Bernard Minier, reconnu pour ses thrillers captivants et ses intrigues palpitantes, s’impose depuis plusieurs années comme l’une des voix majeures du roman noir français. Son premier roman, Glacé, paru en 2011, est unanimement plébiscité par le public et la critique. Cet ouvrage mettant en scène le commandant Servaz, devenu un personnage emblématique de l’auteur, remporte le prix du Festival de Cognac et est adapté en série télévisée.
Mêlant suspense, tension psychologique et intrigue policière, les romans de Bernard Minier sont aujourd’hui traduits dans de nombreuses langues et captivent des lecteurs du monde entier. En dix ans, il a vendu plus de 6 millions d’ouvrages, faisant de Bernard Minier l’un des auteurs les plus lus dans le pays. Son dernier roman Les Effacées est paru en 2024 aux Éditions XO et les droits de son roman Lucia ont été acquis pour une prochaine adaptation en série télévisée.
Après quarante-trois années d’une carrière militaire qui l’a conduit à devenir Chef d’État-major des armées de 2014 à 2017, le général Pierre de Villiers est président d’une société de conseil en stratégie.
Originaire de Touraine, Georgia Caldera est écrivain et illustratrice. Elle est l’auteur de la série Les Larmes rouges, récompensée du prix Merlin 2012, ainsi que de Dentelle et nécromancie, De velours et d’acier, Nos chemins de travers, Hors de portée, Hors de question et Hors de contrôle. Georgia tient également un blog beauté/mode, lafilleauxcheveuxbleus.com
Dans le royaume de Cendrelune, les dieux épient les pensées des hommes, et leur Exécuteur, l’Ombre, veille à condamner tous ceux qui nourriraient des envies de rébellion.
Or, il semble que certaines failles existent. À l’âge de 17 ans, Céphise ne vit en effet que pour se venger. Depuis qu’on l’a amputée d’une partie d’elle-même et privée de sa famille, elle ne rêve plus que d’une chose : s’affranchir de la tyrannie du tout-puissant Orion, Dieu parmi les dieux. Et contre toute attente, il se pourrait qu’elle ne soit pas seule…
De ses années d’enfance et d’adolescence, Gérard Dézèmerie garde des vrais bonheurs, mais également des blessures qui transparaissent dans ses écrits. De ses années d’homme jeune, une activité sans faille, une appétence pour la découverte de notre monde dont il a fait son métier.(tour-opérateur spécialisé sur l’Asie, le Moyen-Orient et l’Afrique). De ses années d’homme mûr, la possibilité de réaliser sa maxime “créer, c’est vivre” ce qui lui permettra enfin d’oser et côtoyer de plus près, l’écriture, la poésie, la scène, la photographie et tous les arts qui ont accepté ses pas hésitants, mais convaincus. Sont actuellement édités 140 poèmes sous le titre de “Chapardeur d’étoiles”, recueil réédité en 2023 et “Baroudeur dans l’âme” qui regroupe des contes et légendes.
Des thèmes proches de la nature, des introspections ou tout simplement le quotidien de chacun(e) d’entre nous sont une partie des sources d’inspiration de l’auteur. Mais sont également abordés l’univers, la vie, le temps qui passe, le temps présent, les petits et les grands bonheurs, la nostalgie, la tristesse, les éclats de joie et les larmes de rires. En un mot, tout ce qui occupe avec simplicité ou importance notre parenthèse terrestre. Des poésies qui trouvent leur place dans un monde déroutant parfois, mais souvent superbe et pathétique.
Après une enfance nomade qui lui permets d’accéder aux études, Gérard Glameau mène une carrière d’enseignant tournée vers les sciences. Au moment de la retraite, il découvre les vertus de l’écriture et s’adonne à la poésie et aux nouvelles. Au sein de l’association Poésies nomades dont il est l’un des fondateurs, il participe à l’organisation de soirées poétiques. Depuis sa création en 2005, il dirige la maison d’édition du Jarosset.
Gérard Quentin est illustrateur, nouvelliste, critique, éditeur, poète parfois, directeur de revue, polémiste toujours, c’est à ce touche à tout que nous devons plusieurs ouvrages de florilège et anthologie.
George Sand a 68 ans lorsqu’elle écrit des contes pour distraire ses petites-filles. Gérard Quentin nous en offre un florilège accompagné d’activités ludiques sur George Sand.
Gérard Sansey est né en 1951. Après une enfance partagée entre le sud et le nord de la Gironde, ses parents instituteurs s’installent dans le Blayais où se déroulera sa carrière d’instituteur. Retraité depuis septembre 2006, il est l’auteur de nombreux travaux autour de la lecture ainsi que de fables appréciées par un large public. Il est l’époux de l’écrivain Mireille Calmel et vit dans le Médoc.
Jours de présence : vendredi après-midi, samedi et dimanche
2023
Et si contrairement à ce que la pensée unique voudrait nous faire croire un autre monde était réalisable ? Si le citoyen pouvait, sans devoir se terrer chez lui, échapper à la triple tyrannie de l’argent, de la religion et de la délinquance ? Lorsqu’il décide d’échanger pour
trois semaines de vacances son logement contre celui de son ami André, Serge Sandray ne se doute pas un seul instant de ce qui l’attend…! « Nom de Dieu ! » est un roman jubilatoire, humaniste, addictif et diablement intelligent !
Jours de présence : vendredi après-midi, samedi et dimanche
Crédit photo :
2020
Après une enfance partagée entre le sud et le nord de la Gironde, ses parents instituteurs s’installent dans le Blayais où se déroulera sa carrière d’instituteur.
Retraité depuis septembre 2006, il poursuit l’écriture des fables commencées en 1985 et s’investit également dans le débat autour de la lecture, thème majeur de son prochain ouvrage.
Demeuré par ailleurs fidèle au parler de ses grands parents, il continue d’écrire des histoires en patois saintongeais et prépare la sortie d’un second CD rassemblant ses derniers écrits patoisants. Il est l’époux de l’écrivain Mireille Calmel.
Géraldine Maincent est journaliste et auteure jeunesse. Diplômée du Celsa, elle s’intéresse au langage et à l’oralité. Son premier titre, Le Fils du samouraï (Milan), a reçu le prix des Premières Lectures 2014 ; L’Âme des samouraïs (Actes Sud Junior) a été sélectionné pour le prix Pépites 2015. Chez Flammarion, elle signe Le Nez de Cyrano – un hommage à Edmond Rostand, Le meilleur loup de l’année et La Belle au bois ronflant dans la collection des Albums du Père Castor. Elle vit et travaille à Paris.
Le conte classique de La Belle au bois dormant ne donne pas tous les détails de l’histoire d’amour… La princesse est belle, certes, mais elle ronfle, est pleine de toiles d’araignée et dégage une haleine fétide ! Quant au Prince, il arrive en baskets, casquette et trottinette ! Alors quand la princesse se réveille, c’est le choc des époques : nourriture, moyens de communication, transports, bâtiments, tout est nouveau pour elle.
Mais le plus incroyable, c’est quand le Prince lui apporte une pizza : même le plus charmant des princes ne cuisinait pas il y a 100 ans !
Né en Corrèze, Gilbert Bordes, Grand Prix RTL-Lire 1992, prix des Maisons de la presse, est l’auteur d’une soixantaine d’ouvrages, dont des romans historiques : La Peste noire, L’Année de la pluie ou La Prisonnière du roi. Il a notamment publié aux Presses de la Cité Chante, rossignol, Le Testament d’Adrien et Tête de lune.
Que s’est-il passé à Manilhac-le-Haut en cette nuit de novembre ? On n’a plus jamais revu Laurent Lerault. Dévastée par une rupture amoureuse et inquiète pour ce père dont elle sait les fragilités, mais pas les secrets, Fanny fuit la capitale pour aller à sa recherche. Laurent, peintre de talent, s’est réfugié des années plus tôt dans ce hameau du Limousin sur lequel veillent les ruines d’un château fort. Loin de tout, les gens de Manilhac ont leur part d’ombre. Leur mutisme ou leurs aveux à mots couverts font douter la jeune femme. Seul Mathieu, pisciculteur divorcé, lui apporte un certain réconfort. Contre toute attente, Fanny va se reconstruire au contact de ces hautes terres et de ceux qui en sont l’âme. Et percer enfin le mystère de la disparition de son père ?
Un roman d’une belle humanité, du nécessaire retour au lien et à la vie.
Jours de présence : Samedi et dimanche ANNULATION DE SA VENUE
Crédit photo : John FOLET
2019
Né en Corrèze, Gilbert Bordes est l’auteur d’une quarantaine de romans.
Membre de la Nouvelle Ecole de Brive, il a obtenu le prix RTL Grand Public pour « La Nuit des hulottes » et le prix Maison de la Presse pour « Le Porteur de destins ».
Les Presses de la Cité ont notamment publié « Le Cri du goéland », « Le Barrage » (dans la collection Trésors de France), « Chante, rossignol » et « La Belle Main ».
Rédacteur en chef de La Vendée Agricole et de Racines (magazine départemental), Gilbert Métivier a parcouru la Vendée pendant près de 40 ans. Puis la retraite venue, les journées “Dis-moi la Vendée” avec Familles rurales, l’ont conduit dans quelque 150 cités du département. Au volant de son véhicule, à pied. Et occasionnellement, en ULM, en avion, en hélicoptère, en montgolfière ! Pour voir la Vendée autrement et saisir quelques photos aériennes. Il a publié plusieurs : Réussir Autrement en 1999, La Vendée chemin faisant et Je découvre la Vendée en 2016, Autour d’un barrage au Sahel, en 2016, et Je découvre le pays Vie et Boulogne, en 2019.
Ici, un marais salant ou un bord de mer ; là-bas une petite chapelle ou un moulin ; ailleurs une anecdote locale ou un château chargé d’histoire ; plus loin un site incontournable ou un monument méconnu. Un peu partout, des lieux historiques ou des endroits qui s’animent. “Au cœur de la Vendée” montre ces richesses. Des richesses repérées à travers cette grande balade conduisant successivement du haut-Bocage au marais Poitevin, du littoral au marais Breton, du bas-Bocage à la Plaine vendéenne. Comme pour mieux souligner ces régions naturelles, bien distinctes, avec le charme propre à chacune. Une invitation à la découverte et au voyage. Simplement pour flâner ou pour respirer l’âme de la Vendée. Pour mieux connaître et aimer la Vendée.
Jour de présence : samedi après-midi
2023
Successivement formateur dans l’institution des Maisons Familiales, technicien dans l’aménagement foncier et plus longuement journaliste, Gilbert Métivier a arpenté toutes les régions naturelles de la Vendée. Ses fonctions de rédacteur en chef de La Vendée agricole et du magazine Racines, l’ont manifestement aidé à découvrir et à aimer la Vendée. D’où l’ouvrage « La Vendée, chemin faisant », un ouvrage de 300 pages agrémentées de grandes et belles photos.
Autres ouvrages parus : « Réussir autrement » (Editons Siloé) ; « Je découvre la Vendée » et « Je découvre le pays Vie et Boulogne » (Geste-Editions), « Autour d’un barrage au Sahel : une expérience réussie de développement local » (auto-édition)
Publié chez Geste Editions dans la collection « beaux livres », vendu à 3 000 exemplaires et épuisé, cet ouvrage a été actualisé dans une nouvelle édition en 2020. Avec le même succès pour cette véritable « bible » illustrée du département. Avec la même ambition de faire découvrir et aimer la Vendée.
« La Vendée chemin faisant » propose une grande balade vendéenne, passant d’une région naturelle à une autre, regardant le paysage, racontant l’histoire locale, ajoutant quelques anecdotes avec un peu d’humour, s’arrêtant sur des sites méconnus ou connus, bifurquant vers des lieux incontournables ou insolites à découvrir ou redécouvrir. Deux sortes de pauses alimentent cette balade livresque : des focus sur quelques traits majeurs de la Vendée ; des coups de cœur de personnalités vendéennes pour un lieu proche de chez elles. Au total, un bel ouvrage de 300 pages grand format, riche de plus de 200 grandes et belles photos. Un plaisir pour soi… et un beau cadeau pour ceux qu’on aime.
Jours de présence : vendredi après-midi et dimanche
Né un jour de Juin 1976 à Toulouse, lors d’une grosses année de canicule, il commence son exploration du dessin à l’adolescence, par des reproductions aux pastels secs de photos d’animaux. Au collège, il s‘intéresse à la BD lors d’ateliers tenus pendant la pause du midi. Il intègre d’autres ateliers extra scolaires avec les interventions d’auteurs de tous styles (Serge Carrère, Boëm, Marc N’Guessan, Gilles Gonord et Gani Jakupi pour les plus récurents) qui lui font découvrir des univers graphiques insoupçonnés. En la toute fin du siècle dernier, la rencontre avec Christophe Gibelin débouche sur Le Vieux Ferrand, un polar rural Français paru en trois volumes aux éditions Delcourt. Après cela, viennent quelques histoires courtes commandées par Spirou. Suite à une remise en question de l’envie de faire de la BD. Le dessin animé fait son apparition, mais après huit années passées à réaliser des décors traits chez Ankama, le retour à la BD se fait pressant.
La proposition de Grand Angle de dessiner La Ballade de Dusty sur un scénario d’Aurélien Ducoudray tombe alors à pic et le coup de cœur pour cette histoire est immédiat.
Tout ce que vous allez lire est vrai… sauf l’histoire !
Lucienne et Georges, deux sexagénaires campagnards vivent dans leur petit village de La Rondière où Georges répare son infatigable tracteur et Lucienne s’occupe des tâches quotidiennes. Elle apaise un peu le deuil de son unique fils en parrainant des enfants défavorisés dans le monde entier. Lorsque le facteur amène à Lucienne une lettre annonçant qu’elle est la grande gagnante du jeu-concours des magasins Outillor, sa vie va être bouleversée. Avec le premier prix de 200 000 euros, elle aurait enfin de quoi parrainer tous les enfants nécessiteux de la Terre…
Vendéen « pur jus », Gilles Hybert aime ses racines. Prêtre depuis 55 ans, il aime puiser dans son terroir natal et son ministère les richesses qui alimentent son style et sa poésie – y compris dans sa langue maternelle, le patois vendéen. Il présente régulièrement des poèmes au concours « SPAF » (Société des Poètes et Artistes Français) et aux « Jeux Floraux » de La Roche-sur-Yon, où il a obtenu plusieurs prix chaque année.
Il a publié deux recueils de poèmes aux Editions Siloë :
« A l’Ombre du Vieux Moulin »
« A l’Ombre de la Grotte ».
A l’âge de la retraite, il consacre davantage de temps à la poésie et profite de ses loisirs pour publier »Ma Chère Vendée ». Il y magnifie l’histoire de ses ancêtres, se laisse aller à la rêverie lors des promenades dans la campagne. Il s’arrête dans quelques villes et villages, sans oublier, bien sûr, la mer, ni la gastronomie si riche en saveurs.
Gilles Marchand est né en 1976 à Bordeaux. Batteur dans un groupe de rock, il se tourne vers l’écriture de nouvelles en 2010.
Son premier roman, Le Roman de Bolaño en 2015, est écrit en collaboration avec Éric Bonnargent, et suscite l’enthousiasme des libraires et des lecteurs du romancier Roberto Bolaño.
C’est avec son premier roman solo qu’il rencontre un grand succès : Une bouche sans personne est publié en 2016. D’abord sélectionné parmi les “Talents à suivre” par les libraires de Cultura, il remporte le prix Libr’à Nous, le Coup de cœur des lycéens du Prix Prince Pierre de Monaco en 2017 et le prix du meilleur roman francophone Points Seuil en 2018.
Son deuxième roman, Un funambule sur le sable, publié en 2017, est un succès et impose cet écrivain original, qui mêle réalisme magique et humanisme, comme l’héritier de Boris Vian, Romain Gary et Georges Perec.