Bernard Minier, reconnu pour ses thrillers captivants et ses intrigues palpitantes, s’impose depuis plusieurs années comme l’une des voix majeures du roman noir français. Son premier roman, Glacé, paru en 2011, est unanimement plébiscité par le public et la critique. Cet ouvrage mettant en scène le commandant Servaz, devenu un personnage emblématique de l’auteur, remporte le prix du Festival de Cognac et est adapté en série télévisée.
Mêlant suspense, tension psychologique et intrigue policière, les romans de Bernard Minier sont aujourd’hui traduits dans de nombreuses langues et captivent des lecteurs du monde entier. En dix ans, il a vendu plus de 6 millions d’ouvrages, faisant de Bernard Minier l’un des auteurs les plus lus dans le pays. Son dernier roman Les Effacées est paru en 2024 aux Éditions XO et les droits de son roman Lucia ont été acquis pour une prochaine adaptation en série télévisée.
Mademoiselle Caroline, scénariste & dessinatrice est née à Paris et réside en Haute-Savoie.
À travers l’histoire sensible de Malou, Mademoiselle Caroline partage sa passion pour le rugby avec une joie communicative !
Malou a 24 ans, et la vie n’est pas rose tous les jours. Ses collègues l’humilient, ses parents attendent désespérément qu’elle tombe enceinte et son mec est jaloux possessif…. Mais quand elle découvre la bande des filles du rugby, leur bienveillance, et l’énergie incroyable qui se dégage des entraînements, elle commence doucement à s’éveiller et reprendre confiance en elle…
Jours de présence : vendredi après-midi, samedi et dimanche
2022
MADEMOISELLE CAROLINE est née toute nue un soir d’orage à Paris, et vit maintenant au pied de montagnes de Haute Savoie.
Elle est l’autrice de 16 albums aux éditions Delcourt, notamment Chute libre, carnets du gouffre, un récit sur ses 4 dépressions, qui a suscité l’engouement des médias et des lecteurs, et de La Différence invisible, vendu à plus d’un million d’exemplaires (vérifiez les chiffres, je ne les ai pas), avec Julie Dachez, sur le syndrome d’Asperger. En 2022, elle collabore avec Anna Roy (la maison des maternelles) pour “année Zéro”, traitant de la première année après la naissance d’un enfant, vécue par ue sage-femme.
Parallèlement à ça, elle lance une petite collection, les carnets d’aventures ordinaires, tirée de son blog, avec les volumes L’Homme, la lose, les potes.
À part ça, elle skie avec classe et distinction, joue au rugby, avec panache et sévérité, et s’occupe de ses trois enfants, avec un peu de patience mais beaucoup d’amour.”
“Mademoiselle Caroline poursuit l’observation de son homme sous toutes les coutures (ou presque !) et nous livre un second tome amoureux et hilarant de ses aventures ordinaires.
L’homme. Son homme. L’unique. Capable de couper du bois à mains nues ou de flinguer une réputation en une phrase… On pourrait s’arrêter à son air malveillant ou à ses remarques cinglantes, mais en grattant un peu, on tombe sur le bonhomme le plus gentil de l’univers… ”
Jours de présence : vendredi après-midi, samedi et dimanche matin
2020
L’homme. Son homme. L’unique. Capable de couper du bois à mains nues ou de flinguer une réputation en une phrase… On pourrait s’arrêter à son air malveillant ou à ses remarques cinglantes, mais en grattant un peu, on tombe sur le bonhomme le plus gentil de l’univers… Ce premier album thématique regroupe des pages initialement publiées sur le blog de mademoiselle Caroline, « Le Journal d’en haut ».
Magali Marionneau, M comme Monneypenny (discrète mais toujours là au fil des épisodes), née en 1974 à La Roche-sur-Yon, a parcouru la France avant de reposer ses valises dans sa Vendée natale. C’est près de l’océan où il fait bon vivre qu’elle se consacre à faire découvrir le monde de son enfant extraordinaire pour encourager la bienveillance envers la différence…
Un petit garçon demande à un de ses héros préférés, l’astronaute Thomas Pesquet, si la Terre est bleue. Et il profite de cette prise de parole pour nous interpeller. Pas évident d’être un enfant avec autisme, même si l’on est curieux, curieux des autres, curieux d’apprendre, curieux d’aimer… Pas évident de vivre en société, d’aller à l’école, de se faire des copains, si quand il fait un pas vers les autres, les autres ne font pas un pas vers lui. Bref, pas évident de grandir, d’être heureux même si l’on a une maman et un papa aimants qui font tout pour que les journées se passent le mieux possible.
Un petit livre sympathique, tendre et drôle sur un vécu parfois difficile, mais face auquel le petit garçon et ses parents refusent de perdre espoir.
Écrivain, lauréat du Goncourt du premier roman en 2018 pour Grand frère (Philippe Rey), Mahir Guven a également publié Les Innocents chez Grasset. Il est directeur éditorial du label La Grenade.
Tout est personnel dans ce livre et pourtant, rien ne l’est. Ce récit est presque un roman de l’intimité et du questionnement. Mahir Guven, issu de parents immigrés, explore son parcours d’enfant, d’adolescent, d’adulte, de lecteur, d’auteur et d’éditeur, pour le décortiquer, le critiquer et répondre à ses obsessions depuis la naissance de sa fille : qui est-il ? Comment lui et sa famille sont-ils devenus français ?
C’est l’histoire de ses parents réfugiés, de sa soeur qui pleure de ne pas avoir la peau blanche, d’enfants qui lui lancent des pierres en le traitant de « Saddam Hussein », d’André le professeur de français de sa mère qui va lui donner le goût du savoir, de ce jeune homme à qui l’on suggère de rester à sa place quand il rêve d’écrire. Pourquoi est-il urgent de graver dans le marbre de l’écrit les récits des Français issus de l’immigration et d’origine populaire ? Pourquoi doit-on mettre la question de la maîtrise de la langue au coeur de la réflexion sur l’intégration ? Pourquoi les enfants des classes populaires choisissent-ils si peu des parcours scolaires en lien avec la culture et l’art ? Qu’est-ce qu’un douanier de la langue, un territoire linguistique ? Pourquoi le livre est-il sacré en France ?
Mahir Guven revient sur son parcours dans Rien de personnel, une exploration intime limpide, non dénuée d’humour et habitée d’un profond humanisme.
Crédit photo : Patrice Normand
Jours de présence : vendredi après-midi, samedi et dimanche
Maïa Brami est écrivaine et elle dirige des ateliers d’écriture, notamment au MAHJ et à la BPI. Elle ne se limite à aucun genre littéraire et à aucun public. Sa langue est son champ d’exploration, qu’elle fait résonner avec les autres arts. Citons entre autres Sur un sentier recouvert, l’un de ses récitatifs pour comédien et chambristes créé au Festival de Lucerne en 2017, enregistré pour le label ECM en 2021. L’enfance et la femme restent au coeur de son travail, sous-tendu par les questions de maternité et de PMA : L’inhabitée (L’Amandier, 2015), Paula Becker, la Peinture faite femme, (L’Amandier, 2016), Tout va bien se passer (La feuille de thé, 2019), créé à Paris, au théâtre de la Reine Blanche en 2018. Lauréate de plusieurs Bourses et Résidences littéraires, elle a publié plus d’une vingtaine de livres pour petits et grands traduits dans différents pays, notamment Vis ta vie Nina (Grasset Jeunesse), Prix Chronos 2002, Norma (Folie d’encre), Prix du Festival du Premier Roman 2007, réédité aux Editions d’Avallon en 2020 et Toute à Vous (Thierry Magnier, 2020).
Derniers ouvrages parus : L’Attente (HongFei Cultures, 2021), De l’Attente et après (Unicité, 2021) La Terre est mon amie (Saltimbanque, 2022)
Jours de présence : vendredi et samedi Annule sa venue
Passionné de dessin depuis qu’il est tout petit, Mandar griffonnait sans cesse dans les marges de ses cahiers. L’un de ses sujets de prédilection : les dinosaures, qui le passionnent toujours aujourd’hui.
À l’université, il étudie les langues (tout en continuant à dessiner autour de ses notes de cours) et s’intéresse à la traduction et à l’édition.
Il se lance ensuite dans l’illustration jeunesse et fait vivre, d’un coup de crayon, un monde imaginaire peuplé de petits animaux facétieux (ragondins, souris et… dinosaures !). Il aime également dessiner de façon plus réaliste et réalise de nombreux portraits.
En même temps, il imagine un petit chat à la fois drôle et attachant, qui rêve d’être le plus grand et le plus fort. Chaboom est né et vit des aventures de pirate et de chevalier !
Le Chevalier Chaboom est à présent l’heureux propriétaire du château de Moursticoët. Seul souci : le château est en ruines ! Et il n’y a plus d’argent dans les caisses pour payer la reconstruction.
De retour à Moursticoët, Corwin fait une annonce surprenante à Chaboom : bientôt aura lieu le tournoi organisé par le puissant Roiseau. Le vainqueur obtiendra un prix qui a de quoi en motiver plus d’un : le trésor du Roiseau lui-même est en jeu !
De multiples champions vont relever le défi, dont l’énigmatique Géant des Marais et le chevalier Pico, chasseur de dragons. Chaboom sera-t-il de taille à remporter le tournoi ?
Spécialisée dans la couverture de romans, Manon collabore avec de nombreuses maisons d’édition, créant des chartes de collection, des éditions collectors de grands classiques ou habillant des livres de poche. Son style, minimaliste dans le choix des couleurs et riche dans le travail de lettrage, puise toujours dans la symbolique des récits qu’elle illustre. En parallèle, son goût pour les lettrines enluminées l’a progressivement amenée à développer des illustrations décoratives et des motifs végétaux qui trouvent aujourd’hui leur épanouissement dans son premier album jeunesse.
Oryx, girolle, régalec, saguaro, kelp…Devinez, cherchez et trouvez à quelles espèces animales ou végétales appartiennent ces noms insolites et merveilleux, et dans quel biotope ils vivent. Une plongée onirique au coeur de 16 écosystèmes, de la jungle au lagon, des abysses au verger, en passant par la ville et la montagne… pour découvrir plus de 90 espèces végétales et animales tout en s’amusant.
Manon Fargetton n’aime pas les biographies. Elle s’y sent à l’étroit. Ce que l’on sait d’elle : elle est née en 1987, a grandi à Saint-Malo et vit à Paris. Elle publie son premier roman à dix-huit
ans, enchaîne avec une vingtaine de livres et de nombreux prix littéraires.
Aujourd’hui romancière à plein temps, elle a exercé durant dix ans le métier de régisseuse lumière au théâtre. Elle aime la musique, la mer, le surf, les coquelicots, les chaussettes colorées, lire dans son lit l’hiver, lire dans son hamac l’été, voyager seule, rencontrer des compagnons en chemin, revenir, et aborder, lorsqu’elle écrit, des univers chaque fois différents. Le très grand câlin est son premier album.
Jours de présence : vendredi après-midi, samedi et dimanche
Manon Wiertlewski a 25 ans et a publié 5 livres. Elle a achevé l’écriture de son tout premier roman à 10 ans puis il a été publié six ans plus tard. Elle vient d’être lauréate du trophée « Avenir de Vendée 2023 » décernée par la Jeune Chambre Économique de Vendée. Par ailleurs, elle est diplômée d’un master recherches universitaires en littérature et linguistique anglaise. Après avoir travaillé dans plusieurs secteurs (touristique, éducatif, et éditorial), elle a monté sa micro-entreprise « Manon Vendée Cours » et dispense ainsi des cours de français, anglais et méthodologie pour adolescents et adultes en France, Guyane, Amérique et Espagne. Elle fait également du rattrapage scolaire, toutes matières confondues, jusqu’à la terminale pour les collégiens et lycéens français.
Lila, Héra et David sont trois jeunes adultes parisiens issus de milieux sociaux différents : Lila, de la classe ouvrière, David, de la classe moyenne, et Héra, de l’aristocratie. À première vue, rien ne les relie. Pourtant, leurs vies vont s’enchevêtrer de manière étonnante, et ils vont tous devoir s’affranchir de leur milieu social s’ils veulent trouver le bonheur. La question est : jusqu’où iront-ils ?
Né en 1966, Marc Citti est acteur, dramaturge, auteur, compositeur et interprète. Il a notamment travaillé sous la direction de Patrice Chéreau et Jacques Audiard. Il est l’auteur de Les Enfants de Chéreau (Actes Sud, 2015).
Au coin de la cheminée, les rêves s’éveillent et l’esprit vagabonde au fil des histoires. Nostalgie de l’enfance, du temps passé, des bonheurs d’autrefois.
Chronique d’une vie simple où le merveilleux et le surnaturel se racontent en famille, entre amis, la veillée conclut heureusement la journée de labeur.
À la lueur de l’âtre, elle allège les cœurs et réconcilie les âmes, juste avant la prière et le repos mérité.
Marc Jacquet est un auteur de romans de Gétigné. Correspondant de presse pendant 22 ans, il a fondé sa propre maison d’édition pour se lancer dans une nouvelle aventure, avec la publication de son premier roman et d’autres récits qui portent des valeurs humaines et une ouverture d’esprit.
Et s’il existait quelque chose qui nous entoure ? Un fleur a changé ma vision de la vie et de l’amour. Je ne suis pas devenu fou en épousant cette fleur, je suis devenu moi-même. Je suis Paul, J’ai 75 ans et parce que j’ai découvert un incroyable secret, je sais désormais qu’il y a une vie après la vie !
Marc Jacquet est un romancier français vivant à Gétigné, au sud de Nantes, dans la région du vignoble nantais. Correspondant de presse pendant 22 ans, en parallèle de son travail dans le domaine de l’industrie agroalimentaire, il a fondé sa propre maison d’édition Les éditions du bateau vert et blanc en 2021, c’est pour se lancer dans une nouvelle aventure, avec la publication de son premier roman et d’autres récits.
Un amour, un enfant, Un choix. Un premier roman poignant et direct. Ce qu’il restera de nous est à la fois un livre qui invite à l’ouverture d’esprit et une romance qui aborde la question de l’avortement. Comment surmonter cette épreuve, l’accepter et parvenir à vivre avec ?
Après avoir passé six ans à la Croix-Rouge et dirigé un cabinet d’architectes, Marc Levy publie Et si c’était vrai… aux Éditions Robert Laffont en 2000. Ce premier roman connaît un succès immédiat en France ainsi qu’à l’étranger, et est adapté au cinéma en 2005 par Dreamworks.
Marc Levy a écrit 19 romans, et il est traduit en 49 langues. Avec plus de 40 millions d’exemplaires vendus, il est l’écrivain français le plus lu dans le monde. Marc Levy vit à New York.