Bernard Minier, reconnu pour ses thrillers captivants et ses intrigues palpitantes, s’impose depuis plusieurs années comme l’une des voix majeures du roman noir français. Son premier roman, Glacé, paru en 2011, est unanimement plébiscité par le public et la critique. Cet ouvrage mettant en scène le commandant Servaz, devenu un personnage emblématique de l’auteur, remporte le prix du Festival de Cognac et est adapté en série télévisée.
Mêlant suspense, tension psychologique et intrigue policière, les romans de Bernard Minier sont aujourd’hui traduits dans de nombreuses langues et captivent des lecteurs du monde entier. En dix ans, il a vendu plus de 6 millions d’ouvrages, faisant de Bernard Minier l’un des auteurs les plus lus dans le pays. Son dernier roman Les Effacées est paru en 2024 aux Éditions XO et les droits de son roman Lucia ont été acquis pour une prochaine adaptation en série télévisée.
Frédéric Lenormand saupoudre depuis toujours ses intrigues historiques d’un humour savoureux. Récompensé par les prestigieux prix Arsène Lupin et Historia, il est l’auteur de la série Au service secret de Marie-Antoinette, dont déjà cinq autres volumes sont disponibles aux Éditions de la Martinière.
Ça bouge à Versailles ! Le chevalier d’Eon est de retour à la Cour. Après avoir occupé un poste stratégique à Londres pendant près de dix ans, il revient investi d’une mission de la plus haute importance : remettre des documents confidentiels rapportés d’Angleterre. Mais lorsque le cadavre d’un agent secret est retrouvé chez lui, il est accusé de meurtre. Derrière son éventail et ses hautes-coiffes, Marie-Antoinette a du flair. Elle en est sûre : le chevalier d’Eon a été piégé ! Ni une ni deux, elle ordonne à son duo d’enquêteurs amateurs, sa modiste et son coiffeur, d’aider le chevalier à échapper à la police royale. Et quel meilleur déguisement pour passer inaperçu qu’une sublime robe de chez Rose Bertin assortie d’une somptueuse coiffure comme Léonard en a le secret ? Embarqués dans une enquête semée d’embûches, réussiront-ils à démasquer le meurtrier qui élimine les agents secrets de la couronne ?
Frédéric Lepage a écrit et produit des centaines de programmes de télévision : divertissements, concerts, documentaires sur la science, l’histoire, la nature sauvage… À travers ses essais, romans et le cinéma, il se définit comme raconteur d’histoires. Ses romans pour adolescents, Le Camp des éléphants, Le Masque du serpent et Piège de sang ont remporté de nombreux prix. Avec Si la bête s’éveille (Plon, 2021 ; Pocket, 2022), il a renoué avec son goût du thriller, qui lui a déjà inspiré, à ses débuts, La Fin du septième Jour ou La Mémoire interdite (Robert Laffont). Si la bête s’éveille a obtenu le Prix du meilleur roman policier au festival de Cognac 2021.
Une inconnue est retrouvée morte sur le toit d’un gratte-ciel de New York, le visage réduit en charpie par un tir de chevrotine. Elle se nomme Luna Ritter : vétérinaire de quartier, installée dans une petite rue de Chinatown qui se trouve être celle où ont été commis le plus de crimes dans l’histoire des États-Unis.
Luna souffre de dérèglements sensoriels bientôt diagnostiqués comme le rarissime syndrome d’Urbach-Wiethe, qui touche l’amygdale du cerveau, et dont la calcification provoque la perte totale du sens de la peur. De quoi se sentir invincible… ou se mettre en danger de mort, car elle est le système d’alerte par auquel l’humain évite les périls.
Le Dr Jasmine Coleman, neurologue au célèbre Presbyterian Hospital de New York, et Kalon Kane, l’un des meilleurs neurochirurgiens, font de Luna leur précieux sujet d’étude. Car celui qui parviendrait à reproduire la dégradation de l’amygdale de Luna détiendrait un secret d’une valeur inestimable : l’antidote de la peur.
Devenue l’objet de convoitises, Luna a-t-elle fréquenté les mauvaises personnes, ou sous-estimé le danger ? Quel rôle a joué dans sa vie le fascinant Dr Kane, virtuose du bistouri, esthète et brillant cerveau ? Pour Ken Quist, jeune électron libre au sein du New York Police Department chargé de l’enquête, trop de détails clochent. Entre lui et la femme assassinée, quelque chose d’étrange se noue bientôt, qui ressemble à une connivence post-mortem.
Jours de présence : Vendredi après-midi, samedi et dimanche
Frédérico Parra enseigne dans le Secondaire.Tombé amoureux de la France lors d’une mutation, il y réside depuis plus de dix années. D’origine espagnole et italienne, il a soutenu une thèse de doctorat en études ibériques au cours de l’année 2007.
Frédéric Parra est l’auteur de 3 thrillers ésotérique (Avant l’aube une étoile, Les conjurés de l’aube, La chambre des guetteuses) et de trois ouvrages jeunesse dont Eliott et la Malédiction du Berger-Sorcier, Prix du roman jeunesse de Rambouillet et Prix Apicius, il signe avec Les chasseurs de papillons son premier roman de science-fiction.
Un roman si original, tant dans son contenu que dans sa composition que l’on ne peut s’empêcher de songer aux immenses écrivains Erick Lhomme, Pierre Botéro et Pierre Bordage en le lisant.
Cyde H. Benent espère devenir astronécromancien. Afin d’y parvenir, il a pour mission d’analyser les données extraites de la sonde Encelade, découverte deux lunes plus tôt dans le désert de Samarah, sur la planète Gawel.
Son travail est d’importance, car de ses recherches dépend l’avenir de l’empire galactique.
L’étudiant s’est mis au travail, analysant un à un les documents mis à sa disposition, ne laissant rien au hasard. L’ouvrage que vous tenez entre les mains est le fruit de ses heures de recherches : la thèse qu’il a présentée au Vene Kalabi, l’ordre des Grands Sages astronécromanciens.
Il adorait ses parents. Joyeux, déjantés, imprévisibles, la vie à leurs côtés était un tourbillon de fantaisies. Le chagrin causé par leur mort est immense. Désormais, son quotidien routinier lui semble dérisoire. Il décide de changer radicalement d’existence.
Abandonnant ses certitudes, il s’installe à la Plateforme : un treizième étage entièrement vide où il a évolué pendant son enfance. L’endroit idéal pour laisser libre cours à son imagination et se réapproprier chaque journée, chaque heure, sans tenir compte des règles sociales. Tenter de faire son deuil grâce à deux antidotes inattendus : la fantaisie et la joie.
Frédéric Perrot est scénariste et réalisateur au sein du duo Najar & Perrot. Touche à tout, il travaille sur de multiples formats (longs métrages, pièces de théâtre, chansons).
Après Pour une heure oubliée et Cette nuit qui m’a donné le jour, Ce qu’il reste d’horizon est son troisième roman.
Jours de présence : Vendredi après-midi, samedi et dimanche
Frédéric Pillot est né en Moselle et habite à Strasbourg. Après des cours avec Claude Lapointe aux Arts décoratifs de Strasbourg, il exerce ses talents multiformes dans une grande diversité de créations (presse, BD, albums, romans, films d’animation et décors de lieux pour l’international) et expose dans des galeries.
Avec ses aquarelles et crayons, ou ses peintures acryliques, le virtuose Frédéric Pillot conforte ses succès : chez Magnard, Edmond et Lulu Vroumette (18 titres) avec Daniel Picouly, son compère sur la série des Little Piaf chez Albin Michel.
Une histoire à lire dans les deux sens pour voir la vie différemment !
Frédérique Hespel s’amuse à plonger ses héroïnes au cœur d’histoires aux mille rebondissements. La folie douce qui coule dans chacun de ses mots vous emportera dans un tourbillon de joie de vivre.
Une galerie de personnages attachants à découvrir de toute urgence ! C’est tout un petit monde qui vit au 30, Willow Road, résidence londonienne fièrement dressée entre les maisons géorgiennes et les devantures fleuries. Des habitants de 7 à 77 ans… Sans oublier un gros chat et un bonsaï amoureux de musique classique ! Tous ces habitants se croisent, cohabitent, se supportent et vivent ensemble selon un rythme bien défini… jusqu’au jour où Thomas fait son grand retour, bousculant leur quotidien. Heureusement, chacun peut compter sur l’autre et, à eux tous, ils sont sûrs d’atteindre leur but : trouver le bonheur, tout simplement ! Partageant son quotidien entre l’écriture et le cinéma, Frédérique Hespel s’amuse à plonger ses héros au cœur d’histoires aux mille rebondissements. Dans son dernier roman, on retrouve cette folie douce qui coule dans chacun de ses mots et qui vous emportera dans un tourbillon de joie de vivre. Histoire intégrale.
La Bourgogne et le Pinot noir ! Deux mots magiques, deux mots comme un sésame pour qui souhaite ouvrir en grand les portes du monde des vins fins. Bourguignon de naissance et très jeune attiré par ce qui touche au vivant, Gabriel Mangematin a eu tôt dans son parcours ces clés entre les mains. Et avec elles, il a ouvert bien des portes. Il nous fait le plaisir, par cet ouvrage, de partager ses découvertes. Car s’il fallait ajouter un autre mot magique à l’univers du vin ce serait inévitablement : partage !
Difficile, capricieux, dit-on du pinot noir. Certes mais rarement ingrat. Le succès qui l’entoure chaque fois qu’il est placé dans des conditions qu’il affectionne – des fins de maturations sans excès de chaleur et des nuits fraiches – le démontre. Mais la condition première de sa réussite reste certainement d’être confié aux mains de vignerons inspirés, sensibles aux terroirs sur lesquels ils évoluent.
A ce jour, la plus vieille mention de ce cépage date de 1366. Elle a été observée par le chercheur Thomas Labbé dans un livre de compte de l’archevêque de Sens, en Bourgogne bien-sûr. Son existence est certainement bien plus ancienne : les ampélographes estiment que sa sélection remonte à deux mille ans environ, sans que l’on puisse jurer de son lieu de naissance.
Certains vante l’élégance, la grande subtilité aromatique du pinot noir. Ce sont bien là ces qualités primaires. Mais pour qui sait en approfondir la connaissance, la multiplicité de ses expressions en font principalement un messager sans équivalent du terroir. « Pinot noir et terroir font cause commune », écrit justement Gabriel Mangematin.
Ce cépage, transmetteur de la sensibilité du vigneron et de l’esprit du lieu dans lequel il est enraciné, incite donc naturellement à la rencontre et au voyage. La mosaïque bourguignonne constitue un terrain d’aventure sans équivalent pour s’y adonner. Mais l’une des réussites de cet ouvrage est aussi de nous faire découvrir les expressions du pinot noir en dehors dans ses terroirs de prédilection : le reste de la France, l’Europe, le Monde… Sancerre, l’Alsace, la Suisse, l’Oregon, la Nouvelle-Zélande ; etc. Les amateurs de pinot noir, cépage que l’on a longtemps considéré casanier, sont donc devenus des globe-trotters en puissance. Ce livre a sa place toute trouvée dans leurs bagages !
Jours de présence : vendredi après-midi, samedi matin et dimanche après-midi
Gaëlle Charrier-Bretagne nous a bouleversés avec l’histoire d’Hélène, Prisonnière des Ombres… Elle revient nous séduire avec Jusqu’au bout du monde, son premier roman, un voyage fascinant au coeur des forêts malgaches. Mais aussi une expérience initiatique impressionnante !
Jusqu’au bout du monde
Jours de présence : Vendredi, samedi et dimanche
2023
Infirmière libérale dans la vie, Gaëlle Charrier-Bretagne est passionnée d’écriture.
Première parution chez Ella éditions en 2017 avec son roman d’aventure Jusqu’au bout du monde, un périple malgache en lien avec un voyage qu’elle a effectué il y a quelques années.
La sortie de son nouvel opus, Prisonnier des ombres, correspond à la date du Salon du livre vendéen 2020, le Refuge du Livre de GRASLA et elle aborde un grand virage puisqu’il s’agit d’un thriller psychologique. Ses très nombreux fans attendent avec une impatience grandissante sa prochaine publication.
Gaëlle Charrier-Bretagne nous a séduit avec Jusqu’au bout du monde, son premier roman et voyage fascinant au coeur des forêts malgaches, elle nous bouleverse maintenant avec l’histoire d’Hélène.
Un thriller psychologique profondément envoûtant ! Et bien sûr empli de rebondissements…
Jours de présence : vendredi, samedi et dimanche
2022
Gaëlle Charrier-Bretagne nous a séduit avec Jusqu’au bout du monde, ce voyage fascinant au coeur des forêts malgaches, elle nous bouleverse maintenant avec l’histoire d’Hélène.
Un thriller psychologique profondément envoûtant !
Et bien sûr empli de rebondissements…
« Hélène regarde le marronnier au centre de la cour. Le vent agite ses feuilles qui bruissent en cadence. Elle se laisse bercer par cette musique que les autres ne semblent pas entendre. À ses pieds, une pierre abritant une fourmilière. Les petits êtres s’activent avec frénésie, dans quel but ?
Hélène ne sait pas, elle se doute bien qu’il y a une raison à cela même si elle ne la comprend pas. Elle devine qu’ils doivent faire vite et bien, leur survie en dépend. »
« Samedi matin, pas un bruit dans la maison. C’est d’un pas feutré qu’Hélène avance et emprunte l’escalier. Le jour vient à peine de se lever, une lumière diffuse se fraie un chemin à travers les volets roulants mal jointés du salon. Bientôt, les effluves de la brioche grillée et du chocolat chaud envahissent le rez-de-chaussée. La nuit n’a pas été bonne, comme beaucoup l’ayant précédée. Des images se sont immiscées dans ses rêves d’enfant, mais Hélène ne peut pas en parler. Ce phénomène lui fait peur, alors elle a choisi de se taire. »
Gaëlle Pingault est novelliste, romancière, animatrice d’ateliers d’écriture, orthophoniste, Bretonne. Tout dépend du sens du vent ! Celui qu’elle préfère, c’est le noroit qui claque. Elle a été lauréate du festival du premier roman de Chambéry et du prix Lions club de littérature grand ouest pour son premier roman “Il n’y a pas internet au paradis”. “Les Cœurs imparfaits” est son deuxième roman.
Barbara est seule. Sa solitude a des allures de refuge ou de bastion, érigé dès l’enfance, pour tenir une mère imprévisible à distance. Quand le médecin de l’EHPAD « Les genêts » la convoque, ce passé qu’elle fuit la rattrape. Médecin en fin de carrière, Charles s’ennuie. Coincé dans sa vie, coincé dans son couple, voilà où l’ont conduit des choix par défaut. L’intransigeance de Barbara le contraint à faire face à ses propres petites lâchetés. Lise est aide-soignante. Elle s’impose une discipline rigoureuse, tente d’offrir aux résidents des Genêts des moments de partage arrachés à la cadence minutée des soins. Mais pour combien de temps ? Barbara, Charles, et Lise… Dans l’histoire de chacun, des empêchements sont venus enrayer la possibilité d’aimer librement. Autour de Rose, la mère absente, ces cœurs imparfaits se rencontrent et inaugurent des voies possibles de consolation.
Présente sur le salon le Vendredi après-midi, Samedi matin, Dimanche matin, Dimanche après-midi
Gaston Godard, né à Saint-Fulgent, est enseignant-chercheur en sciences de la Terre à l’Université de Paris.
Ce livre retrace la singularité de l’histoire viticole de la Vendée : la géologie et les premières traces de vin datant de l’Antiquité, mais aussi les traditions liées à la vigne, les vendanges, la cave où l’on reçoit les amis, les chansons à boire… Un livre très illustré.
Né en 1978, Gavin’s Ruiz est éditeur, chroniqueur et voyageur. Hispano-belge et de Pont-l’Evêque il vit aujourd’hui à Paris. Il n’a jamais fait de danse classique. Son père encore moins. Mais qui sait ? Comment papa est devenu danseuse étoile est son premier roman.
Que faire ? Si vous avez un jour appris une terrible nouvelle et décidez d’aller manger une côte de bœuf pour fêter ça,si vous avez envie d’être aux côtés de personnes que vous aimez quand vous en avez besoin,si vous avez toujours rêvé de retrouver l’amoureux de votre jeunesse,si vous voulez chanter (faux) sans qu’on vous regarde de travers,si vous avez un jour fait partie d’un club de plage, et que l’envie vous revient 50 ans plus tard : rejoignez le Club des Feignasses ! Rien ne prédisposait Béa, Alice, Sam, Greg et Elisabeth à se rencontrer. Pourtant, ces amoureux et cabossés de la vie, membres d’un club aussi curieux que chaleureux, apprennent vite à se connaître avec leurs failles, leurs richesses et leurs secrets.Un roman plein d’émotions, d’optimisme et de tendresse qu’anime une galerie de personnages attachants.