Bernard Minier, reconnu pour ses thrillers captivants et ses intrigues palpitantes, s’impose depuis plusieurs années comme l’une des voix majeures du roman noir français. Son premier roman, Glacé, paru en 2011, est unanimement plébiscité par le public et la critique. Cet ouvrage mettant en scène le commandant Servaz, devenu un personnage emblématique de l’auteur, remporte le prix du Festival de Cognac et est adapté en série télévisée.
Mêlant suspense, tension psychologique et intrigue policière, les romans de Bernard Minier sont aujourd’hui traduits dans de nombreuses langues et captivent des lecteurs du monde entier. En dix ans, il a vendu plus de 6 millions d’ouvrages, faisant de Bernard Minier l’un des auteurs les plus lus dans le pays. Son dernier roman Les Effacées est paru en 2024 aux Éditions XO et les droits de son roman Lucia ont été acquis pour une prochaine adaptation en série télévisée.
Après plusieurs séjours en Laponie puis dans le Grand Nord canadien, Jocelyne Ollivier-Henry arrive au Groenland en 1979. Coup de foudre! Elle s’installe bientôt dans une cahute rudimentaire à Siorapaluk, au sein d’une communauté Inuit. Seule femme occidentale à demeurer à 78° de latitude Nord, elle rapporte dans cet ouvrage cette expérience unique.
Les pales ralentissent puis s’immobilisent. Le marchepied sort de la carlingue. Les passagers descendent tandis qu’installé à côté d’une chenillette antidéluvienne, tirant un traîneau, Qipisoq le responsable du comptoir s’avance. En peu de temps, courrier et marchandises sont débarqués. Puto et Tukumek m’attendent et me souhaitent la bienvenue. Niviasiak m’accompagne à la cahute que je vais habiter. Me revoilà au Groenland ! Un ouvrage magnifiquement illustré, en forme de conservatoire de la culture inuit, une culture en pleine mutation entre nouvelles technologies et réchauffement climatique…
Au total, une vingtaine d’ouvrages sous son nom, ou sous un pseudonyme. Ses derniers ouvrages sont deux recueils de sa production théâtrale de l’auteur (tome I et II), comédies satiriques, souvent écrites autour d’événements ou de personnages historiques :Voltaire, Napoléon, Fontenelle, Landru, etc… Joël Bonnemaison a aussi pour des personnages connus : Trager pour «L’affaire Trager» ; «Un enfant trop curieux» pour Joseph Joffo (entre autres). Il a en préparation des Lettres de Monsieur de Sévigné.
Le théâtre de Joël Bonnemaison comporte de nombreuses pièces satiriques, dont certaines se déroulent dans un contexte hitorique. Le tome 2 est le dernier livre de ce journaliste et écrivain “poil à gratter”.
Vendéen né à Maillezais, au cœur de la Venise Verte, Il commencera très tôt sa vie professionnelle en travaillant en usine. Tour à tour Educateur, formateur, cadre médico-social, il s’engage dans l’éducation populaire et occupera de nombreuses responsabilités dans ce secteur l’économie sociale et solidaire. Auteur Photographe il réalisera également plus de 40 expositions personnelles. L’heure de la retraite arrivée, il commence à écrire : nouvelles régionales, récits et contes, romans… Son roman sur Marie du marais lui apporte le 1er prix d’honneur en 2016. En 2018, il est élu Président de la maison d’édition associative Vent des Lettres.
Ce dernier opus de la saga Marie du marais, nous emmène en ces terres lointaines du Canada où émigra en 1910 Alexandre le père de Marie. Qu’elle aventure que ces longues années à espérer la venue de sa famille tout en affrontant les neiges et les sécheresses successives !
Enfant des années 70, Joël Legars a très vite la bougeotte. Naissance à Aix-en-Provence, jeunesse dans les Alpes, études artistiques bâclées à Lyon et Grenoble, jeune illustrateur enfin à Paris pour Fleurus Presse, les éditions Hachette et d’autres… pour quitter enfin la capitale la trentaine venue… La bonne ville de Rennes l’inspire pour se tourner vers la BD avec La nuit des cendres ou encoreElvis. Hop ! Déménagement pour Erquy, sympathique port de pêche breton puis retour à Rennes… Il crée avec son compère Marc Lizano une maison d’édition qui porte le nom d’un géant (au sens propre) de la littérature… avant de déménager pour Nantes. Avec cette quiétude retrouvée (il fume la pipe en regardant passer les saisons), il élabore un tas de projets, dessins d’humour, bandes dessinées, illustrations, des projets, somme toute, nécessaires à la bonne marche du monde.
Printemps 1942. Pour Chaïm Soutine, peintre juif russe, Paris est devenue trop risquée. Si l’exil à la campagne s’impose aussi pour sa santé, c’est finalement sa créativité qui en tirera le plus grand bénéfice ! La Gestapo semble loin, Soutine trouve en Marcel, le fils du garde champêtre, un modèle particulièrement inspirant. Le gamin qui restera “l’écolier bleu” endure l’humeur de l’artiste et parvient à lui faire tomber peu à peu le masque de l’ogre…
Originaire de Saint-André-Goule d’Oie (Vendée), l’auteur vit à Etampes. Ingénieur puis chercheur, il conseille aujourd’hui des entreprises de technologie. De famille paysanne, ses parents lui avaient transmis le parlanjhe. Le Bidule est pour lui un retour aux sources.
Le bidule :
Dans le premier récit le narrateur, Joël, raconte à la première personne son enquête sur l’histoire des défunts. Le second est centré sur ces derniers, à savoir le prêtre Felix, Abel et Joline, qui vivent au XVIIIe siècle. Tous ont un point commun : ils ont habité, à un moment donné, le « Bidule », petite maison très ancienne, de la ferme de la Gandouinére, en Vendée. L’intrigue tourne autour de deux grandes périodes historiques : l’expulsion des Français hors de Nouvelle-France après la défaite contre les Anglais lors de la guerre de Sept Ans, et les guerres de Vendée pendant la Révolution française.
Joëlle Goron, 79 ans, est scénariste et ex-« Froufrouteuse ». Elle a écrit ce livre avec Delphine Apiou comme Trop jeune pour être vieille, vendu à plus de 12 000 exemplaires.
C’est incroyable le nombre de personnes qui, quand elles parlent de leur enfance, soulignent toujours avec émotion le souvenir de leurs grands-parents, et notamment de leurs grands-mères. Qu’il s’agisse d’apprentissages ou de conseils, elles évoquent des liens très forts, comme si leurs grands-parents avaient été leurs « fondamentaux ». C’était l’époque où les parents confi aient tout naturellement leurs enfants aux grands-parents. C’était l’époque où les mamies portaient des bas de contention, sentaient l’eau de Cologne et préparaient des tartes aux pommes.
Et aujourd’hui ? Être une nouvelle grand-mère, c’est :
avoir d’autres centres d’intérêt que ses petits-enfants (« Non, désolée, chérie, mais le week-end prochain j’ai un stage de yoga Bikram en forêt, je ne peux pas prendre tes enfants ») ;
se plier aux nouveaux diktats (« Oui, c’est formidable, l’éducation
positive : tu as raison, laissons ton fi ls découper mes rideaux ») ;
apprendre à se taire (« Ah bon, tu l’allaites encore à trois ans ? ») ;
essayer de garder un lien avec ses petits-enfants via FaceTime depuis que la famille vit à Toronto (« On voit que le haut de ta tête, mamie ») ;
se lâcher avec ses copines grands-mères (« Allô, Brigitte, j’en peux plus, ils sont encore là trois jours… J’en ai ras le bol du petit pot courgette quinoa ») ;
redécouvrir son mari devenu grand-père (« Ça va, ton genou, quand tu te mets à quatre pattes pour faire le cheval ? ») ;
et aussi beaucoup d’amour, évidemment.
Une nouvelle grand-mère, c’est tout ça, mais chut ! ça ne se dit pas,
sauf dans ce livre.
Jours de présence : Samedi après-midi et dimanche toute la journée ANNULATION DE SA VENUE
Né en 1970, Johan Heliot se consacre pleinement à l’écriture depuis 2002, après avoir enseigné l’histoire-géographie et le français dans un lycée.
À ce jour, il a publié une centaine de nouvelles dans des supports variés (revues, anthologies, journaux…) et une soixantaine de romans, jeunesse et pour adultes, chez de nombreux éditeurs dans les genres de l’imaginaire.
Chez Gulf stream éditeur, il est l’auteur de la série Ciel, sélectionnée pour de nombreux prix dont le Prix Utopiales européen jeunesse 2015 et le Prix Imaginales des Collégiens 2016.
La Française Johana Gustawsson s’est fait un nom sur la scène du polar international en seulement trois romans Sa série Roy et Castells a été cédée dans 23 pays et est en cours d’adaptation télévisuelle.
Le coeur battant, Emma Lindahl cogne à la porte du manoir dressé sur une petite île au large de Stockholm Experte en art, elle doit procéder à l’inventaire des biens de la famille
Gussman quatrième plus grande fortune de Suède L’île et son manoir ont une réputation sulfureuse depuis que, neuf ans plus tôt, une adolescente a été découverte pendue à un arbre du domaine, tuée dans des conditions affreuses Son assassin n’a jamais été retrouvé
Emma se rend vite compte que son travail va lui prendre des mois, seule dans ces immenses pièces où elle ne croise jamais personne, car les Gussman ont expressément refusé de la voir et lui imposent des horaires stricts Bien qu’elle ne soit pas impressionnable, l’ambiance ici lui glace le sang C’est alors qu’une nouvelle jeune fille est découverte, morte, dans la mer gelée, et tout laisse penser qu’elle a été victime du même tueur…
Jours de présence : Samedi et dimanche matin ANNULE SA VENUE
Né au pied du stade d’En Avant Guingamp, Johann Pailloux n’a pas opté pour une carrière de footballeur mais de journaliste. 18 ans de radio à Paris et Nantes (RTL, RTL2, NRJ), des expériences en presse écrite (Ouest-France, 20 Minutes, divers magazines), puis un virage en télévision en 2019, comme chroniqueur, puis coordinateur éditorial d’une émission sur France 3 Pays de la Loire. Johann est aussi formateur en art oratoire au sein de plusieurs grandes écoles (Iseg, Audencia, Ynov, IUT Lannion). Aujourd’hui, il met à profit ses compétences au sein du pôle éditorial du groupe audiovisuel Main Avenue.
Avec un avant-propos de Sébastien Laurent, qui dirige le magnifique zoo de La Boissière-du-Doré, et une préface de Rodolphe Delord, qui mène le réputé zoo de Beauval, ce beau livre illustré de magnifiques photos vous dévoile les coulisses du spectacle du vivant offert aux visiteurs du zoo de la Boissière-du-Doré, le travail quotidien de toute une équipe de passionnés amoureux des animaux, tous les soins proférés par les soigneurs, les liens privilégiés qui les unissent aux animaux et les nombreuses actions menées par le zoo pour la conservation des espèces et le bien-être animal.
Assister à la naissance d’un petit tapir malais, jardiner avec le chant des gibbons, préparer le déjeuner d’une girafe ou échanger un regard complice avec un orang-outan, voici un court aperçu de la vie fascinante de soigneur animalier. Que se passe-t-il dans les coulisses de ce spectacle du vivant qu’offre un zoo ? Comment travaillent les soigneurs ? Quelles relations privilégiées ont-ils avec les animaux ? Comment ce zoo joue-t-il un rôle essentiel dans la conservation des espèces ?À travers l’histoire du zoo de La Boissière-du-Doré, de celle de Sébastien Laurent, son directeur, et de sa famille de soigneurs, passez de l’autre côté et laissez ce fascinant univers se révéler à vous et vous offrir ce que vous n’imaginiez pas.Quel est le péché mignon des ours ? Comment transfère-t-on un gorille ? Comment fait-on une prise de sang à un rhinocéros ? Quelle incroyable complicité avait Sébastien avec l’orang-outan Major ?Au fil des heures d’une journée, comme autant de chapitres, découvrez les métiers qui composent la vie d’un parc zoologique : soigneur, paysagiste, responsable des collections, vétérinaire, pédagogue, responsable technique, etc. Levez le voile sur l’autre facette de ce zoo moderne, admirez ses animaux et laissez-vous captiver par la vie de celles et ceux qui font battre le cœur de ce lieu exceptionnel.
Né en 1982 en Normandie, Jonathan Garnier a fait ses études dans le graphisme et la bande dessinée. Après un premier poste de print designer dans le jeu vidéo, il rejoint les Éditions Ankama. D’abord graphiste et illustrateur, il devient rapidement éditeur ainsi que directeur éditorial et artistique de la collection Étincelle. Puis l’envie de donner vie à ses propres histoires le gagne. Il se lance dans l’écriture et signe, après une première histoire dans le recueil DoggyBags, plusieurs séries BD : Momo avec Rony Hotin et Elias & Ida avec Jérémie Almanza aux éditions Casterman, Timo l’Aventurier avec Yohan Sacré chez Le Lombard et Bergères Guerrières avec Amélie Fléchais chez Glénat. Il se consacre en parallèle à l’écriture de projets numériques ainsi qu’à la photographie.
Après une formation d’ingénieur et de scénariste, Jonathan Werber s’est passionné pour l’histoire. Son premier roman Là où les esprits ne dorment jamais (Plon, 2020 ; Pocket, 2022) avait pour thème le spiritisme et l’illusionnisme au XIXe siècle.
Résumé
Fin 1793, Nantes. Quand le jeune Simon Delmotte revient en ville après avoir participé aux derniers soubresauts de la guerre de Vendée, il ignore que ce pourquoi il s’est battu a été détruit en une nuit. Et que le commanditaire du forfait est le député de la Convention Jean-Baptiste Carrier. Ce dernier a saisi son atelier d’horlogerie, emprisonné sa mère et tué son père.
Ne pensant qu’à la vengeance, Simon estime vite qu’une balle dans la tête serait une mort trop douce pour celui qui lui a tout pris. Avec l’aide du président du tribunal local et d’une jeune femme pleine de mystère, il se met en tête de réaliser l’impossible : faire condamner et guillotiner le député malgré un gouvernement qui fera tout pour l’innocenter.
Aventure gravée à jamais dans l’Histoire, l’enquête de ce jeune horloger lui fera redoubler d’ingéniosité. Il devra plonger dans la noirceur de son âme sans s’y noyer s’il veut avoir une chance d’assouvir sa vengeance contre l’intouchable Carrier. Y parviendra-t-il ? Une course contre la montre commence, aventure épique et terrible sur fond de vengeance, de pillages, de violences,
de barbarie même (les terrifiantes « noyades de Nantes »), de traitrises et trahisons aussi, avec des centaines de détenus qui disparaissent d’un jour à l’autre sans qu’on sache où ils vont ni ce qu’ils deviennent, un maître de la cité qui se croit tout permis e. Comment l’arrêter ? Le peut-on ? Qui va l’emporter ?
Jours de présence : vendredi après-midi, samedi et dimanche