Bernard Minier, reconnu pour ses thrillers captivants et ses intrigues palpitantes, s’impose depuis plusieurs années comme l’une des voix majeures du roman noir français. Son premier roman, Glacé, paru en 2011, est unanimement plébiscité par le public et la critique. Cet ouvrage mettant en scène le commandant Servaz, devenu un personnage emblématique de l’auteur, remporte le prix du Festival de Cognac et est adapté en série télévisée.
Mêlant suspense, tension psychologique et intrigue policière, les romans de Bernard Minier sont aujourd’hui traduits dans de nombreuses langues et captivent des lecteurs du monde entier. En dix ans, il a vendu plus de 6 millions d’ouvrages, faisant de Bernard Minier l’un des auteurs les plus lus dans le pays. Son dernier roman Les Effacées est paru en 2024 aux Éditions XO et les droits de son roman Lucia ont été acquis pour une prochaine adaptation en série télévisée.
Amélie Laffaiteur est née en 1974, elle vit et travaille à Paris. Diplômée d’une école de graphisme, elle a travaillé une dizaine d’années en Freelance pour des studios graphiques.
Aujourd’hui autrice et illustratrice de livres pour enfants (Larousse Jeunesse, Gründ, Fleurus), elle réalise également de nombreuses illustrations pour la papeterie (Cartes d’Art) et collabore avec des magazines pour la jeunesse, des enseignes de décoration ou encore de textile. Ses toiles et dessins ont fait l’objet de deux expositions au Bon Marché à Paris.
Hubert est un gentil chien-chien à sa mémére qui mène une vie de père peinard sur le canapé de Marie-Huguette, sa maîtresse. Mais Hubert a une double vie : quand le crime rôde, quand les méchants passent à l’acte, il se transforme en super détective, meneur d’enquêtes à plumes et à poils… Un anti-héros attachant et loufoque, entre inspecteur Gadget et Mr Bean. Une galerie de personnages hilarants. Une écriture « cartoonesque » et très enlevée. Hubert n’est jamais loin du coupable ni de la catastrophe !
Jours de présence : Vendredi après-midi, samedi et dimanche
Amélie Louis est le nom de plume d’Annie Schwing née à Nevers, romancière française, auteure d’oeuvres de fiction telle que le suspense Capitulum qui met Toulouse en lumière, le roman hommage à Rachid Taha Libre ou rebelle. Amélie Louis aussi l’auteure d’une trilogie de romans historiques sur la place des femmes en politique au 15e siècle et elle est membre de l’Académie Alphonse Allais. Son dernier ouvrage, Trois fois j’ai été reine met en scène Anne de Bretagne et les précédents Anne de Baujeu et Marie de Bourgogne.
Nue.
Je suis cette créature qui marche nue sous les regards aigus des inquisiteurs du roi.
Je suis cette chair dépouillée jusqu’aux tréfonds de son ventre et dont les pieds transis effleurent le sol obscur au bord du précipice.
Je suis cette fille qui se meut au-delà de sa répugnance, fascinée par le vide…
Le vide.
Celui de mon cerveau face aux cerveaux dénaturés de mes tourmenteurs. Pour eux, c’est le temps de la cruauté, pour moi, c’est le temps du défi. Rester vivante sous leurs yeux qui me sondent et me soupèsent comme un objet.
Bercé depuis l’enfance par les récits de ma mère, la romancière Mireille Calmel, je vogue moi aussi à contre-courant sur l’onde implacable du temps, puisque je suis auteur de romans historiques médiévaux. Des romans qui ont la particularité de tous commencer à Blaye, en Gironde. À l’image de l’oeuvre immense de Ken Follet, j’ai un peu l’habitude de dire que Blaye est mon Kingsbridge à moi.
Entre Histoire et légendes, je vous emmène à la découverte de cette vaste et riche période qu’est le Moyen Âge ; des incursions vikings en Aquitaine aux dernières batailles de la guerre de Cent-Ans.
« Pierre Louvain, étron puant ! Me voici rendu au coeur de la Guyenne où te mène le commandement de l’armée française ! Tu veux la ravir au roi-duc d’Angleterre ? La livrer à celui de France pour le remercier de t’avoir affranchi de l’assassinat, odieux, de mon frère ? Foi de Raoul de Flavy, je ne te laisserai pas faire. C’est ta mort et celle de ta putain que je veux accrocher à ma lance. Dussé-je pisser sur mon âme ensuite pour la laver devant Dieu. Ah ! fourbe, tu ne sais de quoi je suis capable. Tu ne sais la colère qui gronde en moi. Malcuidant je suis, puisque honneur perdu, autant désormais que toi. »
Ici se joue, au travers de l’impitoyable soif de justice de Raoul de Flavy, le destin de l’Aquitaine et la fin de la guerre de Cent Ans. Un roman haut en couleur, en verve et en puissance, tels que le sont ses personnages. Personnages dont le rôle est resté profondément ancré dans la grande Histoire.
Jours de présence : vendredi après-midi, samedi et dimanche
2023
Je suis auteur de roman historiques médiévaux aux racines profondément ancrées dans ma grande et belle région : l’Aquitaine. Je suis très attaché à l’Histoire de cette terre de Blaye qui m’a vu naître puis grandir. Il me faut cependant avouer que cet amour pour l’Histoire et les romans historiques ne m’est pas venu complètement pas hasard telle une révélation ; c’est que, tel Obélix, je suis tombé dans la marmite quand j’étais petit ! Cet amour me vient des récits de ma mère, Mireille Calmel, autrice elle-même de romans historiques. En revanche, contrairement à elle, je n’ai pas abordé l’Histoire avec l’écriture, cela n’est venu que tardivement et pour ma plus grande surprise (comme la sienne !), je ne m’imaginais pas suivre ses traces. Ingénieur du son de formation, je me suis passionné pour les musiques traditionnelles et anciennes, dont les enregistrements et interprétations des chants des troubadours. L’un d’eux, tout particulièrement, a retenu mon attention : Jaufré Rudel, prince de… Blaye ! J’en ai fait le héros de mon premier roman, Le Serment de Jaufré, préquel hommage au Lit d’Aliénor, l’immense succès de ma maman. Mon second roman, La Malédiction d’Irminsul, commence quelques siècles avant la naissance de Jaufré Rudel, au IXème siècle, lorsque l’Aquitaine était encore un royaume carolingien.
Blaye, 847.
Depuis les remparts de la cité, l’abbé Ulrich regarde avec effroi l’imposante armada viking remonter l’estuaire de la Gironde. Dans son coeur, aucun doute : c’est Bordeaux que ces guerriers sanguinaires convoitent. Blaye résistera-t-elle à leur retour ?
Blaye dans le coeur de laquelle sommeille la dépouille du paladin Roland, neveu de Charlemagne, sur la laquelle Ulrich a juré de veiller coûte que coûte. Blaye qui protège son amour pour Sanceline.
À l’heure où la terreur persuade les habitants de la cité de se préparer au pire, Ulrich, lui, doit affronter ses propres démons. Qui est cette païenne, la mystérieuse Fréa qui le poursuit en songe ? Qu’attend-elle de lui ?
À qui peut-il faire confiance ? À son beau-frère, le prieur Ascelin qui semble au coeur de toutes les manigances ?
Depuis son navire, Asgeir, lui, ne songe qu’à sa conquête. Les runes l’ont assuré de la victoire. Alors pourquoi ce vieillard, Wigbert, lui brandit-il sous le nez la malédiction d’Irminsul ? Et pourquoi cette obsession, tenace, du tombeau de Roland ?
Ulrich, Asgeir, Wigbert.
Trois hommes à la croisée de leurs destins dans une Aquitaine à feu et à sang.
Trois quêtes.
Enchevêtrées.
Épiques.
Au nom de l’honneur et de la justice
Jours de présence : Vendredi après-midi, samedi et dimanche
Anaïs Flogny est née en 1999 à Paris. Sa famille déménage cinq ans plus tard dans le nord de la France. Bercée par deux parents artistes et lecteurs, elle s’intéresse très tôt à la bande dessinée. Cette passion la pousse à réaliser, depuis 2016, des artbooks et fanzines solos ou collectifs pour des conventions (Harajuku, Paris City Pop, etc.).
Après des études au conservatoire de musique et un bac scientifique, elle quitte le nord pour s’installer à Nantes pour ses études. Diplômée en illustration en 2021, elle commence à travailler en freelance pour des maisons d’édition comme Auzou, Syros, 3rd Total Publishing ou Scholastics.
Si les dessins de René Gruau, Austin Briggs, Kamome Shirahama ou Cyril Pedrosa l’inspirent, elle aime aussi piocher dans la musique de Brassens, les mots de Pierre Lemaître, de Tonino Benacquista et l’univers graphique du design des années 1950.
“Rivages lointains” (Dargaud, 2024) est son premier album de bande dessinée.
1938, Chicago. Jules, un jeune immigré italien de 17 ans, vit de petits boulots jusqu’au jour où Adam Czar, un ponte de la mafia locale, séduit par son culot, lui propose de travailler pour le milieu en récupérant le pizzo payé par les commerçants en échange de leur protection. Attiré par l’argent facile et les beaux costumes, Jules accepte et s’intègre vite grâce à son bagout. Parallèlement, les deux hommes entretiennent dans le plus grand secret une relation amoureuse, situation particulièrement mal vue dans le milieu. Jules prend alors de plus en plus d’assurance, jusqu’au moment où une guerre entre familles les pousse à rejoindre New York. Grâce à ses origines italiennes, il intègre une des familles qui détient le pouvoir à la Grosse Pomme, pendant qu’Adam, d’origine polonaise, doit se contenter d’être un simple associé… Jules prête serment et devient alors un homme influent à son tour, attisant les tensions entre les deux hommes. Il croise sur sa route Eufrasio, un mafieux impulsif qui l’entraîne dans un jeu devenu incontrôlable et dangereux, surtout lorsque les Fédéraux commencent à s’intéresser de près à leurs affaires…
Illustratrice jeunesse depuis une vingtaine d’années, Anaïs fait jaillir de ses tubes de gouache des sorcières et des monstres doux. Elle crée Les Éditions du Lumignon en 2014 pour découvrir ce qu’il se passe dans cette fameuse chaîne éditoriale, en dehors de la case « illustration ».
Une saison chez les sorcières :
Alors que les sorcières se pensaient à l’abri du sort, voilà que l’été se détraque. L’air est lourd de menaces sous les frondaisons, et les habitants des bois sont poussés à bout par des vols qui pourraient bien être autre chose que des mauvaises blagues… Il ne manquerait plus que la situation s’enflamme !
Jours de présence : vendredi, samedi et dimanche
2022
Illustratrice jeunesse depuis une dizaine d’années, Anaïs fait jaillir de ses tubes de gouache des sorcières et des monstres doux. Elle crée Les Éditions du Lumignon en 2014 pour découvrir ce qu’il se passe dans cette fameuse chaîne éditoriale, en dehors de la case « illustration ». C’est une véritable aventure… qui ne fait que commencer !
Rarement cartographiée, l’immense forêt des sorcières se dévoile pour la première fois ! Du Vieux Perchoir à la Futaie Noire, de la Grande Rivière à la Pierre Plate, parcourez les lieux familiers des sorcières (vous risquez même d’en croiser quelques-unes…).
Jours de présence : vendredi, samedi et dimanche
2020
Le vaste océan, personne ne le connaît mieux qu’un pirate, nom d’une jambe de bois ! Alors imaginez ce qu’un équipage entier de flibustiers farfelus pourrait vous faire découvrir… Plongez dans les pages de cet almanach perpétuel en bonne compagnie : de joyeux pirates vous emmènent explorer les mers ! Des profondeurs des abysses jusqu’aux vents capricieux, la vie des océans n’aura plus de secret pour vous. Partagez mille anecdotes et une foule d’astuces que seuls les plus vieux loups de mer connaissent. Et surtout, laissez-vous emporter par ces pirates protecteurs des océans, grands connaisseurs du monde marin et amateurs de rhum… Euh, de voile ! Mieux vaut vous prévenir : la lecture de l’Insubmersible Almanach de l’Océan risque de vous donner envie de hisser la grand voile !
Moitié punk à chien, moitié drama queen, son animal totem est un dragon à paillettes.
Née au milieu des années 80, elle a pratiquement vécu toute sa vie en Vendée. Les paysages et les embruns de l’océan Atlantique l’inspirent et la font voyager. Passionnée de musique et d’humour décalé, elle ne rate jamais une occasion d’incorporer ces éléments dans les récits qu’elle crée.
Dernier étage sans ascenseur :
Sur le papier, emménager dans un magnifique appart’ avec mes deux meilleurs amis était un plan d’enfer. Dans les faits, je me retrouve sans chambre fixe, avec un DJ grincheux comme coloc’, un chat qui pisse partout et un ascenseur en panne. C’est sûr, avec tout ça, j’ai moins de temps pour penser à mon ex et un peu plus de motivation pour faire de nouvelles rencontres. Même si, officiellement, c’est pour mes études que je suis revenue à Cardiff… Promis, je m’y mets dès que j’ai retrouvé mes Converses !
Huitième étage avec ascenseur :
Quand Killian a traversé l’Atlantique pour venir me voir à New York, je ne m’attendais pas à ce qu’il décide de rester ! Il faut dire que quand on était coloc, il ne raffolait pas de ma compagnie, du moins au début… Maintenant qu’il est là, qu’est-ce que je suis censée faire de lui ? Et comment je vais expliquer sa présence à mon copain quand il rentrera de Californie ? Une chose est sûre, Kil ne m’a pas dit toute la vérité sur les raisons de sa présence dans la ville qui ne dort jamais. Je suis certaine qu’il me cache quelque chose, et pour une fois, il ne s’agit pas de mes Converses !
Docteur en lettres, responsable des fonds d’éditeurs et des métiers du livre à l’I.M.E.C. (Institut Mémoires de l’Édition contemporaine), André Derval est l’auteur d’éditions critiques : Daisy Miller par Henry James (Folio, 1994), Esthétique de la langue française par Remy de Gourmont (Pocket, 2000), et collabore régulièrement avec le Magazine littéraire. Il est également responsable de fonds d’auteurs, dont Samuel Beckett, Louis-Ferdinand Céline et Michel Ragon.
Cette biographie de Michel Ragon, un auteur aux multiples visages, a pour ambition de montrer à quel point son activité foisonnante et plurielle repose sur une profonde cohérence. Son parcours d’autodidacte y est minutieusement étudié. En s’appuyant sur une chronologie précise, André Derval fait régulièrement appel à des archives inédites et donne le contexte de cette profusion d’écrits. À travers une galerie de portraits d’écrivains, d’artistes, de militants, d’architectes et d’urbanistes qui l’ont accompagné sa vie durant, nous découvrons un Michel Ragon inattendu. De ce point de vue, l’index sera très étonnant et instructif.
En fin de volume, une synthèse réorganise les faits saillants de sa carrière et donne les clefs d’interprétation permettant de saisir l’unité intime de cet auteur hors du commun.
Jours de présence : vendredi à partir de 16h, samedi et dimanche
André Versaille, spécialiste de La Fontaine et de Voltaire, travaille depuis plus de quinze ans sur Molière.
Il dirige par ailleurs l’édition de son théâtre complet aux éditions Bouquins.
Ce “journal”, Armande Béjart le tient une année durant. Commencé le 17 février 1699, vingt-six ans après la mort de Molière, il s’achève une dizaine de mois avant sa propre mort. Il est le récit intime et secret d’une femme qui se demande ce qu’elle a fait de sa vie. Et si, au bout du compte, elle était passée autant à côté d’elle-même que de son mari ?
Travaillant depuis plus de quinze ans sur Molière, André Versaille a voulu donner la parole à Armande pour lui faire raconter Molière de son point de vue à elle, et relater en même temps sa vie d’épouse et d’actrice de la compagnie la plus célèbre (et la plus passionnante) du théâtre français. Vingt-six ans après la mort de Molière, et, au terme d’une existence remuée de théâtre, de passions amoureuses, de libertinage et de déceptions, Armande, retirée de la scène et sentant sa fin prochaine, désire faire le point sur sa vie. Pendant près d’un an, elle s’astreindra chaque soir, dans la solitude, à se remémorer les épisodes de sa vie, et l’aventure quotidienne de la troupe avec ses grands moments : scandale, querelle, cabale, féérie, folie… A l’évocation de ces événements, elle s’interroge sur sa relation avec Molière, trop plein, à ses yeux, de son art pour satisfaire la jeune femme qu’elle était. Comment a-t-elle compris l’œuvre ? Comment a-t-elle réagi en découvrant qu’elle fut le modèle de la Célimène du Misanthrope ? Qu’est-ce qui a entraîné son désamour, puis sa première infidélité ? Et, elle qui sa vie durant fut une éternelle benjamine, comment, arrivée à l’âge mûr, a-t-elle vécu son amour pour Michel Baron, de onze ans plus jeune qu’elle, fils spirituel de Molière et qui deviendra le comédien français le plus renommé de la fin du XVIIe siècle ? A travers le regard de celle qui fut son épouse durant plus de dix ans, nous découvrons un portrait de Molière depuis les coulisses et depuis l’alcôve.
Après avoir obtenu une licence de génétique, Angélina Delcroix intègre l’école de gendarmerie avant de se former à la criminologie et à la psychothérapie. Depuis le succès de ses premiers romans, Ne la réveillez pas, Si je serais grande, Un peu, beaucoup, jusqu’à la mort et Synopsix, elle se consacre à l’écriture. Angélina Delcroix vit en Vendée.
Comment continuer à exercer son métier quand on ne croit plus en la justice de son pays ? L’adjudant Joy Morel est en plein doute professionnel quand elle est appelée pour une mission secrète. Elle doit se rendre sur une île perdue où s’érige un ancien hôpital psychiatrique au coeur d’une forêt hostile.
Pour pallier le manque de place en prison, le gouvernement a fait le choix d’y envoyer les pires criminels : psychopathes, cannibales, nécrophiles… et de les y laisser s’autogérer en totale liberté.
Chloé, psychocriminologue venue sur l’île sous couverture pour mener une étude, et Rod, l’agent chargé de la protéger, ne donnent plus signe de vie. Pour espérer les sauver, Joy et son collègue Hoche doivent à leur tour intégrer cette communauté infernale en se faisant passer pour des détenus.
Dans cette île où les moyens de communication sont inexistants et où les criminels sont livrés à eux-mêmes, le danger est partout.
Après avoir obtenu une licence de génétique, Angélina Delcroix intègre l’école de gendarmerie avant de se former à la criminologie et à la psychothérapie. Depuis le succès de ses premiers romans, Ne la réveillez pas, Si je serais grande, Un peu, beaucoup, jusqu’à la mort, Sinopsix et Mémoires d’un expert psychiatre, elle se consacre à l’écriture. Angélina Delcroix vit en Vendée.
2006. Deux petites filles disparaissent le même jour, sans laisser de traces. Elles sont voisines, mais n’étaient pas ensemble au moment de leur enlèvement. Eleanor, bientôt six ans, vit dans la crainte de déplaire à ses parents. La tête pleine d’images et de souvenirs, est-elle la menteuse que décrit sa mère ?
2016. Des cadavres d’enfants viennent d’être découverts. Au milieu des corps, une survivante. Enceinte de quatre mois et toujours profondément marquée par sa précédente enquête, l’adjudante Joy Morel se retrouve à la tête d’une enquête éprouvante qui va l’entraîner aux frontières de l’inimaginable…
Jours de présence : vendredi à partir de 16h et dimanche en début d’après-midi
Angélique Barbérat, voyageuse et conteuse, a rencontré un grand succès avec son premier livre, « L’Instant précis où les destins s’entremêlent ». Elle s’impose avec ses romans suivants, tous parus chez Michel Lafon. « Et maintenant » est la suite, et le couronnement, de sa trilogie autour de Bertrand et Lola.