Bernard Minier, reconnu pour ses thrillers captivants et ses intrigues palpitantes, s’impose depuis plusieurs années comme l’une des voix majeures du roman noir français. Son premier roman, Glacé, paru en 2011, est unanimement plébiscité par le public et la critique. Cet ouvrage mettant en scène le commandant Servaz, devenu un personnage emblématique de l’auteur, remporte le prix du Festival de Cognac et est adapté en série télévisée.
Mêlant suspense, tension psychologique et intrigue policière, les romans de Bernard Minier sont aujourd’hui traduits dans de nombreuses langues et captivent des lecteurs du monde entier. En dix ans, il a vendu plus de 6 millions d’ouvrages, faisant de Bernard Minier l’un des auteurs les plus lus dans le pays. Son dernier roman Les Effacées est paru en 2024 aux Éditions XO et les droits de son roman Lucia ont été acquis pour une prochaine adaptation en série télévisée.
Elle est l’autrice de la série à succès Les Colombes du Roi-Soleil (plus d’1 120 000 exemplaires vendus, grand format, poche et BD).
Elle publie également plusieurs ouvrages en 2018 : Comment devenir une vraie sorcière ; le tome 3 de la série DinosauRex, illustré par le Rennais Emmanuel Cerisier ; le tome 5 de la série Vétérinaire et les bébés animaux, ainsi que le 1er tome d’une nouvelle série Marie-Antoinette et ses soeurs chez Flammarion.
Il m’est arrivé quelque chose d’incroyable ! Vraiment incroyable ! Je veux bien vous le raconter, mais je me demande si vous n’allez pas me prendre pour un fou. Alors, voilà… Accrochez-vous bien… Et si j’en entends un murmurer : « Non, il exagère, c’est impossible », j’arrête tout !
Allez, je commence … J’étais un petit garçon comme les autres. Je n’aimais pas DU TOUT l’école et je rêvais de faire comme mon chat : passer mes journées à ne rien faire ! Jusqu’au jour où ma maîtresse a changé ma vie d’une façon inimaginable…
Sélection Prix du roman jeunesse « La vache qui lit »
Anne Marie Préault habite L’Herbergement depuis 50 ans. Elle est née à St Mesmin en Vendée. Après des études secondaires à Torfou, elle fit des études d’assistante sociale à Nantes de 69 à 72. Elle a exercé dans différentes administrations, dont 30 ans au Conseil Départemental de la Vendée. Après une retraite anticipée à 55 ans, elle s’est engagée dans l’humanitaire, dans des orphelinats au Vietnam pendant 10 ans. Son livre « Back to KONTUM, une humanitaire au Vietnam » est un témoignage illustré de ses voyages dans un Vietnam hors des sentiers battus, traversés par de multiples amitiés déterminantes, dont celle avec NINH, un ami qui m’a accompagnée tout au long de mes périples.
Ce livre, émaillé de quelques références à son patois natal, d’un mixte de mots d’anglais / vietnamien appris sur le tas, se termine par des annexes sur la géographie du Vietnam, les dates importantes de son histoire récente au 20ème siècle, sur les 52 minorités ethniques et les différentes religions, ainsi que les projets de la petite ONG pour laquelle j’ai travaillé pendant 15 ans.
Jours de présence : vendredi et dimanche après-midi
Anne Plichota est autrice de littérature jeunesse. Après des études de langue et culture chinoises, elle a séjourné quelque temps en Corée et travaillé en Chine. Elle a eu plusieurs métiers : professeur de chinois, aide-soignante, écrivain public, bibliothécaire aujourd’hui.
Anne Plichota et Cendrine Wolf sont notamment connues pour leur série “Oksa Pollock”, une série de livres fantastiques en sept volumes dont le premier tome est sorti au printemps 2010.
Après “Oksa Pollock” qui a connu beaucoup de succès, elles ont écrit la trilogie “Tugdual” (2014-2015) et la série “Susan Hopper”. Elles sont aussi autrices d’un roman indépendant, “Les Petites Histoires de Dragomira”, publié en 2014.
Voilà cinq ans qu’Oksa Pollock et les Sauve-Qui-Peut sont revenus à Édéfia… La Gracieuse Oksa est devenue une jeune femme épanouie. Entourée de ses créatures fantasques et comblée par l’amour de Gus, elle se consacre avec passion à sa mission de régnante. Et pourtant, Oksa est inquiète. Le monde de Du-Dehors va mal, étouffant sous la pollution. Ses pouvoirs lui permettraient de faire entendre raison aux dirigeants de la planète, mais Édéfia est désormais close. plus aucun moyen d’en sortir. Alors comment faire ? Confrontée au désastre écologique qui s’annonce et à la ruse de certains Du-Dedans pour quitter Édéfia, Oksa doit relever le plus grand défi que connaît l’humanité : survivre… et préserver l’espoir des lendemains. Mais pour cela, il lui faudra payer un prix terrible… Avec la parution de cette nouvelle aventure, 10 ans après L’Inespérée, la fantastique histoire d’Oksa Pollock continue ! À l’origine autoéditées, les aventures de la série imaginée par Anne Plichota et Cendrine Wolf ont déchaîné l’enthousiasme de jeunes lecteurs. Avec 27 traductions, la série française est devenue un vrai phénomène d’édition.
PRIX ET DISTINCTIONS – OKSA POLLOCK
– 2011 : Prix du jury des Jeunes Lecteurs de la ville de Vienne (Autriche).
– 2012 : Prix ados de la ville de Rennes.
– 2013 : Prix coup de cœur au salon Saint Maur en poche .
– 2013 : Prix du Trophée régional export “CCI ALSACE”.
Bien connue du monde des professionnels de l’aide à la petite enfance avec Ticoco , Voleur et Cacao, ou bien Ticoco et Le Voleur de Couleurs, Anne Surrault présente Ramdam chez les Hippopotames, une nouvelle aventure du petit singe et ses amis, qui vont être confrontés au harcèlement, aux moqueries… et à deux conséquences : l’anorexie et la boulimie.
Ramdam chez les Hippos :
Au cœur de la forêt tropicale, les singes capucins se préparent pour les vacances. Ticoco et ses cousins Tikiki et Titlili sont prêts pour quitter leur tribu comme des grands. Mais cette nouvelle aventure leur réserve de grandes surprises, et la rencontre avec Popitine et Popotum n’est pas la moins étonnante.
Lors d’un voyage en Guadeloupe, j’ai longtemps observé un petit singe capucin qui m’amusait beaucoup. J’ai décidé d’en faire mon personnage pour la série Ticoco. Je m’en sers dans un objectif de prévention, pour que les enfants et leur famille se reconnaissent le cas échéant dans ces histoires. Le quatrième vient juste de paraître et aborde le sujet délicat des attouchements : ‘Ticoco et le voleur de couleurs’ ». Le thème est abordé avec douceur et délicatesse. « Le petit singe Ticoco observe une petite perroquette qui perd ses couleurs lorsqu’elle embrasse son oncle. Au fil des illustrations, l’enfant comprend la notion de refus et de consentement. On lui offre le pouvoir dire ‘NON’ face aux comportements déviants ».
Un conte pour parler des maltraitances sexuelles à nos enfants et aux adultes, afin d’informer, de prévenir, d’agir.
C’est la fête de Karnabal ! Afin de confectionner de beaux costumes, trois petits singes, Ticoco, Tikiki et Titlili, traversent la forêt tropicale pour récupérer des plumes multicolores chez les perroquets.
Dans la colonie, ils partagent la bonne cuisine de Spatule, l’oncle de Mimi la petite perroquette. Mais il se passe quelque chose de très étrange. Après avoir été servie, Mimi a une plume qui perd d’un coup sa couleur, au moment où elle embrasse Spatule pour le remercier. Les petits capucins vont enquêter…
Anne Thoumieux est d’abord journaliste et auteure spécialisée en bien-être et société. Après un roman de développement personnel, elle se tourne naturellement vers le lifestyle et l’écologie, d’abord avec le Livre du Lagom puis J’arrête le plastique. Elle se passionne aujourd’hui pour les thèmes de la décroissance et d’un retour à une vie raisonnée, plus simple et plus heureuse.
J’arrête le plastique est un livre-coach qui propose des solutions concrètes pour réduire sa consommation de plastique et le remplacer dans la vie de tous les jours. L’ouvrage comporte aussi de nombreuses interviews d’experts et des encadrés pour tout comprendre sur le recyclage, la pollution marine, les risques sanitaires et les initiatives écologiques menées par les entreprises ou les particuliers. Un livre complet, optimiste et bienveillant pour entamer sa transition écologique et agir concrètement chez soi et autour de soi.
Anne Tuffigo est médium. Elle partage sa vie entre des consultations individuelles à son cabinet parisien, des médiumnités publiques et les conférences qu’elle organise à travers toute la France.
Elle intervient régulièrement dans les médias, par le biais de la radio où elle anime des émissions sur le contact avec les défunts ou sur l’analyse des biens immobiliers, ainsi que dans la presse féminine autour du thème de l’éclairage de vie.
Dans Ces âmes qui guident nos pas elle raconte son parcours et son rôle aujourd’hui.
Originaire des Flandres, Annie Degroote a notamment publié aux Presses de la Cité Le Moulin de la Dérobade, La Splendeur des Vaneyck, Nocturne pour Stanislas, La Kermesse du diable, Le Coeur en Flandre et Des cendres sur le coeur ou elle conjugue le romanesque et l’Histoire. Plusieurs de ses romans ont été couronnés par des prix littéraires. Elle a également dirigé aux éditions Omnibus l’anthologie illustrée Le Nord comme ils l’ont aimé.
1624. Pour échapper aux massacres perpétrés par les troupes espagnoles de Philippe II, la famille Daredeville, originaire du Nord de la France, s’est réfugiée à Leyde, en Hollande. Certains d’entre eux vont prendre la route de l’Amérique, à la suite des Pilgrim Fathers avec lesquels ils viennent de passer onze ans à Leyde. Parmi eux, la jeune Angela, de son enfance rebelle en Hollande jusqu’à son installation sur le nouveau continent auprès de ces fondateurs venus d’une Europe en guerre et qui vont se confronter aux autochtones. Fille de migrants, volontaire et courageuse, son parcours sera semé d’embûches. Elle rencontrera l’intolérance, les premiers esclaves noirs, les terres prises aux Indiens… Elle apportera son regard sur un Nouveau Monde en train de s’inventer avec des idéalistes, des affairistes et des tribus de natifs.
De nos jours. Billie et son amie Patricia sont à New Paltz, dans l’état de New York. Elles y rencontrent un jeune universitaire Mohegan, d’origine amérindienne, guide officiel de la ville, en possession d’un manuscrit ancien qui va livrer ses secrets. Elles iront sur les traces de leurs ancêtres, ces Flamands parlant français, dénommés Wallons, qui ont contribué à la fondation de New York.
Crédit photo : Catherine Gugelmann
Jours de présence : vendredi après-midi, samedi et dimanche
C’est le récit d’un homme passionné par le théâtre, dont la vie, celle de la décentralisation théâtrale, se confond en grande partie avec l‘Histoire du Théâtre de la Région.
Le livre est commencé par Jean Guichard et Annie Guichard en 2016 et 2017 avec la complicité du graphiste Philippe Leduc (association Lucie Lom à Angers). Après le décès de Jean Guichard, Annie Guichard termine seule le livre à partir des notes, photos et archives.
C’est Jean Guichard qui en a choisi le titre.
La dédicace il l’a laissée en hommage « aux comédiens oubliés qui ont laissé un instant de beauté ».
Jours de présence : vendredi après-midi et dimanche après-midi
Annie Lebaillif, est née au Havre. Aujourd’hui vendéenne des Sables d’Olonne, elle publie là un premier roman après une correspondance littéraire avec Hervé Bazin à 20 ans. Ses nouvelles ont été éditées dans différentes revues dont Délits d’encre.
Née le 28 juin 1947 à Rouen, Anny Duperey est comédienne et écrivaine.
Elle a joué plus de 25 pièces au Théâtre, de Shakespeare et Giraudoux, Anouilh, à Roussin et Bertrand Blier.
Au cinéma et à la télévision, ce n’est pas moins de 120 films qu’elle a interprétés, dont la célèbre série télévisée «Une famille formidable». Elle a reçu de nombreuses distinctions et récompenses. Elle est officier de la Légion d’Honneur.
Elle a écrit une quinzaine de livres, romans (un prix de l’académie Française pour son premier roman), récits et œuvres plus autobiographiques. Environ 2 millions d’exemplaires vendus en tout à ce jour.
Également photographe, elle s’est adonnée à cette passion, qui incluait aussi le laboratoire, pendant une vingtaine d’années, travaux regroupés dans un livre-récit « Les photos d’Anny » et une exposition, qui voyage encore un peu partout en France.
Solange est une jeune femme mal dans sa peau, taraudée par un problème d’enfance, un doute qu’elle n’a jamais eu le courage d’éclaircir. Ce malaise, profondément refoulé, l’a amenée à rompre avec sa famille, non sans éprouver une sourde culpabilité. Elle en fait injustement payer le prix à son charmant mari… Au détour d’un voyage à Nîmes, organisé avec ses collègues de travail, Solange rencontre, au pied des arènes de la ville, une fabuleuse clocharde qu’elle est persuadée avoir connue brillante et libre femme d’affaires, alors qu’elle-même était adolescente. Guidée par un mystérieux instinct, commence alors pour Solange, en compagnie de cette femme hors normes et de deux compagnons bateleurs, des « seigneurs de la rue », une aventure humaine et folle de trois jours, qui va bousculer sa vision du monde et changer le cours de sa vie. Porté par des personnages aussi attachants que surprenants, le nouveau roman d’Anny Duperey, est l’histoire d’une rédemption inattendue – une psychanalyse sauvage en forme de conte !
Journaliste pour Radio France pendant plus de huit ans, Anouk F. est aujourd’hui professeure des écoles. Après son témoignage, Merci Maîtresse !, elle signe ici son premier roman.
La rue de l’école, elle monte. Ou elle descend, c’est selon. En haut, les façades des immeubles sont un peu noires. Plus bas, les villas s’ouvrent sur des allées de graviers blancs.
Ici, les habitants trimballent leur passé et bricolent leur présent. Au n° 7, Karine et son fils, Naël, essaient de repartir de zéro, ou plutôt de ne plus y rester. Juste au-dessous, Kamel apprend à être seul avec ses filles, Siryne et Nour. Au n° 24, Julie, la maman parfaite et quadra bien sous tous rapports, se cherche dans cette maison trop grande, dans ce confort qui l’encombre.
Au milieu, au n° 12 : l’école publique.
Nour disparaît un jour. Qu’ils viennent du haut ou du bas de la rue, les voisins se mobilisent pour la retrouver. Peut-être aussi pour se trouver.
L’histoire d’une rue, d’un quartier, d’une société fissurée que l’on peine à rafistoler.