Bernard Minier, reconnu pour ses thrillers captivants et ses intrigues palpitantes, s’impose depuis plusieurs années comme l’une des voix majeures du roman noir français. Son premier roman, Glacé, paru en 2011, est unanimement plébiscité par le public et la critique. Cet ouvrage mettant en scène le commandant Servaz, devenu un personnage emblématique de l’auteur, remporte le prix du Festival de Cognac et est adapté en série télévisée.
Mêlant suspense, tension psychologique et intrigue policière, les romans de Bernard Minier sont aujourd’hui traduits dans de nombreuses langues et captivent des lecteurs du monde entier. En dix ans, il a vendu plus de 6 millions d’ouvrages, faisant de Bernard Minier l’un des auteurs les plus lus dans le pays. Son dernier roman Les Effacées est paru en 2024 aux Éditions XO et les droits de son roman Lucia ont été acquis pour une prochaine adaptation en série télévisée.
Camille Nicolazzi a obtenu son diplôme d’illustration il y a 4 ans. Elle a illustré « Toutes les larmes du Nil », sur un texte de Pog, ainsi que « Le très grand lion et la toute petite souris », de France Quatromme (éditions Bilboquet). Elle vit et travaille en région nantaise.
Après des études de lettres et de sciences politiques, Angela Léry a exercé le métier de chargée de communication chez GulfStream Editeur et a également été libraire. Son + écolo : sa maison est équipée de toilettes sèches !
Un parcours littéraire fort semblable à celui d’Angela et neuf ans passés aux éditions Fleurus et Mango Jeunesse, voici comment la fibre d’éditrice de Sarah Hamon s’est exprimée ! Son + écolo : elle fabrique elle-même ses produits ménagers et cosmétiques.
Laetitia Payen est maman de deux enfants dont un bipolaire diagnostiqué à 5 ans, et présidente de l’association Bicycle, qui aide les familles d’enfants et d’adolescents souffrant de troubles de l’humeur.
Le tabou des enfants bipolaires
Le pire, c’était le sentiment d’être pris au piège. La nounou n’en pouvait plus, les amis n’en pouvaient plus, nos parents n’en pouvaient plus, sa sœur n’en pouvait plus. Nous vivions en prison, avec « un monstre ». On se disait bien qu’il y avait une explication. Mais laquelle ? En attendant, on subissait. Les conseils, on les avait tous suivis. Rien ne semblait avoir de prise sur Stan. Il n’avait que cinq ans. Il nous détruisait et semblait très malheureux.
Ce livre s’adresse à tous les parents désemparés qui ont tout essayé, qui ont cherché, consulté, sans trouver de solution. Il ne donne pas un diagnostic, mais une piste à creuser, trop souvent exclue d’emblée en France : et s’il était bipolaire ?
Laura El Makki est l’autrice de plusieurs biographies (Henry David Thoreau et H. G. Wells, éd. Gallimard ; Les soeurs Brontë, la force d’exister, éd. Tallandier).
Productrice de radio et de podcasts, elle a notamment dirigé les séries Un été avec Proust (2013) et Un été avec Victor Hugo (2015) sur France Inter, adaptées en livres aux Éditions des Équateurs. Combien de lunes est son premier roman.
Sommes-nous capables de nous reconnaître dans la nuit ?
Un matin comme un autre, le soleil ne se lève pas. Les bêtes disparaissent. Les voitures et les téléphones cessent de fonctionner. Et c’est tout un village – le monde, peut-être – qui est plongé dans le noir.
La jeune Anna, qui vient de connaître l’amour, Ethel, qui a perdu depuis longtemps le fil de sa vie, Josselin, qu’un accident a rendu aussi monstrueux qu’hostile, et le petit Gautier, à l’imagination admirable, cherchent à vivre dans cette nuit souveraine. Une femme étrange, vivant en retrait du village, est vite soupçonnée d’avoir jeté un sort au ciel et devient l’objet de toutes les obsessions.
Colossale, éblouissante, la lune seule les éclaire tous, désarmés et tâtonnants. Elle les guide et peu à peu les transforme, remettant tout en jeu : leurs choix passés et leurs désirs enfouis. Et si, loin d’être la fin d’un monde, cette nuit était le début d’un autre ?
Laura Nsafou, écrivaine et blogueuse afro féministe, aborde sur son blog Mrs Roots les questions relatives à l’afro féminisme en France et la visibilité des littératures afro. De la création de sa plateforme mrsroots.fr à l’animation de plusieurs projets culturels (ateliers d’écriture, rencontres, ateliers jeunesse, etc), elle s’intéresse au manque de représentativité de la société dans la littérature française. Elle est également autrice de plusieurs albums jeunesses, dont l’album à succès Comme un million de papillons noirs, publié aux Editions Cambourakis ; d’un album audio de contes Les Lumineuses, sorti en février 2021 aux éditions Lunii, aujourd’hui traduit en espagnol, en anglais et en italien. En septembre 2021, elle signe une trilogie afro dystopique Young Adult, NOS JOURS BRÛLÉS aux éditions Albin Michel, et scénarise un premier roman graphique, Amours Croisées aux éditions Marabout. En 2022, son album Fadya et le chant de la rivière est traduit en anglais par les éditions du musée Tate de Londres, et devient le premier titre français de l’agence littéraire Curtis Brown à rejoindre un catalogue anglais.
À l’occasion de la commémoration des dix ans de la disparition de sa soeur Licia, Rachel, 25 ans, retrouve Joaquim. Ils se redécouvrent adultes au-delà du drame qui les a séparés lorsqu’ils étaient enfants, et trouvent dans leurs blessures, la sensation d’être vus pour ce qu’ils sont, et ce, pour la première fois.
Plein de sensibilité et de nuances, ce récit questionne le rapport au deuil et la construction de soi dans un cadre familial en prise avec les attentes de l’entourage et de ses traditions.
Diplômée de l’École Pivaut, Laura Raynaud s’est toujours exprimée à travers le dessin. Elle aime explorer son monde intérieur et l’enrichir, dessiner et peindre la poésie et les ambiances lumineuses. Laura se laisse la liberté d’explorer divers styles graphiques, qu’ils soient enfantins ou adultes, refusant de se laisser enfermer dans une case. Après avoir illustré le roman jeunesse Sacrée trottinette ! de Louison Nielman aux Éditions ZTL. ZéTooLu, elle a poursuivi son engagement pour la lecture confortable en illustrant Hansel et Gretel des frères Grimm et Krampouès de Bernard Peigné.
Hansel et Gretel sont abandonnés en forêt par leurs parents. Seront-ils suffisamment malins pour retrouver le chemin de la maison et pour échapper à la sorcière qui souhaite les dévorer ? Bonus recette en fin de livre
Martin, un soir en rentrant de l’école, découvre que sa trottinette est cassée. Bouleversé, il est persuadé que c’est son petit frère, Nino, qui est le coupable. Mais est-il vraiment responsable de l’état du jouet ?
« Comme un conte pour enfants, l’histoire de Krampouès commence par : «il était une fois…». Très vite pourtant, les personnages Charles et Krampouès quittent les sentiers prévisibles du merveilleux. Ils empruntent un chemin inquiétant qui traverse une forêt sombre et, tout en les menant dans des lieux étranges, les fera réfléchir sur le monde qui les entoure et sur le potentiel insoupçonné de la littérature. De même que le lecteur, ils ne sont pas au bout de leurs surprises… » Lorsque Charles Demain, dentiste perdu dans une forêt, aborde le monstre Krampouès pour lui demander son chemin, ce dernier semble plus enclin à le manger qu’à l’aider. Charles Demain parviendra-t-il, en racontant son histoire, à le convaincre de lui laisser la vie sauve ? Magie, monde parallèle et secrets de famille alimentent l’incroyable récit.
Née en 1987, Laura Trompette écrit depuis son enfance et cumule actuellement plus de 200 000 lectures sur Wattpad.
Auteure de sept romans, elle a notamment écrit la série Ladies’ Taste (Hugo et Cie), C’est toi le chat ainsi que le diptyque Hello et Asphyxie (Pygmalion).
Normalienne et agrégée de lettres classiques, Laure de Chantal est l’auteur de plusieurs ouvrages, notamment À la table des Anciens, Séduire comme un dieu, Celebriti (Les Belles Lettres) et Le Jardin des dieux (Flammarion).
Les Grecs et les Romains ont-ils inventé le féminisme ?
Si les sociétés antiques peuvent être qualifiées de machistes, leur mythologie nous montre tout le contraire. Elle nous montre de savantes magiciennes, comme Médée ou Circé, de sages gouvernantes, comme Pénélope, d’irréductibles guerrières comme les Amazones et des déesses, tant de déesses, les Parques, les Muses, Aphrodite, Athéna, toutes porteuses de civilisation et de création. Non seulement la mythologie gréco-romaine nous offre des figures de femmes profondément puissantes, mais elle a donné des traits féminins aux plus belles forces de la civilisation. Dans la mythologie, le meilleur de l’Homme est une femme.
Actuels et éternels, voire prémonitoires, les mythes racontés dans cet ouvrage nous invitent à penser la place des femmes aujourd’hui et nous donne plus que jamais envie de se battre pour elle. Contre toute attente, le lecteur découvrira que les femmes de la mythologie sont parfois bien plus libres que celles d’aujourd’hui et se délectera de la beauté et de la fécondité de leurs histoires. Venues de la nuit des temps, ces figures féminines, une fois dépoussiérées des clichés, nous offrent autant de modèles merveilleux, ambitieux, fondamentaux et riches, motifs de rêveries et de réflexions, en tout cas à garder en mémoire et à transmettre aux femmes et aux hommes de demain. Soyons humanistes, c’est-à-dire féministes.
Après l’immense succès de La Délicatesse du homard et La Mélancolie du kangourou, Laure Manel a quitté l’enseignement pour l’écriture. Portraitiste tout en finesse et subtile analyste du couple et de la famille sur lesquels elle pose un regard aussi tendre qu’acéré, la romancière n’a pas son pareil pour nous livrer de magnifiques réflexions sur l’existence. Après Ce que disent les silences, elle se penche avec subtilité dans son onzième roman sur les conséquences qu’un drame peut avoir sur la vie d’une famille en apparence stable et heureuse.
Ils sont cinq membres d’une même famille. Ils sont fille, fils, mari, mère et sœur de Catherine.
C’est une famille comme les autres. C’était une famille (comme les autres)… jusqu’à ce que l’arrestation de Catherine bouleverse tout.
Crédit photo : Pauline Darley
Jours de présence : vendredi après-midi, samedi et dimanche
2023
Après l’immense succès de La Délicatesse du homard et La Mélancolie du kangourou, LAURE MANEL a quitté l’enseignement pour l’écriture. Portraitiste tout en finesse et subtile analyste du couple et de la famille sur lesquels elle pose un regard aussi tendre qu’acéré, la romancière n’a pas son pareil pour nous livrer de magnifiques réflexions sur l’existence ainsi qu’en attestent L’Ivresse des libellules, L’Embarras du choix, Histoires d’@ ou encore Le Sourire des fées, la suite bouleversante de La Mélancolie du kangourou. Après l’ironie douce-amère du Craquant de la nougatine qui confrontait le sens du devoir à la passion, et Les Dominos de la vie dans lequel elle livre un récit puissant et actuel, aux frontières de la narration et de l’autobiographie, elle se penche cette fois, dans son dixième roman, sur un secret de famille et la complexité des relations.
À la mort de son père avec lequel elle avait coupé les ponts, Adèle découvre chez lui des lettres, dont l’une lui révèle l’existence d’un secret autour de la mort de sa mère alors qu’elle n’avait que quatre ans.
Mue par un irrépressible besoin de vérité, Adèle décide de se rendre là où elle trouvera certainement des réponses, l’île sur laquelle elle est née et qu’elle a quittée à l’âge de six ans : Ouessant. Elle qui s’était pourtant juré de ne jamais y remettre un pied…
D’entrevues en rencontres, Adèle va découvrir autant l’histoire de l’île que celle de sa famille… et se rendre compte qu’un secret en cache peut-être un autre…
Jours de présence : Vendredi après-midi, samedi et dimanche
Crédit photo :
2022
Après l’immense succès de La Délicatesse du homard et La Mélancolie du kangourou, LAURE MANEL a quitté l’enseignement pour l’écriture. Portraitiste tout en finesse et subtile analyste du couple et de la famille sur lesquels elle pose un regard aussi tendre qu’acéré, la romancière n’a pas son pareil pour nous livrer de magnifiques réflexions sur l’existence ainsi qu’en attestent L’Ivresse des libellules, L’Embarras du choix, Histoires d’@ ou encore Le Sourire des fées, la suite bouleversante de La Mélancolie du kangourou. Après l’ironie douce-amère du Craquant de la nougatine qui confrontait le sens du devoir à la passion, elle livre avec Les Dominos de la vie un récit puissant et actuel qui joue avec les frontières de la narration et de l’autobiographie.
En apprenant qu’elle est enfin guérie d’une tumeur invasive consécutive à des violences obstétricales, une jeune trentenaire voit sa vie basculer. Qui pourrait penser qu’une si bonne nouvelle puisse provoquer un tel choc ? Comment croire vraiment à la guérison ? Comment apprivoiser la peur de la rechute ? Et surtout, que faire de ce formidable appétit de vivre, de cette quête de sens et de « plus » qui envahit quand on se sait passé à côté du pire ? Pour Amélie, architecte d’intérieur mariée avec son amour de lycée et heureuse maman d’un petit garçon de quatre ans, la vie paraît soudain morne et sans saveur. Bien décidée à embrasser pleinement cette deuxième vie et ne plus laisser la peur, la raison et les doutes gouverner son existence, la jeune femme ose pour la première fois… De petits en grands changements, Amélie se réinventera-t-elle entièrement et trouvera-t-elle le bonheur auquel elle tend ?
Crédit photo : Pauline Danlay
Jours de présence : vendredi après-midi, samedi et dimanche
Après avoir remporté le Mazarine Book Day en 2017, Laure Rollier publie deux premiers romans : « Hâte-toi de vivre! », Mazarine, 2018, Le Livre de Poche, 2019 et « Nous étions merveilleuses », Mazarine, 2018, Le Livre de Poche, 2021. La romancière agenaise présente aujourd’hui « Le disparu de Nantucket », son premier polar familial, tout en continuant à travailler sur divers projets musicaux et albums destinés à la jeunesse.
Un huis clos haletant où la fiction se mélange à la réalité et dans lequel les mystères du passé viennent rattraper le présent pour le bouleverser à tout jamais.
Comme chaque année, Valentine, brillante éditrice, vient passer les vacances d’hiver dans le domaine familial, niché au coeur d’un petit village de montagne.
Là-bas, un manuscrit anonyme a été déposé à son attention. Valentine découvre avec effroi qu’elle est l’héroïne de ce thriller machiavélique dans lequel elle est assassinée à la fin. À Montuis, petit bourg d’un millier d’âmes où tout le monde se connaît, des secrets enfouis depuis plus de vingt ans vont alors refaire surface. Qui a écrit ce roman ? Valentine doit-elle craindre pour sa vie ? Que s’est-il réellement passé « De l’autre côté du lac » ?
Jours de présence : Vendredi, samedi et dimanche matin
Laura Trompette écrit depuis l’enfance et est aujourd’hui romancière et scénariste. Elle a publié huit romans, dont le très remarqué C’est toi le chat et le thriller psychologique Asphyxie, explorant avec succès différents genres littéraires. Son oeuvre est traversée par les thématiques qui lui sont chères : l’indéfectible lien entre l’homme et l’animal, l’écologie, mais aussi l’exploration des relations humaines, le deuil et la résilience. En 2021, son huitième roman, La Révérence de l’éléphant, a été finaliste du Prix littéraire 30 millions d’amis, plus connu sous le nom de Prix Goncourt des animaux. Huit battements d’ailes est son neuvième roman.
Elles sont huit. Parmi elles, une conductrice de poids lourd sur les routes de France, la porte-parole de la Maison Blanche, une prisonnière en Chine ou encore une orpheline en Inde. A priori, tout les sépare. Et pourtant, en l’espace de 24 heures, ce 24 avril 2020 où le monde semble s’être mis à l’arrêt, leurs destins vont se rejoindre et leurs vies irrémédiablement se lier.
Un hymne à la sororité qui traverse les âges et les frontières.
Jours de présence : vendredi après-midi, samedi et dimanche
Depuis l’âge de 6 ans Laurence Erwin habite dans l’Ouest de la France, pas très loin de Vouvant où, dit-on, vivait la fée Mélusine. C’est sans doute en raison de ce voisinage qu’elle s’est intéressée très tôt aux récits fantastiques et aux mondes imaginaires.
Elle est scénariste de bandes dessinées et autrice d’albums et de romans jeunesse, avec la trilogie fantastique Le Monde d’Elven et la série Myrta.
Pendant ses études d’anglais, elle a découvert l’histoire de l’Écosse et s’est passionnée pour ce pays où elle a séjourné à plusieurs reprises.
Cela lui a inspiré son premier roman pour jeunes adultes Un été en Écosse. Elle poursuit dans le même genre avec la série fantastique en deux tomes Axel Valker. Elle a aussi signé plusieurs romans feel-good.
Aujourd’hui, elle partage son temps entre l’écriture et la direction de Au Loup Éditions, la maison d’édition qu’elle a créée en 2014.
Depuis des années Louise passe ses vacances au camping de l’Île d’Or à Amboise, à côté des plus beaux châteaux de la Loire. Mais, cette année, Gabriel, son cousin écossais qu’elle rencontre pour la première fois, vient la rejoindre.
Dans une vieille brocante, ils vont trouver une boîte contenant des pièces métalliques très anciennes. Ils découvriront qu’il s’agit en fait d’un chat automate aux pouvoirs étranges conçu jadis par Léonard de Vinci. Avec lui, les deux cousins, et leur ami Hugo, vont être projetés dans le passé, au château du Clos Lucé… au temps de François Ier et Léonard de Vinci, la Renaissance.
Malgré les dangers, un seul choix s’offre à eux : rester avec le chat jusqu’à ce qu’il les ramène dans le présent. Sauf que les intrigues à la cour sont nombreuses et le chat est l’objet de toutes les convoitises !
Laurence Pain, l’auteure de ce livre est aussi la personne qui, avec son mari, a accueilli Mehdy en Vendée, chez elle. Alors enseignante, elle est connue pour son engagement personnel et professionnel auprès d’élèves en difficultés.
L’auteure retrace l’itinéraire d’un jeune migrant, Mehdy dans le roman, qui a été obligé de fuir son pays d’origine, le Bangladesh, pour des raisons de survie. Pris en charge par l’Etat français qui essaie d’apporter une protection aux jeunes mineurs, Mehdy ne peut réellement s’adapter et renaître que grâce à une chaîne de solidarités : enseignants, amis, professionnels engagés. Tous les personnages, Mehdy et ses compagnons, existent réellement sous d’autres noms. En faisant preuve de courage et de détermination, Mehdy pourra surmonter son exil torcé, vivre au mieux son intégration trançaise, pour se glisser dans un nouveau monde, une nouvelle société, une nouvelle façon de penser. Une histoire vraie de solidarité. En Vendée.