Bernard Minier, reconnu pour ses thrillers captivants et ses intrigues palpitantes, s’impose depuis plusieurs années comme l’une des voix majeures du roman noir français. Son premier roman, Glacé, paru en 2011, est unanimement plébiscité par le public et la critique. Cet ouvrage mettant en scène le commandant Servaz, devenu un personnage emblématique de l’auteur, remporte le prix du Festival de Cognac et est adapté en série télévisée.
Mêlant suspense, tension psychologique et intrigue policière, les romans de Bernard Minier sont aujourd’hui traduits dans de nombreuses langues et captivent des lecteurs du monde entier. En dix ans, il a vendu plus de 6 millions d’ouvrages, faisant de Bernard Minier l’un des auteurs les plus lus dans le pays. Son dernier roman Les Effacées est paru en 2024 aux Éditions XO et les droits de son roman Lucia ont été acquis pour une prochaine adaptation en série télévisée.
H comme…Hirtmann
Depuis l’évasion de Julian Hirtmann, le plus célèbre des tueurs en série, Martin Servaz n’est pas le seul à enquêter : détectives amateurs sur le Net, fans de true crime, présentateur star du talk-show le plus regardé de France, écrivain de best-sellers, tout le monde part en chasse.
Mais lorsque la traque mortelle se double de disparitions qui rappellent l’un des plus grands scandales criminels et sexuels des dernières décennies, c’est la terreur qui s’installe.
Quand réalité et fiction finissent par se confondre, le pire est à venir…
Jours de présence : samedi (après-midi) 29 et dimanche 30 mars
Je suis auteure auto-éditée avec 1 seul livre autobiographique. Actuellement, je suis à 673 exemplaires vendus depuis le 1er décembre 2023. Je suis autrice engagée qui utilise sa plume pour soutenir une cause importante : l’association Ô MA VIE.
C’est une histoire vraie et authentique, la mienne, qui commence dès ma naissance, traverse mon abandon à l’âge de 3 mois, mon adoption à 11 mois, pour finalement aboutir à des retrouvailles particulières avec ma mère biologique 30 ans plus tard. Tout cela grâce à mes parents adoptifs qui m’ont révélé le dossier complet de mon adoption.
Footballeur international français, Dominique Rocheteau a porté le maillot bleu à quarante-neuf reprises. Vainqueur de l’Euro en 1984, il a inscrit au moins un but dans trois Coupes du monde différentes et en a atteint deux demi-finales (1982, 1986). Il dirige actuellement les stages « Foot pour tous », qu’il organise tous les ans en Charente-Maritime.
La réalité du football, Dominique Rocheteau l’a vécue au plus près pendant cinquante ans. Joueur emblématique de la grande équipe de Saint-Étienne des années 1970, champion de France à trois reprises, finaliste de la coupe d’Europe des clubs champions en 1976, vainqueur de l’Euro en 1984, celui qu’on surnommait « l’Ange vert » a eu mille vies dans le foot : joueur, agent, directeur sportif, président de comité d’éthique, responsable de centre de formation, directeur de stage…
Cette expérience, Dominique Rocheteau a choisi de la partager et d’en livrer quelques enseignements majeurs à tous ceux que le sport et le football passionnent : aux grands-parents et aux parents autant qu’aux enfants, et bien sûr aux jeunes sportifs. En une vingtaine de chapitres, il aborde les thèmes qui lui sont chers : la passion du sport – le foot, mais aussi le rugby et le cyclisme –, l’éthique, les éducateurs, le public, l’émotion des vestiaires, le public, l’arbitrage, la violence, le racisme, l’argent, les médias, le boycott comme arme politique… Il le fait sans donner de leçons, plutôt comme on délivre une passe, en forme d’héritage.
« Le football a changé comme le monde qui l’entoure. Nombreux sont ceux qui se reconnaissent moins en lui, en ses valeurs, en ses principes, en son identité. Mais il demeure un sport populaire qui rassemble, qui transcende et qui exalte. Il n’oppose pas les générations entre elles mais cherche à les réunir dans une longue chaîne indissociable. Pourvu que jamais elle ne se brise. »
Ce livre est une ode à la vie et au sport. Au football passion, au football plaisir, au football pour tous, pour lequel il convient de lutter pied à pied.
« Comme le dit un proverbe chinois qui m’inspire : “Mieux vaut transmettre un art à son fils que de lui léguer mille pièces d’or.” » Dominique Rocheteau
Dorothée Bulteau-Pinvidic (un trait d’union qui unit Vendée et Bretagne!) À la veille de mes 40 ans, et après 17 années dans le domaine de l’immobilier, j’ai décidé de me consacrer à ma famille et à mes passions, dont l’écriture. “Le jeu de la vie” est mon premier roman, paru le 9 décembre 2022 sur les seules communes de Saint Hilaire de Riez et Saint Gilles Croix de Vie, car auto-édité. Mais, le retour des lecteurs et le nombre de ventes a largement dépassé mes attentes et j’ai dû rééditer le roman en urgence à deux reprises. J’ai donc décidé de poursuivre l’aventure de ce roman en étendant sa promotion.
Elles ont grandi ensemble et ne se comprennent pas. Victoire et Constance sont deux soeurs que tout oppose. Quand l’une oriente sa vie autour de son célibat, ses amis et son travail, l’autre s’épanouit dans une vie de famille bien rangée. Lorsqu’un événement vient perturber leur quotidien, elles prennent conscience que leur vies respectives ne sont pas si parfaites qu’elles le pensaient. Aidées par leur chère grand-mère, une hippie farfelue et créative, elles vont se prendre au jeu de leur voyage intérieur. Mais n’est-il pas trop tard pour se connaitre ?”
Journaliste et grand reporter à France TV, Dorothée Olliéric a couvert tous les conflits, depuis plus de vingt ans. Son credo : raconter la guerre, à hauteur « d’hommes et de femmes », du grand public.
Grande reporter de guerre, qui arpente les zones de conflits depuis plus de trente ans (Tchétchénie, Afghanistan, Irak, Mali, Ukraine…), Dorothée Olliéric se raconte enfin.
Elle raconte ce métier, sa vie de femme et de mère avec son gilet pare-balles et son casque lourd, ses aventures aux quatre coins du monde. Ses départs pour des guerres à la une de l’actualité, ou des conflits oubliés, l’éloignent de son mari, de ses enfants. A chaque fois, la culpabilité, un tsunami d’émotions, et la peur de ne pas revenir, mais le besoin viscéral d’être là où l’Histoire s’écrit et l’envie de témoigner l’emportent.
Jours de présence : samedi 29 et dimanche 30 mars 2025
Après 17 années dans le domaine de l’immobilier en Vendée, où elle réside toujours, Dorothée Saint-Paul (son vrai nom est Dorothée Bulteau) a décidé de se consacrer à sa passion, l’écriture, Le jeu de la vie est son premier roman. Connue auprès des lectrices, elle obtient la note de 4,08 sur Babelio. D’abord auto-édité en 2022 puis très vite repérée par l’équipe de Mazarine, elle sera l’une des invités de l’édition 2025 du Printemps du Livre de Montaigu.
Deux sœurs, deux mondes opposés. Victoire et Constance incarnent deux visions de la vie très différentes. Victoire, célibataire épanouie, choisit de se consacrer à son travail et à ses amis, tandis que Constance s’épanouit dans une vie de famille bien rangée. Ces différences soulignent le contraste entre les aspirations et les valeurs de chacune, créant des tensions invisibles mais palpables entre elles. Cependant, elles semblent, au départ, heureuses et satisfaites dans leurs choix respectifs. Un événement bouleversant et un voyage intérieur. Le quotidien de Victoire et Constance est bouleversé parun événement imprévu, les poussant à revoir leur vision de la perfection et à explorer de nouvelles facettes de leurs vies. Leur grand-mère, une hippie farfelue et créative, devient l’aide inattendue qui les guide. Grâce à elle, les deux soeurs s’engagent dans un voyage intérieur qui pourrait les transformer profondément. Mais n’est-il pas trop tard pour se connaître ?
Jours de présence : vendredi 28 , samedi 29 et dimanche 30 mars 2025
Douglas Kennedy est né à New York en 1955 et vit entre les États-Unis et la France. Auteur de trois récits de voyage remarqués, dont Combien ? (2012), il s’est imposé avec, entre autres, L’Homme qui voulait vivre sa vie (1998) – adapté au cinéma par Éric Lartigau, avec Romain Duris et Marina Foïs –, La Poursuite du bonheur (2001), Les Charmes discrets de la vie conjugale (2005), La Femme du Ve (2007), Cinq jours (2013), La Symphonie du hasard (2017, 2018), Les hommes ont peur de la lumière (2022), ainsi que son recueil de nouvelles Murmurer à l’oreille des femmes (2014) et son essai Toutes ces grandes questions sans réponse (2016). Tous ont paru chez Belfond et sont repris chez Pocket.
2045. Depuis douze ans, les États-Unis n’existent plus. Une nouvelle guerre de Sécession en a redessiné les frontières. Sur les côtes Est et Ouest, une République ; la liberté de moeurs y est totale mais la surveillance constante. Dans les États du Centre, une Confédération ; divorce, avortement ou changement de sexe sont interdits, les valeurs chrétiennes font loi. Les deux blocs se font face, chacun redoutant une infiltration de l’autre camp.
C’est justement la mission qui attend Samantha Stengel. Agente des services secrets de la République, cette professionnelle reconnue, réputée pour son sang-froid, s’apprête à passer de l’autre côté de la frontière, dans un des États confédérés les plus drastiques, sur les traces d’une cible aussi dangereuse qu’imprévisible. Elle devra puiser au plus profond de ses forces pour échapper à la surveillance de son propre camp et se confronter aux attaques de l’autre…
Est-ce ainsi que nous vivrons ?
Edouard Bureau, né en 1992, aime les lieux lourds d’histoire et la littérature généreuse. Derrière sa plume fluide se révèlent une défense de la beauté et une recherche de la poésie en toute chose. Les Dernières Rêveries d’Akkad sont son troisième roman après La Grande Vallée (Le Cherche Midi, 2021) et Le Lion sans crinière (Sable Polaire, 2019) – pour lequel il a obtenu le prix du premier roman de la ville de Saumur et a été nommé pour le prix Joseph-Kessel.
2150 avant notre ère, un matin le long du Tigre, Ur-Samhu, vieil homme de la cour d’Akkad, est réveillé par un soupçon de vent qui lui murmure ceci : que cette journée sera une de celles qui, inouïes, le bouleverseront à tout jamais. À la veille du couronnement de son élève, le futur roi d’un empire agonisant, il faudra à ce vieux précepteur enseigner tout ce que doit savoir un monarque : ce que sont le bien et le mal mais aussi ce que sont la mort, l’amour, l’amitié, la peur, la passion. Entrecoupant ses enseignements de récits de sa propre vie, il fait découvrir à son élève qu’avant d’être ce sage précepteur, il fut un enfant de rivages, pêcheur de perles, jouisseur, soldat et endeuillé.
Roman initiatique, tantôt conte intime, tantôt fable, Les Dernières Rêveries d’Akkad aborde avec poésie et profondeur les questions intimes et immémoriales : l’ambition, le pouvoir, la transmission, la solitude, la poursuite du bonheur…
Crédit photo : Barbara Viollet
Jours de présence : samedi et dimanche
2019
Edouard Bureau est né en 1992. « Le lion sans crinière » est son premier roman.
Elena Machu rêve d’être écrivaine depuis l’âge de quatre ans. Durant son enfance, elle se sent un peu à l’écart et n’a pas beaucoup d’amis. C’est donc tout naturellement qu’elle se réfugie dans le genre de la science-fiction, qui lui permet de s’éloigner de la réalité et de questionner le chemin que prend l’espèce humaine. Depuis sa chambre, dans son petit village de Vendée, elle regarde par la fenêtre et admire la beauté et la folie de tout ce qui nous entoure. Elle tente de comprendre le monde et de lui donner un sens à travers les mots.
Mona Dubois vit sur un vaisseau aux mains de l’intelligence artificielle VI, qui a pour but de protéger l’espèce humaine. Pour cela, aucun contact physique ne doit avoir lieu : les sentiments sont interdits, les vies sont isolées les unes des autres pour éviter de nouvelles étincelles. Tout cela semble naturel pour Mona, focalisée sur les simulations de VI qui permettent d’améliorer les conditions de vie humaine. Ce n’est que lorsqu’un scientifique concepteur de l’IA la contacte pour la prévenir du danger qu’elle représente, que Mona
commence à se questionner. Du haut de ses dix-sept ans, elle va tenter de comprendre le véritable sens de la vie, de l’amour, et tenter de vaincre cette IA qui l’empêche de vivre véritablement.
Découvrez une dystopie sur la nature humaine, qui soulève de nombreux questionnements sur les catastrophes nucléaires, les dangers de l’intelligence artificielle et les relations humaines.
Elena Selena est née à Vilnius (Lituanie) en 1993. Après une première formation à l’Académie des Beaux-Arts de Vilnius, elle arrive à Paris pour intégrer l’École Estienne (ESAIG) et découvre le livre animé. Depuis cinq ans elle crée des livres pop-up pour les éditions Gallimard Jeunesse : Jardin Bleu (2017), Jungle (2018), Neige (2019) et Voyage (2021). Elena est passionnée de papier découpé et travaille également en tant qu’illustratrice freelance, graphiste et scénographe. Elle anime également de nombreux ateliers pendant lesquels elle initie les enfants à l’art du pop-up.
La poésie et la magie d’un jour sur terre en 5 pop-ups enchanteurs.
Deux ailes frissonnent dans la rosée du matin. Plic, ploc, plic. Le vent caresse le jardin sous la pluie. Les bourgeons s’ouvrent. Les ombres s’étirent sur l’étang. Le soir s’emplit du doux parfum des fleurs. Dans le cerisier rose, sous les étoiles, les oiseaux prennent leur envol. Une promenade, à pas feutrés, à observer la nature éclore… Une métaphore de la naissance d’un enfant et de ses premiers pas, tout en papier finement ciselé.
Jours de présence : vendredi après-midi, samedi après-midi et dimanche
Eli Anderson est l’auteur de la série à succès « Oscar Pill » (250 000 exemplaires vendus), racontant les aventures d’un jeune héros qui peut voyager dans le corps humain.
Avec Mila Hunt, il explore cette fois-ci les fascinantes capacités du cerveau et en particulier les pouvoirs des mentalistes.
Eli Anderson publie par ailleurs des thrillers pour adultes sous le nom de Thierry Serfaty. Il est aussi médecin.
Elie Durel, né à Saumur en 1946, est l’auteur de plusieurs romans et récits à caractère historique. Il vit retiré dans la région nantaise où il est correspondant de presse.
Autrice, rédactrice, scénariste et dialoguiste pour le jeu vidéo, Elisa Beiram cherche dans chaque médium une opportunité de transmettre la vision d’un avenir désirable, d’une société humaine réconciliée, sans illusion et sans naïveté. Née dans le Midi en 1990, voyageuse repentie, elle est aujourd’hui implantée en Lozère après plusieurs années en Europe et ailleurs.
La paix n’est pas l’objectif. C’est la solution.
2098. Aureliano est las du XXIe siècle, ses famines, ses guerres. Sa communauté s’entre-tue, isolée entre la jungle colombienne et l’océan. Seule porte de sortie : une aide extérieure à migrer et se séparer. Le vieillard lance des appels radio comme des bouteilles à la mer et érige un mausolée idéal fait des déchets déposés par les vagues.
Mais une rumeur parcourt le monde : certains continuent à œuvrer pour la paix. Si Aureliano regarde vers le rivage, d’autres rêvent toujours en fixant les étoiles.
À l’instar de Becky Chambers, Elisa Beiram ne cède pas notre avenir au cynisme ni au fatalisme dans cette anticipation climatique. La gravité de la situation n’exclut pas l’espoir.