Bernard Minier, reconnu pour ses thrillers captivants et ses intrigues palpitantes, s’impose depuis plusieurs années comme l’une des voix majeures du roman noir français. Son premier roman, Glacé, paru en 2011, est unanimement plébiscité par le public et la critique. Cet ouvrage mettant en scène le commandant Servaz, devenu un personnage emblématique de l’auteur, remporte le prix du Festival de Cognac et est adapté en série télévisée.
Mêlant suspense, tension psychologique et intrigue policière, les romans de Bernard Minier sont aujourd’hui traduits dans de nombreuses langues et captivent des lecteurs du monde entier. En dix ans, il a vendu plus de 6 millions d’ouvrages, faisant de Bernard Minier l’un des auteurs les plus lus dans le pays. Son dernier roman Les Effacées est paru en 2024 aux Éditions XO et les droits de son roman Lucia ont été acquis pour une prochaine adaptation en série télévisée.
Julien Sandrel est né en 1980 dans le sud de la France et vit à Paris. Son premier roman, La Chambre des merveilles, a connu un succès fulgurant, a été traduit dans vingt-six pays, adapté au théâtre et au cinéma, et a obtenu plusieurs prix littéraires. Ses romans suivants, La Vie qui m’attendait, Les Étincelles, Vers le soleil et Merci, Grazie, Thank You ont tous été des best-sellers.
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Jours de présence : samedi et dimanche matin
2023
Julien Sandrel est né en 1980 dans le sud de la France, et vit à Paris De formation scientifique, après quinze ans en entreprise, il décide de se consacrer à l’écriture Son premier roman La Chambre des merveilles a connu un succès fulgurant et a obtenu plusieurs prix littéraires, dont le Prix Méditerranée des lycéens 2019 Traduit dans 26 pays, il est adapté au cinéma par la réalisatrice Lisa Azuelos et l’actrice Alexandra Lamy Le film
sortira en salle le 15 mars 2023 Une adaptation théâtrale se joue actuellement au Théâtre des Variétés et un e adaptation en bande dessinée est également sortie Ses romans suivants, La vie qui m’attendait Les Étincelles Vers le soleil et Merci, Grazie, Thank you ont tous été des best sellers.
Dans l’entourage d’Anna, tout le monde le sait à 6 ans, sur l’estrade du spectacle de fin d’année, elle a clamé qu’elle voulait être astronaute Quarante ans plus tard cependant, Anna est bien loin des étoiles elle est médecin généraliste, et sa vie est trop sage, arrêtée
net par un très grand chagrin Mais ce soir, pour son anniversaire, ses proches lui ont réservé une surprise ils l’ont inscrite en grand secret au concours de l’Agence spatiale européenne, qui recrute ses futurs astronautes Bien sûr, Anna leur dit qu’ils sont fous, remercie, refuse mais le piège affectueux est bien tendu un jour, Anna a promis à son plus jeune fils, Michael, qui se battait contre une maladie grave, de tout faire pour réaliser ce rêve de partir dans l’espace
Anna ne peut renier son serment, et se lance à corps perdu dans l’aventure Lors de la première sélection, elle rencontre un petit groupe de candidats qui a décidé de s’entraider Ils se sont baptisés «les Extraordinaires » Anna sait bien que ses chances sont minces, mais épaulée par ces amoureux de l’espace aussi attachants que courageux et drôles, elle n’y peut rien elle se met à croire à l’impossible
Jours de présence : Samedi et dimanche matin
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2022
Julien Sandrel est né en 1980 dans le sud de la France, et vit à Paris.
Après l’immense succès de La Chambre des merveilles, phénomène mondial vendu dans plus de 23 pays et en cours d’adaptation au cinéma, il revient avec un second roman, La vie qui m’attendait, tout aussi bouleversant.
La fantasque Gina a 85 ans et vit à Paris. Elle mène une existence modeste et remplie de petits bonheurs, dont un plaisir immuable : chaque semaine, elle joue vingt euros de sa maigre retraire aux machines à sous. C’est sa fenêtre de liberté, personne ne le sait, ni sa petite-fille Chloé, 24 ans, qui est revenue vivre avec elle, très éprouvée par la mort de sa mère. Ni son inséparable amie Olga, qui habite l’appartement au-dessus du sien.
Lorsqu’un beau jour de juin, Gina gagne un million d’euros, elle sait tout de suite quoi faire de cette somme extravagante. Elle va partir sur les traces de son passé, afin de partager cet argent avec chacune des personnes qui ont modifié le cours de son destin. Sans rien dire à personne, elle prend alors la route et s’envole pour un voyage dans le temps…
De New-York à Paris, en passant par la Floride et les marais salants de Camargue, Gina, bientôt rejointe par Chloé et Olga, se lancent dans un road trip riche en émotions fortes, rythmé par les secrets de la vieille dame t les soubresauts de l’Histoire de l’immigration italienne…
Juliette Arnaud est comédienne (et a connu le succès avec la pièce Arrête de pleurer Pénélope !), dramaturge et chroniqueuse sur France Inter, dans l’émission Par Jupiter.
Par ailleurs, elle danse comme une Allemande, entretient une relation névrotique avec ses cheveux et s’est fait tatouer en souvenir de son chien, Gros. « Comment t’écrire adieu » est son premier roman.
Lorsque son emploi du temps de maman-jedi-qui-travaille le lui permet, Juliette Chaux-Mazé partage son temps entre l’illustration et l’écriture. Elle est l’autrice d’une vingtaine d’ouvrages, dont deux trilogies semi-graphiques. Avec sa sensibilité, Juliette sait parler aussi bien aux enfants qu’aux adultes, et nous aide à changer notre regard sur le monde.
La jeune Ridha, dix ans, brûle de prouver sa valeur. Pour cela elle va partir en quête de la mythique Harpe d’Or pour devenir la première Glorieuse Héroïne de son peuple.
Entre rencontres improbables, dangers et batailles épiques, les choses ne vont pas vraiment se passer comme prévu.
Née à Hyogo, au Japon. Après ses études à Musashino Art University à Tokyo, elle travaille comme architecte jusqu’en 1997 et se tourne ensuite vers l’illustration. Aujourd’hui, elle est graphiste et autrice-illustratrice pour la jeunesse.
Elle vit à Paris depuis 2005.
Un nouvel album plein de fantaisie et de délicatesse. Cette fois, c’est un pigeon voyageur qui sillonne la forêt à la rencontre de ses habitants. Au petit lecteur de deviner à quel animal est destiné le précieux courrier… Un album tout en douceur, qui offre une promenade charmante à la rencontre des habitants des sous-bois.
Jours de présence : vendredi après-midi, samedi et dimanche
Autrice Luçonnaise, Ka Dracis se consacre aussi bien à l’écriture de romans qu’à la production de bandes-dessinées. Issue d’un parcours atypique et cumulant les formations en littératures étrangères, en pédagogie et en narration graphique, Ka Dracis forme des talents de tout âge dans son atelier à Luçon. Fantasy urbaine et littérature adolescente sont les piliers d’Altéra, sa première trilogie.
Originaire d’un quartier défavorisé de la banlieue de Lyon, Kamel Benaouda grandit au sein d’une famille de huit enfants. Il suit des études de Lettres modernes tout en écrivant pour le plaisir des nouvelles et des romans. Âgé de 36 ans, il enseigne aujourd’hui le français dans un lycée près d’Angers, où il vit avec sa compagne et leurs quatre filles. Lauréat de la troisième édition du Concours du premier roman jeunesse, il a écrit «Norman n’a pas de super-pouvoir» tard le soir et tôt le matin, une histoire longtemps méditée grâce aux insomnies imposées par sa petite dernière.
Dans un univers à la Blade Runner, un roman dystopique efficace et attachant.
LX18, 16 ans, est un altéré. Un soldat redoutable qui a subi à la naissance un traitement génétique et hormonal afin de ne ressentir aucune émotion. Lui et ses semblables ne connaissent que la guerre. Jusqu’au jour où les négociations de paix avec la nation des humains aboutissent. Devenus inutiles, les altérés sont envoyés dans différents lycées du pays afin qu’ils s’intègrent à la population civile. LX18 se trouve parachuté en 2nde 5 au lycée Marie Shelley avec Amir, Philomène et les autres…
Karin Hann, doctorante en lettres, est notamment l’auteur des romans historiques Althéa ou la Colère d’un roi (Robert Laffont, 2010), Les Lys pourpres (2012), Les Venins de la Cour (2013), Raison souveraine (2015), Reine des Lumières (2017) et L’Audace de la liberté (2022) aux Éditions du Rocher.
1559. Le roi HenriII vient de succomber à une blessure infligée au cours d’un tournoi. Son fils François, âgé de quinze ans et marié à Marie Stuart, lui succède. Son règne durera moins d’une année et demie, mais sous la férule du clan des Guises, qu’il laisse gouverner en son nom, s’annoncent les guerres de Religion.
Quand il décède, cédant la place à son frère Charles encore mineur, Catherine de Médicis, leur mère, assure alors la régence et ne quittera plus jamais le pouvoir, continuant de se dévouer aux affaires du royaume lorsque Henri, qu’elle a toujours préféré, monte à son tour sur le trône. Cette visionnaire comprend pourtant qu’il sera le dernier Valois et qu’Henri de Navarre ceindra bientôt la couronne pour faire naître la dynastie des Bourbons. Dans l’entourage brillant et cultivé de la souveraine a grandi Isia, sa filleule. Ravissante et bien née, celle-ci possède les atouts qui la destinent à une union avantageuse. Mais son amour de la liberté et sa croisade pour l’égalité des sexes en décideront autrement…
Ce nouveau roman richement documenté fait suite à celui des Lys pourpres. Sous la plume exercée de Karin Hann s’anime ce fascinant XVIesiècle où, entre exubérance et fureur, les passions s’exacerbent parfois jusqu’au crime, dans une perpétuelle célébration des arts et de la beauté.
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Jours de présence : samedi après-midi et dimanche
2022
Karin Hann, doctorante en lettres, est notamment l’auteur des romans historiques Althéa ou la Colère d’un roi (Robert Laffont, 2010), Les Lys pourpres (2012), Les Venins de la Cour (2013), Raison souveraine (2015) et Reine des Lumières (2017) aux Éditions du Rocher.
Paris, le 3 novembre 1793. Après plusieurs mois de détention et une parodie de procès, Olympe de Gouges, condamnée par le Tribunal révolutionnaire, est la première femme à périr sous la guillotine à la suite de Marie-Antoinette.
Arrivée de sa province natale vingt ans auparavant, cette fille naturelle d’un poète, essayiste et dramaturge élu à l’Académie française, ambitionne d’embrasser la carrière littéraire, en dépit d’une éducation qui ne l’y prépare pas.
Dans l’effervescence de ce siècle des Lumières, tandis que l’on repense la place de l’homme au sein de l’univers, Olympe songe à celle des femmes et plus largement des opprimés. Son instinct politique s’éveille ; sa plume se fait acerbe. Elle devient une pionnière de ce que l’on nommera ultérieurement le féminisme, tout en s’insurgeant contre l’esclavage à travers des pamphlets et des pièces de théâtre.
La Révolution génère un formidable élan d’espoir, l’incitant à se jeter à corps perdu dans la bataille avec un courage et une détermination qui forcent le respect.
Éblouissante en un combat que Karin Hann nous restitue dans un récit alerte et documenté, cette femme au destin romanesque, trop souvent méconnue, nous émeut, nous interroge et nous emporte indéniablement vers un idéal qu’elle aura incarné jusqu’à son dernier souffle : l’audace de la liberté.
Née en Normandie, dans l’Orne, Karine Lebert a été biographe pendant quinze ans, puis journaliste à Paris-Normandie. Elle a notamment publié aux Presses de la Cité Les Demoiselles de Beaune (2017), Les Amants de l’été 44 (2018), sa suite, indépendante, Pour l’amour de Lauren (2019), Les Murmures du lac (2020) et Pour l’honneur des Rochambelles (2021).
Enlacer le ciel et les nuages
Des années 1930 à 2010, entre passé et présent, s’entrecroisent les destins d’Élisa, Audrey et Lilly, qui en plus de leur lien du sang, ont la même passion de leur métier de l’air.
La première, Élisa, qui vit à Étretat, est devenue convoyeuse de l’air avant-guerre quand l’activité n’était pas reconnue. Dans des avions sans confort, la jeune femme est en charge de passagers malades, elle s’envole surtout en Afrique accompagner les expatriés. Après la Seconde Guerre, la mission d’Élisa a été de ramener les déportés en France, moments très éprouvants pour elle et ses compagnes de travail qui découvrent le drame des camps. Jusqu’à sa mort lors d’un crash d’avion, Élisa garde un lien fort avec Alex, photographe anglais avec qui elle a vécu une histoire d’amour intense au fil de ses escales. Jusqu’à ce que son amant disparaisse lors de la guerre d’Indochine… Élisa épousera un Allemand rencontré durant l’Occupation à Étretat. Cette liaison avec Alix va nourrir un secret que sa fille Audrey puis sa petite-fille Lilly, toutes deux hôtesses de l’air (la première dans les années 1970, la seconde dans les années 2000), vont tenter de percer. Elles devront s’envoler jusqu’au Congo pour en avoir la révélation.
Karine Reysset est l’autrice de plusieurs romans, parmi lesquels L’Inattendu (Le Rouergue, 2003), Les Yeux au ciel (L’Olivier, 2011), La Fille sur la photo, L’Etincelle et Trois mois et une jour (Flammarion, 2017.2019 et 2022). Son livre Comme une mère (L’Olivier, 2008) a été adapté en téléfilm en 2011 sous le titre La Fille de l’autre.
Ce roman, c’est l’histoire d’une famille à travers une maison de vacances, une tentative d’épuisement de la vie de cette famille passée dans une résidence secondaire à la mer, sur quarante ans. Cette saga familiale s’organise autour de Barbara, la petite cinquantaine lorsque s’ouvre le roman en 2022 et qu’elle vient au Pouliguen une dernière fois avant qu’on mette en vente la maison de sa grand-mère tant aimée. A partir de là, des souvenirs, des lettres et tout un passé ressuscitent, comme dans un album de famille ou chaque photo serait remplacée par une scène, laissant à chaque Reiss l’occasion d’être raconté. Si les Reiss ont leur part de malheurs, ils ont aussi connu des jours de partage, d’épiphanie et de joie, touché du bout des doigts la grâce et le bonheur, d’une manière qui n’appartient qu’à eux.
Katherine Pancol s’est imposée comme un auteur à succès dès son premier roman (Moi d’abord). Avec la série Les yeux jaunes des crocodiles, La valse lente des tortues et Les écureuils de Central Park sont tristes le lundi, elle est devenue un des plus grands phénomènes d’édition des dix dernières années en France (plus de 6 millions d’exemplaires vendus !) et dans le monde (elle est traduite dans 29 pays dont les Etats-Unis).
Rose est une jeune biologiste. Elle fait des recherches à Paris et à New York sur une luciole, Lamprohiza splendidula, qui semble très prometteuse pour la recherche médicale.
Si elle étudie avec grande maîtrise l’alchimie sexuelle des insectes et leur reproduction, elle se trouve totalement désemparée face à Léo quand elle en tombe amoureuse.
La vie n’est pas comme dans un laboratoire.
Et ce n’est pas sa mère (cachée derrière des lunettes noires) ni sa grand-mère (qui parle à Dieu et à ses doigts de pied) qui vont pouvoir l’aider.
Bed bug ou le désarroi amoureux d’une femme au bord d’un lit.
Kossi Efoui, né au Togo, vit actuellement à Nantes où il se consacre en partie au théâtre. Une magie ordinaire est son sixième roman, après Solo d’un revenant (2008, prix des Cinq Continents de la Francophonie), L’Ombre des choses à venir (2011) et Cantique de l’acacia (2017).
Il y a un moment, dans une vie, où l’écrivain abat ses cartes, pris par une sorte d’urgence. Le déclencheur de ce récit bouleversant, c’est un appel téléphonique d’un frère perdu de vue depuis vingt ans, annonçant que leur mère est au plus mal, à l’hôpital de Lomé. La mère, perdue de vue elle aussi. Celle qui lui a dit, vingt ans plus tôt, en l’embrassant : « Va vivre. Va vivre ailleurs et ne reviens plus ici. » Qui se déplace une bassine sur la hanche, colportant des morceaux de pain, jusqu’au jour où des policiers interceptent son menu commerce, et où il arrive ce qui doit arriver. La mère qui chante continuellement, « pour oublier les choses dures ». Qui l’a porté sur son dos bien au-delà de l’âge habituel, disons jusqu’à quatre ans, prétendant que son petit garçon, le petit Kossi, avait « les os fragiles ». Qui lui a donné, enfin, le goût des parures, des vêtures et des bijoux, transgressant la frontière des sexes. « Plus je vieillis, plus je ressemble à ma mère. » Et cette question : « Pourquoi sommes-nous si pauvres ? »
De ce portrait d’une femme illettrée, mais joyeuse, inspirée et aimante, et d’un monde d’absolu dénuement, surgit une grâce mystérieuse qui se confond avec la genèse d’une vocation d’écrivain.
Kuru est autrice et illustratrice spécialisée en dessin manga. Rédactrice en chef d’un site spécialisé en dessin manga “Mangakoaching”, professeure de dessin auprès d’adultes et d’enfants via son site et son atelier “l’Atelier manga de Kuru” (https://kuru-mbc.com/), experte en matériel de dessin et notamment en feutres à alcool, Kuru met au service des lecteurs une méthode pédagogique simple et de nombreux conseils pour réussir à dessiner des personnages proportionnés et leur apporter une touche personnelle.
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