Bernard Minier, reconnu pour ses thrillers captivants et ses intrigues palpitantes, s’impose depuis plusieurs années comme l’une des voix majeures du roman noir français. Son premier roman, Glacé, paru en 2011, est unanimement plébiscité par le public et la critique. Cet ouvrage mettant en scène le commandant Servaz, devenu un personnage emblématique de l’auteur, remporte le prix du Festival de Cognac et est adapté en série télévisée.
Mêlant suspense, tension psychologique et intrigue policière, les romans de Bernard Minier sont aujourd’hui traduits dans de nombreuses langues et captivent des lecteurs du monde entier. En dix ans, il a vendu plus de 6 millions d’ouvrages, faisant de Bernard Minier l’un des auteurs les plus lus dans le pays. Son dernier roman Les Effacées est paru en 2024 aux Éditions XO et les droits de son roman Lucia ont été acquis pour une prochaine adaptation en série télévisée.
Chef de la rubrique police, banditisme et faits divers à Libération pendant 30 ans, Patricia Tourancheau, journaliste et écrivaine, est spécialiste des grandes affaires criminelles.
C’est elle qui a relancé la piste du gang des Postiches et révélé au final que le trésor des Fourniret était bien le leur.
Patrick Avrillas est co-président de l’association Histoire, Culture et Patrimoine du Pays de Rié. Très investi dans la conception et l’organisation des activités culturelles locales, il est l’auteur de deux ouvrages : Louis XIII et la bataille de l’Isle de Rié. 1622, les armes victorieuses de la monarchie absolue et Louis XIII, un roi de guerre à la conquête du pouvoir, 1620-1622, publiés par La Geste en 2013 et 2019.
Cet ouvrage invite à un double vagabondage à travers les cartes et les paysages anciens du marais vendéen, de l’ancienne île de Bouin aux confins du Poitou au nord, au havre de La Gachère et à Olonne au sud. Les cartes livrent une double histoire : la leur et aussi celle des espaces qu’elles représentent. Leur histoire plonge très loin dans le temps mais ce n’est qu’à partir de la Renaissance et de l’imprimerie qu’elles deviennent abondantes. Notre petite région peut être retrouvée sur toutes ces cartes, même les plus anciennes et celles qui embrassent les espaces les plus vastes. À partir des XVIIe et XVIIIe siècles et plus encore au XIXe siècle, les cartes locales, à grande échelle, se multiplient et sont de plus en plus détaillées : cartes des ingénieurs militaires, carte de Cassini, cadastre, cartes d’État-Major… L’ouvrage comprend près de 200 illustrations qui proviennent essentiellement de dépôts d’archives publics – Les Archives nationales, la Bibliothèque nationale de France, le Service historique de la Défense à Vincennes, le Musée des Plans-Reliefs et les Archives départementales de la Vendée – ainsi que de collections privées.
Auteur aux multiples casquettes, Patrick Banon est spécialisé en sciences religieuses et chercheur associé à la chaire Management, Diversités et Cohésion sociale de l’université Paris-Dauphine. Impliqué dans de nombreux organismes, il est un nom incontournable de l’étude des systèmes de pensée religieux et des biographies des personnages bibliques.
Grand voyageur, il a su s’établir une forte culture internationale afin de mieux comprendre le monde dans lequel nous vivons, et a su, au fil des années, se faire un nom dans la littérature par ses essais et ses romans.
Patrick Banon a publié près d’une trentaine d’ouvrages autour du monde des religions, essais, romans et biographies dont les très remarqués « Flavius Josèphe, un juif dans l’empire romain », « Jésus, la biographie non autorisée », Marie de Magdala, l’Apôtre préférée de Jésus ».
Paul Bridier, né en 1978, est un passionné de la France à qui il consacre son action et sa plume. Auprès de personnalités du monde politique ou de décideurs locaux, il développe des projets destinés à mettre en valeur l’identité et le caractère de sites, d’histoires ou de territoires. Après avoir prêté son style empreint de poésie épique à divers ouvrages, il publie en 2019 son premier livre aux éditions Beaufort : « Au cœur de la guerre de Vendée ».
Entre récit historique et guide de voyage, ce livre documenté, richement illustré et accessible à tous, offre un nouveau regard sur les Guerres de Vendée. Construit comme une chronique au coeur de l’action, il propose au lecteur l’expérience immersive d’une épopée en terre de Géants. En 7 chapitres écrits à la manière d’un roman de chevalerie, il egrène les hauts faits, les hauts lieux et les hautes figures qui ont fait de l’insurrection vendéenne au temps de la Révolution, une méditation universelle pour les âges nouveaux. Un beau livre qu’on peut lire seul ou à haute voix, d’une traite ou lentement, et destiné à tenir bien en mains, pour le prendre avec soi sur les lieux des batailles.
« A travers ce livre aux allures de chanson de geste, vous allez découvrir l’histoire d’une épopée exemplaire, devenue un mythe fondateur. » Nicolas de Villiers, Président du Puy du Fou
Paul Colize est né à Bruxelles, d’un père belge et d’une mère polonaise. Ses polars, à l’écriture aiguisée et au rythme singulier, sont ancrés dans le réel et flirtent avec la littérature générale.
Son œuvre (Back Up, Un long moment de silence, Concerto pour 4 mains…) a été récompensée par de nombreuses distinctions littéraires dont le prix Saint-Maur en poche, le prix Landerneau, le prix Polar pourpres, le prix Arsène Lupin et le prix Sang d’Encre des lecteurs.
Une jeune femme est retrouvée dans son appartement bruxellois, tuée de plusieurs coups de couteau. Tout accuse Nikola Stankovic, artiste marginal, dernière personne que la victime a appelée avant sa mort. Il apparaît sur les caméras de surveillance juste après le meurtre, la police retrouve ses vêtements maculés de sang et découvre des croquis de la scène de crime dans son atelier.
Sous ses airs d’enfant perdu, Niko est un graffeur de génie que la presse a surnommé le Funambule après l’apparition d’une série de fresques anonymes ultra-violentes dans les rues de la capitale. Muré dans le silence, sous surveillance psychiatrique, le jeune homme nie tout en bloc. Pour seule ligne de défense, il ne répète qu’une phrase : « c’est pas moi ».
Breton par sa mère, vendéen d’adoption, il habite ce département depuis sa retraite. Après une vie professionnelle dans une société d’assurances, il l’occupe par des engagements associatifs et bien sûr, l’écriture. Intéressé par la philosophie et la théologie, il publie à compte d’auteur en 2007 un essai sur la doctrine sociale de l’Eglise : Chrétiens et citoyens. Plus tard, il se lance dans l’écriture d’un roman. L’espoir est un risque à courir sorti en 2022. En 2023, c’est Je t’attends à Timadeuc, une histoire sentimentale qui nous fait voyager dans le temps et dans l’Histoire.
Une quête, dans laquelle le narrateur, Michel, cherche un sens à sa vie, s’interroge sur sa capacité à aimer, à être aimé. Mais s’aime-t-il lui-même ? Quête également spirituelle où il parcourt un chemin de conversion, un peu malgré lui. Ce voyage nous entraîne d’un village vendéen à un monastère breton, en passant par le Maroc et le Sénégal, de l’attentat manqué contre Hitler à un réseau de Résistance.
Paul Drouin est né en 1980. Il étudie le dessin pendant 4 ans à l’ECV Bordeaux (école de communication visuelle). Son diplôme en poche il commence par faire de la communication visuelle pour des groupes de musique.
Après avoir remporté le concours « Arte, Glenat », il publie « Le moustiquaire de Berlin » (Janvier 2006) aux éditions Arte/Glenat.
En 2007, il fait la connaissance de Guillaume Clavery. De cette rencontre va naître plusieurs albums : « On the road », « Blood Circus » aux éditions Casterman.
Paul participe aussi à des collectifs : « Summer of the 80’s » édité chez Arte/Dargaud, « Cicatrice de Guerre » aux éditions « La Gouttière ».
A côté de son travail dans la BD, Paul fait de l’illustration, il a fait une affiche pour la chanteuse Macy Gray à l’occasion du festival « Rock en Seine ».
Il a aussi travaillé pour de nombreuses maisons d’édition jeunesse (Bayard, Milan…).
En 2016 il revient chez Glénat avec « La Famille Fantastique », épaulé par les splendides couleurs de Lorien. Le tome 1 gagne le prix de la BD jeunesse au forum du livre de Saint Louis.
Actuellement, il travaille sur 2 séries chez Glénat, la suite de « La Famille Fantastique » ainsi que sur une nouvelle série intitulée « Titi Poussin ».
PAUL EL KHARRAT s’est fait connaître du grand public grâce à son parcours exceptionnel dans l’émission Les Douze Coups de midi. De cette expérience, il a tiré son autobiographie à succès Ma 153e victoire. Passionné de culture générale et d’histoire, il est l’auteur de plusieurs livres dont les ventes ont dépassé les 100 000 exemplaires. Depuis 2020 il participe en tant que chroniqueur aux Grosses Têtes sur RTL.
De la Provence aux Hauts-de-France, des Alpes à la Bretagne l’histoire de chaque région française recèle des affaires criminelles et de sombres faits divers nimbés de mystères.
Passionné de criminologie et d’histoire, Paul El Kharrat nous raconte, depuis les guerres de religion jusqu’au XXe siècle, les destins tragiques de personnages illustres et d’inconnus énigmatiques.
En brossant ces portraits, il dessine une carte de France où se côtoient monstres sanguinaires, empoisonneuses désespérées et victimes d’erreurs judiciaires, et nous prouve que la petite histoire influe aussi sur la destinée de notre pays
Qui était le tueur de bergers surnommé « Jack l’Éventreur du Sud-Est » ? Quel était le mode opératoire des empoisonneuses de Marseille ?
Pourquoi le marquis de Sade et Alexandre Dumas ont ils été inspirés par la marquise de Ganges ?
La mort d’Agnès Sorel a t-elle révélé tous ses secrets ?
Gilles de Rais, maréchal de France et ogre sanguinaire, mérite t-il sa réputation de Barbe Bleue ?
Paul El Kharrat vous invite à un terrifiant tour de France aucune région ne sera épargnée
Jours de présence : vendredi après-midi, samedi et dimanche
Pauline Aubry est née à Paris en 1981 et n’aurait jamais imaginé devenir un jour “auteur de BD”.
Devenue graphiste par hasard, elle a appris à dessiner sur le tard. À 30 ans, elle a réalisé qu’il lui manquait quelque chose : l’envie de raconter des histoires. Profitant de son congé maternité pour se replonger dans le dessin, elle reprend des études dans une école de BD (CESAN).
Elle raconte d’ailleurs une première partie de son histoire, dans son premier album « Les Mutants, un peuple d’incompris » (éditions Les Arènes BD – Janvier 2016), un album à mi-chemin entre le reportage graphique et le récit autobiographique sur la crise d’adolescence.
Son deuxième album, « Les descendants ou l’appel de la Pampa », (éditions Les Arènes BD – Avril 2018 – Sélection Révélation St Malo), est une quête identitaire sur les traces de sa légende familiale en Argentine.
Pauline Aubry travaille actuellement sur plusieurs projets à venir, autour de la bande dessinée, de l’audiovisuel et d’une exposition :
un nouvel album, « Pourquoi fait-on des enfants » en collaboration avec la journaliste Fanny Lesbros (à paraitre aux éditions Steinkis en 2019).
dans le cadre d’une bourse d’écrivain du Conseil Régional d’Ile de France, elle s’investit auprès de l’association Horizons, autour des thématiques de la parentalité et des addictions. Ce travail d’un an, en collaboration avec la journaliste Alix Bayle, donnera naissance à un roman graphique en cours de scénarisation.
l’adaptation en documentaire de son premier album « Les Mutants, un peuple d’incompris »pour Arte.
l’écriture d’un court-métrage d’animation autour de son premier album, « Les Mutants, un peuple d’incompris »,avec Tabo-Tabo et La Station d’animation ainsi que l’adaptation de cet album en documentaire pour Arte.
un projet d’exposition à L’institut Français de Buenos Aires autour du lancement en Argentine de son deuxième album « Les descendants ou l’appel de la Pampa ».
Elle intervient également auprès des jeunes dans les collèges et lycées pour présenter son travail.
Pauline Giraud est née en 1986 à Maisons-Laffitte.
Après un Bac L option théâtre et un passage peu concluant en faculté, elle intègre l’école des Beaux-arts de Grenoble. Diplomée en 2010, elle finit son cursus à Nantes où elle obtient son DNSEP en 2012.
Plasticienne mais pragmatique, Pauline Giraud décroche en parallèle un Master en Technologies numériques à l’Université d’Angers qui lui permettra de travailler dans le milieu culturel et sur différents projets artistiques.
En 2014, elle fonde Ultralazer avec son compagnon Maxence Henry, depuis ils créent ensembles des sculptures en papier et répondent ainsi à diverses commandes.
Et c’est en 2016 qu’Ultralazer évolue vers un projet de bande dessinée, qu’elle co-scénarise aux côtés de Maxence Henry et Yvan Duque.