans, récits, essais –, parmi lesquels Sur la route du Danube (prix Nicolas Bouvier 2019) et, chez Stock, Sabre (prix des Deux- Magots 2021) et Les Méditerranéennes.
En 2036, Samuel Vidouble est confiné dans sa cave à la suite d’un accident nucléaire survenu sur le site de la centrale de Malville à l’ombre de laquelle il vivait enfant dans les années 80. Fascinante et monstrueuse, la centrale cristallise les disputes familiales et les luttes politiques de l’époque. Sur les bords du Rhône, le jeune Samuel grandit dans l’aura de Tom, le garçon sauvage, et d’Astrid, l’adolescente révoltée, tandis que plane la double menace de l’extrême droite et du feu nucléaire.
Entre roman d’apprentissage et dystopie, Malville explore cette France périurbaine d’hier et de demain, ainsi que les conséquences physiques et environnementales désastreuses de nos « choix » énergétiques, qui bouleversent irrémédiablement notre rapport au monde, à la terre et au vivant.
Avec ce livre inspiré des lieux de sa jeunesse et tissé de réminiscences littéraires – de Tom Sawyer à Rimbaud –, Emmanuel Ruben affirme sa passion pour la géographie. Une ode vibrante au fleuve et à l’enfance.
Jours de présence : samedi 29 et dimanche 30 mars 2025
Né en 1968, Emmanuel Trédez vit à Cachan, tout près de Paris, dans une petite maison, avec sa femme, et ses deux enfants… et son chat.
Pendant 17 ans, il a exercé le métier d’éditeur de livres documentaires pour la jeunesse tout en écrivant, pour le plaisir, des textes de fiction.
Depuis 2015, il consacre l’essentiel de son temps à l’écriture. Il écrit des livres pour tous les âges, dans des genres aussi différents que l’album, le roman, la BD ou le livre documentaire.
Il aime tout particulièrement jouer avec les mots comme dans La carotte se prend le chou ou Le cachalot nage dans le potage, deux polars parodiques parus chez Nathan.
Il est l’auteur de la série Mes premières enquêtes chez Auzou (depuis 2016), du roman Ali Blabla chez Didier jeunesse (2017) ou encore de l’album Couleur colère chez Flammarion (2018).
Emmanuelle Favier, née en 1980, est une romancière et poétesse française. Elle a publié trois romans chez Albin Michel : Le Courage qu’il faut aux rivières en 2017 (prix Révélation de la SGDL, prix de la Fondation Prince Pierre de Monaco…), Virginia en 2019 et La Part des cendres en 2022.
Adrian Ramsay est « oreille d’or » dans un sous-marin de la Royal Navy. Elle écoute et décrypte les bruits des profondeurs dans lesquelles évolue le sous-marin nucléaire où elle vit durant des mois. Entre promiscuité, et isolement du reste du monde. Un jour, par l’un de ces hasards que sait faire surgir l’existence, elle va rencontrer Abel Lorca. Il est aveugle et vient d’emménager dans une maison loin de tout – mais tout au bord de la mer, en Bretagne. Une intense passion amoureuse, dévastatrice, va naître entre eux, une passion qui les mènera des rivages de l’Atlantique à ceux de la Méditerranée, là où tout a commencé.
Emmanuelle Favier renoue, de sa plume magnifiquement ciselée, avec la veine romanesque du Courage qu’il faut aux rivières.
Jours de présence : samedi 29 et dimanche 30 mars 2025
Emmanuelle a été initiée à observer la nature par sa grand-mère, qu’elle adorait. Enfant, elle rêvait de devenir vétérinaire ou exploratrice pour vivre plein d’aventures dans les jungles et savanes, au contact des animaux sauvages. Mais aimant aussi beaucoup lire et transmettre, elle a finalement préféré se tourner vers le métier d’écrivain. Autrice de nombreux livres pour la jeunesse, elle écrit aussi bien des romans que des documentaires, ce qui explique pourquoi elle raconte plus qu’elle n’explique. Par son écriture à la fois espiègle et poétique, narrative et documentée, elle cherche à éveiller les curiosités, parfois surprendre ou émerveiller, et surtout faire découvrir les étonnants secrets du monde qui nous entoure.
Une superbe encyclopédie avec plus de 180 questions-réponses et autant de volets à soulever pour explorer tous les grands sujets.
Une superbe encyclopédie illustrée pour explorer les grands sujets:
Le corps, la maison, la ville, la nature, les animaux, la mer, la Terre, les sciences, les sports, l’Histoire, l’univers…
Ce bel ouvrage aux pages cartonnées propose plus de 180 volets à soulever pour stimuler l’imagination des enfants et leur faire découvrir le monde.
• De grandes et belles images avec plein de détails à observer
• Des animations originales pour en savoir plus ou comprendre comment ça marche
• Des questions-réponses pour attiser et satisfaire la curiosité
• Des textes vivants et accessibles à lire à voix haute
Originaire d’Angers, Emy Bill (Emilie BILLAUD) s’amuse à mettre en images, sur les réseaux sociaux, les perles de ses élèves et les anecdotes de son quotidien de professeur des écoles. Elle est également l’auteure de “Ma vie d’instit” (tomes 1, 2 & 3) éditée par City Editions ainsi que de “Journal d’instit, secrets en salle des maîtres” (parution 27/04/23 aux éditions Michel Lafon).
Avec un regard tendre et décalé, ses livres nous plongent dans l’univers un peu fou d’une maîtresse d’aujourd’hui.
Crédit photo : Thomas Lebras
Jours de présence : vendredi après-midi, samedi et dimanche
2023
Originaire d’Angers, Emy Bill s’amuse à mettre en images, sur son blog « Pour mieux te croquer », les perles de ses élèves et les anecdotes de son quotidien d’institutrice. Elle est également l’auteure de Ma vie d’instit’ (tome 1). Avec un regard tendre et décalé, ses livres nous plongent dans l’univers un peu fou d’une maîtresse d’aujourd’hui.
Institutrice, un métier de rêve ? Euh… pas toujours.
Dans cette bande dessinée, Emy Bill qui est « professeure des écoles » comme on dit maintenant, dévoile la vraie vie d’une enseignante. Avec un humour – parfois noir – et une immense tendresse, elle raconte son quotidien.
Certes, elle apprend à ses petits anges à compter et à écrire. Mais elle passe aussi beaucoup de temps à jouer les gendarmes pour rétablir l’ordre dans sa classe, à la graphologue pour décrypter les écritures en pattes de mouche ou à l’infirmière pour soigner les petits bobos des uns et des autres…
Et contrairement aux idées reçues, être instit’ n’est pas un métier de tout repos. Emy est souvent surbookée, frôlant presque le burn-out. Et pourtant, malgré ses petits élèves qui lui en font voir des vertes et des pas mûres, son métier, elle l’adore !
A la fois professeur des écoles et autrice/illustratrice, Emy Bill croque avec humour le quotidien des enseignants et de leurs élèves sur les réseaux. Sa série de BD Ma vie d’instit’ (City Éditions) ainsi que Journal d’instit, secrets en salles des maîtres (Editions Michel Lafon) nous plongent dans l’univers un peu fou d’une maîtresse d’aujourd’hui.
Emy met en images, avec un regard tendre et décalé les perles de ses élèves et les anecdotes de son quotidien.
Sa dernière bande dessinée, Derrière le portail (éditions Leduc Graphic) nous propose une immersion dans la vie de différents membres d’une école et traite, au travers du quotidien de chacun, du harcèlement scolaire et des méthodes pour le combattre.
Comment comprendre et déjouer l’engrenage du harcèlement scolaire ?
Derrière le portail, des enseignants, des élèves vivent des journées de classe bien remplies. De l’autre côté du portail, le soir, ces mêmes enseignants, ces même élèves retrouvent leurs familles aux quotidiens parfois éloignés les uns des autres. C’est l’histoire de Capucine, Antoine, Laëtitia, enseignants à l’école Saint Exupéry. C’est l’histoire de Valentin, Eliott, Céleste, Mehdi, élèves dans cette école et de leurs familles. C’est surtout l’histoire de l’école Saint Exupéry, école comme tant d’autres où l’année scolaire va être perturbée par des événements tragiques ou heureux.. Quand un cas de harcèlement scolaire est décelé, c’est toute la communauté éducative qui s’organise pour venir à bout, malgré la difficulté, de cette situation. Tel un effet papillon, chaque événement aura des répercussions sur chacun. Quand les vacances d’été arriveront, toute cette mini-société, liée par l’école Saint Exupéry sera différente de celle qu’elle était à la rentrée de septembre. Les enfants auront grandi, les adultes aussi…
Une BD bienveillante, au ton positif, qui décrypte un sujet fort qui reste plus que jamais d’actualité.
Jours de présence : vendredi 28, samedi 29 et dimanche 30 (matin) mars 2025
Après un doctorat en pharmacie puis un autre en droit, Éric Fouassier s’est spécialisé dans l’histoire de la médecine qu’il enseigne en faculté. Passionné d’énigmes et de codes secrets, il est l’auteur de romans historiques. Le chant maléfique est le 4e opus de la série policière Le Bureau des Affaires occultes, saluée par le prix Maison de la Presse.
Une nouvelle enquête de l’inspecteur Valentin Verne, le génial créateur du Bureau des affaires occultes, où les apparences s’avèrent dangereusement trompeuses. Mai 1832. Vendée. Deux cadavres sont retrouvés. Ont-ils été assassinés par les espions de Louis-Philippe parce qu’ils étaient partisans de la duchesse de Berry, qui fomente une insurrection pour le chasser du pouvoir ? Ou ont-ils été victimes d’une terrifiante malédiction en provenance des Indes lointaines, dont les exécuteurs seraient les Thugs, une secte de meurtriers adorateurs d’une mystérieuse déesse ? C’est ce que Valentin Verne doit découvrir. Quittant les bas-fonds parisiens pour les sous-bois marécageux du bocage vendéen, le jeune inspecteur se retrouve sur un terrain qui lui est peu familier. Perdu au cœur d’intrigues politiques qui le dépassent, il va se retrouver confronté à de nombreux ennemis, visibles ou invisibles, qui n’ont rien à envier aux plus dangereux truands de la capitale.
Au même moment à Paris, Aglaé doit sauver la vie du fiancé de sa meilleure amie, accusé de meurtre et de vol de bijoux. Pour pouvoir l’arracher à son cachot et lui éviter une condamnation à mort, elle va devoir mener une enquête officieuse et trouver le véritable coupable. Heureusement, elle pourra bénéficier de l’aide de Vidocq et des autres membres du Bureau des affaires occultes.
Jours de présence : samedi 29 et dimanche 30 mars 2025
Eric Garandeau a été conseiller culturel à L’Elysée, puis président du CNC. Il est désormais directeur des affaires publiques chez Tik Tok France.
Alexandre Obkowicz, PDG du plus beau fleuron de l’industrie française, meurt aux commandes de son avion. Le détective Gabriel Thaumas est chargé d’une contre-investigation. En voulait-on à son groupe, engagé dans des projets Secret Défense ? Et pourquoi tous les voyages d’Obkowicz au Nigeria ? Pour les besoins de l’enquête, le détective Thaumas se rend en Afrique et consule le marabout de Lagos : une sorcière blanche venue d’un passé lointain tirerait les ficelles de cette sombre histoire.
Les origines du crime, en effet remontant au XVIIe siècle, à la cour de Louis XIV. Dans le plus grand secret Colbert, a exfiltré de Murano la famille de Gianni, fils de maîtres-verriers, afin de connaître les secrets de fabrication des miroirs, farouchement gardés par la Sérénissime. Ces miroirs feront la splendeur de la galerie des Glaces à Versailles, mais Venise va-t-elle laisser faire ?
Quand les drames du passé refont surface, le détective Thaumas comprend qu’Alexandre Obkowicz pourrait bien être la victime d’une malédiction venue des profondeurs de l’Histoire.
Eric Libiot est l’ancien rédacteur en chef Culture à l’Express. Il est l’auteur notamment d’une Petite mythologie des objets du quotidien, chez Harper Collins Clint et moi, son premier récit littéraire, en 2018.
Nous avons tous un personnage préféré, issu d’une lecture, d’un tableau ou d’un film. Souvent ce personnage nous a révélé quelque chose que nous ignorions. Nous l’aimons aussi parce qu’il correspond à un instant de notre vie, il est indissociable de l’instant où nous l’avons découvert. Sensible à cette étrange mécanique de l’affection, Eric Libiot remonte le fil de sa mémoire en s’aidant des personnages qui l’ont jalonnée. Enfant, dans une école de Brest, il écoute son instituteur lire chaque vendredi soir un passage du Mystérieux docteur Cornélius : découverte de la malfaisance, avec le terrible personnage de Cornelius Kramm. Etudiant, face à l’écran d’une salle de cinéma près de l’université de la Sorbonne, il reste ébahi par la beauté d’Alicia, jouée par Ingrid Bergman, dans les Enchaînés, d’Alfred Hitchcock : première rencontre avec un idéal féminin, et ce jour-là est-il tombé amoureux d’Alicia ou d’Ingrid ? Adulte, il déambule avec Alice, d’Alice au Pays des Merveilles pour toucher du doigt le souvenir de son grand-père adoré. De Batman au commissaire Maigret, de La Vie mode d’emploi à Rio Bravo, cette ballade intime et pourtant universelle, tant elle nous renvoie au lien particulier que chacun peut nourrir avec un personnage, trace le portrait plein de charme d’une existence d’un amoureux de l’art.