Bernard Minier, reconnu pour ses thrillers captivants et ses intrigues palpitantes, s’impose depuis plusieurs années comme l’une des voix majeures du roman noir français. Son premier roman, Glacé, paru en 2011, est unanimement plébiscité par le public et la critique. Cet ouvrage mettant en scène le commandant Servaz, devenu un personnage emblématique de l’auteur, remporte le prix du Festival de Cognac et est adapté en série télévisée.
Mêlant suspense, tension psychologique et intrigue policière, les romans de Bernard Minier sont aujourd’hui traduits dans de nombreuses langues et captivent des lecteurs du monde entier. En dix ans, il a vendu plus de 6 millions d’ouvrages, faisant de Bernard Minier l’un des auteurs les plus lus dans le pays. Son dernier roman Les Effacées est paru en 2024 aux Éditions XO et les droits de son roman Lucia ont été acquis pour une prochaine adaptation en série télévisée.
H comme…Hirtmann
Depuis l’évasion de Julian Hirtmann, le plus célèbre des tueurs en série, Martin Servaz n’est pas le seul à enquêter : détectives amateurs sur le Net, fans de true crime, présentateur star du talk-show le plus regardé de France, écrivain de best-sellers, tout le monde part en chasse.
Mais lorsque la traque mortelle se double de disparitions qui rappellent l’un des plus grands scandales criminels et sexuels des dernières décennies, c’est la terreur qui s’installe.
Quand réalité et fiction finissent par se confondre, le pire est à venir…
Jours de présence : samedi (après-midi) 29 et dimanche 30 mars
Roxane Dambre est née en 1987 dans la banlieue de Paris. Très vite, son imagination lui montre les mystères qui dorment derrière les murs de la capitale, et à 14 ans, elle décide de prendre la plume pour les révéler aux autres.
Par amour de la chimie et de la logique, elle poursuit pourtant ses études dans la voie scientifique. Après son bac, elle s’égare dans les méandres de l’orientation professionnelle, mais après quelques détours, elle finit par trouver sa voie dans l’ingénierie des procédés industriels.
Elle continue d’écrire pour elle, pour ses proches et pour tous ceux qui ont rêvé, qui rêvent et qui rêveront un jour.
Sous pseudonyme, elle a publié de nombreuses nouvelles en webzines, fanzines et anthologies. Animae est son premier roman publié.
Sous le pseudonyme de Blanche Saint-Roch, elle a publié de nombreuses nouvelles en webzines, fanzines et anthologies. Animae (2012) est son premier roman.
C’est enfin la consécration pour Sixtine : elle signera l’article central du prochain numéro d’ActuParis ! Est-ce un test de son directeur, ou un nouveau piège tendu par les Marcus Meilleur ? Peu importe, la pétillante journaliste, accompagnée de son photographe Melchior, est prête à relever le défi.
Et cette fois, sa grand-mère aussi distraite qu’attachante, l’adorable Maminou, fait partie du voyage. Direction Angers et son festival sur les visions de l’Apocalypse à travers les âges.
La mission de Sixtine prend une tournure encore plus intéressante lorsqu’une mystérieuse petite fille lui fait part d’une théorie étonnante : et si l’Humanité réussissait à échapper à toutes les Apocalypses prévues (épidémies, guerres…),
car « quelqu’un » parvenait à les neutraliser à chaque fois ? Un sujet en or pour notre enquêtrice du paranormal, mais qui pourrait bien lui attirer quelques ennuis…
Une enquête pleine d’humour et de rebondissements qui clôt la série en beauté!
Plus connu sous le pseudo Ian Manook, Roy Braverman est l’auteur de la série à succès Yeruldelgger chez Albin Michel. Le premier opus de la série a été récompensé en 2014 par : le Prix des lectrices Elle, le Prix SNCF du Polar et le Prix Quais du Polar. Hunter est le premier titre d’une série de trois, à paraître chez Hugo Thriller sous le pseudo Roy Braverman.
Puissant comme un ouragan sur le bayou
Épicé comme un jambalaya créole
Enivrant comme un Ramos Gin Fizz
Endiablé comme un air de zydeco
Envoûtant comme le parfum des belles-de-nuit
Sensuel comme La Nouvelle-Orléans
Noir comme un roman de James Lee Burke
L’ouragan se déchaîne. Les bourrasques défoncent et emportent jusque sous le ciel noir tout ce qu’elles déchirent. Les traits de pluie, glacée et violente, fouettés par le vent, le cinglent comme autant de lanières. La pelouse est jonchée de projectiles hétéroclites qui retombent lourdement du ciel. Il pleut des barques, des barbecues, des poubelles.
Des lampadaires. Des remorques. Tout ce que l’ouragan arrache sur l’autre rive du bayou Teche, il le crache sur cette pelouse. Une baignoire se fiche dans un parterre de géraniums, à deux mètres à peine de l’homme qui sursaute.
C’est en se retournant pour voir à quoi d’autre s’attendre qu’il aperçoit l’alligator.
Un monstre de quatre bons mètres. Trois cent cinquante kilos de fausse pesanteur préhistorique. Caparaçonné d’une armure d’écailles cornées et de plaques osseuses.
Le crâne incrusté de coquillages. La plus puissante mâchoire sur Terre. Quinze fois celle d’un rottweiler.
On devine son flanc nacré enfoncé par les coups de boutoir de la tempête. Chaque bourrasque le percute de côté pour le retourner. Par instinct, il se plaque au sol et plante ses griffes cornées dans la terre qui s’emboue et fond sous le déluge. Son oeil d’ambre alerté par les mouvements de l’homme, le monstre se dresse sur ses courtes pattes, coudes écartés, pour mieux le voir de ses yeux myopes grand ouverts sous la pluie.
Le vent en profite aussitôt. Il se glisse sous son ventre d’ivoire, l’arrache du sol, et l’emporte avec lui dans son assaut contre la maison.
Paralysé par l’horreur, l’homme regarde l’alligator valdinguer à travers les airs droit sur lui, tournoyant sur lui-même, comme une simple bouée de piscine sous un vent de plage. Mais ce qui le frappe en pleine poitrine, ce sont trois cent cinquante kilos d’un animal blindé projeté par des vents de cent quatre-vingts kilomètres-heure. Le choc les projette cinq mètres plus loin dans la boue épaisse qu’est devenue la pelouse. L’homme y patauge aussitôt sur le dos, terrifié, et tente de se dégager du poids de l’alligator qui l’étouffe, tombé à l’envers en travers de sa poitrine. Mais, d’abord étourdi par le vol et le choc, le reptile retrouve vite ses instincts primaires. D’un coup de reins puissant, il se remet sur ses courtes pattes et se retourne face à l’homme, pétrifié par l’horreur à quatre pattes lui aussi. Les deux restent immobiles dans la tempête, la gueule et le visage lacérés par la pluie, abasourdis par le vent. Les yeux d’ambre et fendus de noir de l’alligator, sans aucune expression, comme absent du carnage qui s’annonce. Quand il amorce un imperceptible recul, le sicaire croit à sa chance. Une seconde. Une seule. Celle d’après, l’alligator se jette sur lui et sa gueule hérissée de crocs d’ivoire jaunis claque sur sa tête et lui déchire l’épaule et le crâne. Puis l’animal s’assure, de deux brusques mouvements de la tête en l’air, que l’homme hurlant ne lui échappera pas, et le traîne à reculons jusqu’à la berge du bayou. Pour le noyer dans son garde-manger, quelque part au fond de l’eau, profond sous les courants inondés.
Sabine Menet est née en 1974. Ingénieur en chimie-physique, elle est devenue journaliste. Elle vit à Gujan-Mestras et travaille pour le quotidien Sud-Ouest.
« A l’âge de 33 ans, j’ai appris que je n’étais pas l’enfant de mes parents. J’avais été adoptée et personne ne me l’avait dit. Mon existence reposait sur un mensonge organisé. Qui étais-je vraiment ? C’est ce que je me suis employée à découvrir me heurtant de plein fouet à une indécente réalité, celle de la naissance sous X.
J’étais née d’une mère qui, en choisissant l’anonymat de l’abandon, m’avait laissée sans racines. La vie ayant fait de moi une journaliste, j’ai enquêté pour retrouver l’identité de celle que l’exception française avait permis d’effacer, allant jusqu’à édicter de faux états civils. Nulle part ailleurs l’accouchement sous X n’existe. Alors j’ai milité pour qu’il disparaisse. Aux côtés des pupilles et des personnes nées par insémination artificielle avec donneur anonyme, j’ai porté la voix et la souffrance de ceux que l’on a privé de leurs origines. Que nous fûmes des enfants désirés ou subis, nos histoires nous appartiennent. Bien plus, à mon sens, qu’à nos parents dont seules les voix comptèrent.
Quatre ans me furent nécessaires pour retrouver ma mère, renouer des liens et écrire mon histoire dans toute sa complétude, généalogique et adoptive… Pour me reconstruire, témoigner et défendre à travers ce livre un message d’espoir et de concorde. »
Par une journée de 1831, Aurore, jeune journaliste au Figaro, fait le voyage depuis Paris jusqu’en Anjou pour rencontrer Céleste Bulkeley, connue pour avoir été l’une des célèbres amazones du général Charette. Au gré des souvenirs de Céleste, Aurore se trouve plongée avec émotion dans les dernières années de la Royauté jusqu’à l’insurrection vendéenne de 1793, terrible guerre civile dans laquelle l’amazone s’est livrée corps et âme aux côtés de son époux William, sous-officier d’origine irlandaise.
À travers ce roman en deux tomes, largement inspiré de faits authentiques, Sabrina Kiefner dresse le portrait d’une femme fascinante qui, malgré les épreuves infligées par le destin, ne baisse jamais les bras. Le premier tome de cette existence, haute en couleurs, retrace les jeunes années de Céleste Bulkeley jusqu’au tournant des guerres de Vendée.
Sabrina Kiefner rend hommage à des femmes oubliées par les historiens. Ses romans reposent sur des biographies historiques dans le but de dresser des portraits fidèles de ses héroïnes. En tant qu’adepte du cheval et de l’équitation, elle s’est d’abord consacrée aux amazones et écuyères qui ont marqué l’histoire de la Vendée, où elle vit avec son mari depuis 2014. Grâce à son métier de traductrice, ses romans sont autant appréciés en Allemagne qu’en France. Un premier recueil de poèmes a obtenu un accueil favorable après avoir été récompensé par le Artistique de l’Académie de l’Ecole de la Loire en 2024.
Le calendrier universel de grandes femmes, paru aux éditions Stellamaris le 21 octobre 2024, contient 52 portraits littéraires, en offrant au lecteur des espaces pour noter des anniversaires ou des dates personnelles dans un calendrier universel et perpétuel.
Sabrina Philippe est psychologue, rédactrice, chroniqueuse (Le Grand Direct de la Santé sur Europe 1, Toute une histoire sur France 2, Crimes et faits divers sur NRJ 12).
Elle publie en mai 2018 Petit manuel de navigation pour l’âme… de la part d’un gardien de phare, aux éditions Flammarion.
Elle a sorti en octobre 2018 Tu verras les âmes se retrouvent toujours quelque part en poche aux éditions Points.
Né en 1978 à Angers, Samuel Delage est scénariste et auteur de romans à suspense.
Il est également chroniqueur de livres sur France 3 et a créé le site Internet Les Petits Mots des Libraires.
Auteur de Code Salamandre (Belfond) et de Cabale Pyramidion (Albin Michel), il a été lui-même pensionnaire à la Villa Médicis et offre, avec Arcanes Médicis, une plongée saisissante dans ce lieu prestigieux des arts et de la culture.
Samuel Loussouarn est un auteur spécialisé dans la littérature jeunesse. Publié chez Hachette, Nathan ou encore Fleurus, il a écrit des romans dans des univers variés – rugby, surf, rock, samouraïs. Il rêve de trouver la formule qui conclurait sa biographie sur une note pleine d’esprit.
Chez les Ntamack, le rugby est une affaire de famille. Romain est le fils d’Émile, une légende du XV de France. Entre deux cours, il partage sa passion du rugby avec ses amis du Stade Toulousain. Mais à l’approche du collège, un challenge de taille se présente à lui : on lui propose d’évoluer à un niveau supérieur. Pour mériter cette place, il va devoir redoubler d’efforts… Qu’à cela ne tienne, Romain adore relever des défis !
Jours de présence : vendredi 28, samedi 29 et dimanche 30 mars 2025
Au Japon, Yuzu et Shogi grandissent en rêvant de devenir de véritables samouraïs ! Lorsque des ninjas ennemis cherchent à dérober un puissant sabre magique, Yuzu et Shogi enfilent leurs tenues, prennent arc et épée, et se dirigent droit sur eux…
Un roman à énigmes dès 7-8 ans pour apprécier la lecture en s’amusant.
2020
Il y a un an, si on m’avait dit que j’allais participer au Tournoi des Six Nations, j’aurais cru qu’on me faisait une blague ! Et pourtant, me voilà aujourd’hui dans la ville de rugby en Angleterre pour représenter la All Blacks Academy lors de cette compétition légendaire. Cette année, exceptionnellement, la Nouvelle-Zélande est invitée au Tournoi. J’ai l’impression de vivre un rêve éveillé.
Enfin, presque… Car Mathis, mon éternel rival, est lui aussi de la partie. Et il est bien décidé à décrocher la place de demi de mêlée titulaire et me renvoyer sur le banc des remplaçants ! Heureusement, mes coéquipiers, mes amis et ma famille sont là pour me soutenir. Si on veut remporter la coupe, il va falloir se dépasser et se montrer digne de la fougère argentée des All Blacks.
Plus journaliste mais toujours bretonne, Sandra Le Guen a fait des études de Lettres Modernes à Rennes, sa ville natale. Chroniqueuse notamment pour un blog consacré à la littérature jeunesse, son écriture séduit des illustrateurs qui l’invitent à écrire pour eux de la fiction.
Depuis qu’elle a osé commencer, elle ne s’arrête plus. Énergiques, poétiques, optimistes, sensibles, drôles ou engagées, elle joue sur la corde des émotions.
Auteure du Feuilleton Du Prix des Incorruptibles en 2018, et toujours un peu photographe, ses correspondances avec les enfants l’ont incitée à monter l’expo « J’écris, je crée ? » sur le processus d’écriture.
Après 20 ans dans les hôpitaux parisiens et 6 ans comme couteau suisse pour des éditions associatives, Sandra Todorovic alias REMY, crée les Editions ZTL- ZéTooLu. Spécialisée en « lecture confortable » la maison a pour objectif d’ aider à accepter, à mieux gérer, comprendre et faire comprendre la « dys-fférence ». À 48 ans REMY, multidys, écrit cette comptine « La ferme de Tom, Tom’s farm » par jeu pour compléter la proposition bilingue du catalogue.
La ferme de Tom
L’album bilingue La ferme de Tom – Tom’s farm permet à l’enfant d’apprendre à compter et à reconnaître les animaux de la ferme en français et en anglais. Chaque page est l’occasion pour lui d’assimiler un animal et un chiffre. Il apprend à dénombrer les animaux de 1 à 10 grâce à un effet de redondance.