Bernard Minier, reconnu pour ses thrillers captivants et ses intrigues palpitantes, s’impose depuis plusieurs années comme l’une des voix majeures du roman noir français. Son premier roman, Glacé, paru en 2011, est unanimement plébiscité par le public et la critique. Cet ouvrage mettant en scène le commandant Servaz, devenu un personnage emblématique de l’auteur, remporte le prix du Festival de Cognac et est adapté en série télévisée.
Mêlant suspense, tension psychologique et intrigue policière, les romans de Bernard Minier sont aujourd’hui traduits dans de nombreuses langues et captivent des lecteurs du monde entier. En dix ans, il a vendu plus de 6 millions d’ouvrages, faisant de Bernard Minier l’un des auteurs les plus lus dans le pays. Son dernier roman Les Effacées est paru en 2024 aux Éditions XO et les droits de son roman Lucia ont été acquis pour une prochaine adaptation en série télévisée.
Agnès Abécassis est écrivain, mais a travaillé comme journaliste, illustratrice et scénariste.
Elle a publié 13 ouvrages à ce jour, tous des succès. Ses livres sont traduits en plusieurs langues. Parmi ses titres les plus connus, figurent notamment « Les tribulations d’une jeune divorcée », «Chouette, une ride ! », ou « Café ! Un garçon s’il vous plait».
Agnès Domergue est musicienne professionnelle. Elle enseigne l’alto en conservatoire et donne des concerts en musique de chambre. Elle a également une deuxième passion, la littérature jeunesse. Tout d’abord aux pinceaux avec Mee petite fille du matin calme, Agnès continue à l’écriture dans une trilogie de poésie japonaise, dont le recueil IL ETAIT UNE FOIS…CONTES EN HAÏKU chez Thierry Magnier a reçu le prix Sorcières. Avec un texte qui lui tient à cœur, ANIMAL TOTEM édité chez Hongfei, elle continue avec un premier scénario BD ENTRE NEIGE ET LOUP, qui reçoit le prix des écoles à Angoulême. De la toute petite enfance aux plus grands, Agnès aime aborder ses thèmes de prédilection du lien entre Homme et Animal.
Sur ses terres brûlées, le roi d’Automne vient d’exterminer le peuple des Kitsune, ces êtres mi-humains, mirenard. Désormais seule de son espèce, il ne reste rien à la jeune Kitsune, sinon un présent mystérieux que lui a confié la déesse du soleil : un morceau d’ambre. Hélas, les onibi, ces esprits malfaisants, lui dérobent aussitôt pour tout simplement lui proposer un pacte : l’ambre contre le coeur d’un enfant pur… Dans sa quête de vengeance, Kitsune va d’abord rencontrer Koyo, le petit prince du royaume d’Automne. À travers des terres sauvages, entre forêts et marécages, tous deux partent à la recherche de l’ambre volé… Kitsune est la dernière des kitsune. Koyo est le fils de son pire ennemi.
Jours de présence : vendredi, samedi, dimanche matin et début d’après-midi
Sage-femme jusqu’en 2015, Agnès Ledig se consacre désormais pleinement à l’écriture. Elle publie son premier roman, Marie d’en haut, en 2011, puis obtient le Prix Maison de la Presse en 2013 pour Juste avant le bonheur, paru chez Albin Michel, qui connaît un succès fulgurant (titre vendu à plus de 550 000 exemplaires à ce jour et traduit en 19 langues).
En quelques années, elle s’est imposée comme l’une des romancières les plus aimées du grand public. Elle a également écrit deux albums jeunesse, illustrés par Frédéric Pillot.
Après six romans, ses lecteurs font preuve d’une exceptionnelle fidélité.
Elle viendra présenter ses derniers ouvrages, Se le dire enfin, publié en février 2020 aux éditions Flammarion et sa nouvelle série Jeunesse, Mazette, dont les deux premiers titres paraîtront chez Flammarion début mars.
De retour de vacances, sur le parvis d’une gare, Édouard laisse derrière lui sa femme et sa valise. Un départ sans préméditation. Une vieille romancière anglaise en est le déclic, la forêt de Brocéliande le refuge. Là, dans une chambre d’hôtes environnée d’arbres centenaires, encore hagard de son geste insensé, il va rencontrer Gaëlle la douce, son fils Gauvain, enfermé dans le silence d’un terrible secret, Raymond et ses mots anciens, Adèle, jeune femme aussi mystérieuse qu’une légende. Et Platon, un chat philosophe. Qui sont ces êtres curieux et attachants ? Et lui, qui est-il vraiment ? S’il cherche dans cette nature puissante les raisons de son départ, il va surtout y retrouver sa raison d’être.
Se le dire enfin – Parution : 26 février 2020 – Éditions Flammarion
Agnès Martin-Lugand est l’auteure de dix romans, tous salués par le public et la critique : Les gens heureux lisent et boivent du café, Entre mes mains le bonheur se faufile, La vie est facile, ne t’inquiète pas, Désolée, je suis attendue, J’ai toujours cette musique dans la tête, À la lumière du petit matin, Une évidence, Nos résiliences, La Datcha, qui a obtenu le prix des Libraires 2021, et La Déraison. Avec plus de 4,5 millions d’exemplaires vendus, elle a conquis, en dix ans, le cœur des lecteurs en France comme à l’étranger.
À travers ce roman choral, Agnès Martin-Lugand poursuit avec le brio qui la caractérise son exploration de la psyché humaine. Un roman puissant, des personnages attachants avec lesquels les lecteurs ne manqueront pas d’entrer en résonnance.
Jours de présence : vendredi à partir de 16h, samedi et dimanche matin
2022
Agnès Martin-Lugand est l’auteure de sept romans, tous salués par le public et la critique : Les gens heureux lisent et boivent du café, Entre mes mains le bonheur se faufile, La vie est facile, ne t’inquiète pas, Désolée, je suis attendue, J’ai toujours cette musique dans la tête, À la lumière du petit matin et Une évidence. Avec plus de 3 millions d’exemplaires vendus, elle a conquis le cœur des lecteurs en France comme à l’étranger.
« Comprendrait-elle la déraison, le Grandiose destructeur que j’avais vécu et qui m’avait changée à jamais ? »
Une femme aux portes de la mort.
Un homme incapable d’en finir avec la vie.
Leurs deux voix s’élèvent tour à tour pour nous confier leur histoire, leurs maux, leurs démons, et plus que tout l’amour fou. Un amour qui inspire, réunit et sauve autant qu’il a pu détruire et séparer.
Agnès Michaux est écrivaine et traductrice. Elle est l’auteure d’une vingtaine de romans, parmi lesquels Codex Botticelli (Belfond, 2015), Journée exceptionnelle du déclin de Samuel Cramer (Belfond, 2016), Système (Belfond, 2017) et Roman noir (éditions Joëlle Losfeld, 2018) et de la trilogie La Fabrication des chiens (Belfond, 2020). Elle anime également des ateliers et stages d’écriture à l’école “Les Mots”.
Eté 1899. Dans un Paris sur l’avant-dernière marche du XIXe siècle, accablé parla canicule défiguré par les préparatifs de l’Exposition universelle de 1900, angoissé par la peste et déchiré par le procès Dreyfus, Louis Daumale, désormais photographe, tire le portrait de ses contemporains.
La bicyclette est reine, l’automobile fascine autant qu’elle incommode, le cinématographe enthousiasme, tandis qu’au premier étage du café de Flore se crée l’Action française et que les antisémites menés par Jules Guérin se barricadent au fort Chabrol. les tensions s’exacerbent, les haines fermentent, la colonisation s’infecte, la République vacille.
Quand aux chiens, ils ont désormais droit à leur cimetière à Asnières et on les prépare à la guerre…
Le deuxième volet de la trilogie La Fabrication des chiens, la suite des aventures de Louis Daumale, témoin d’une époque foisonnant où les chiens deviennent arme de guerre.
Alain Bach est auteur de plusieurs romans parus chez différents éditeurs. Deux ont obtenu des prix littéraires nationaux.
Un jeune officier de gendarmerie vendéen et républicain originaire des Sables d’Olonne mène en 1793 une enquête sur l’attaque meurtrière d’une malle-poste. Il ne se doute pas que cette enquête sera le point de départ d’une saga échevelée, où, piégé par naïveté, il sera entrainé par le courant puissant d’un torrent de passions, au cœur d’une guerre civile sans merci.
Alain Denizet est né en Eure-et-Loir. Ses ascendants ont leurs origines dans la terre de Beauce depuis le milieu du XVIIe siècle. Tous, sans exception, ont été agriculteurs. Il est le premier à rompre avec la tradition familiale. Il veut devenir professeur en collège.
De 1976 à 1981, il fait son cursus universitaire à l’Université François Rabelais à Tours. La rencontre avec Alain Corbin est déterminante dans son approche de l’histoire. Sous sa direction, il consacre son mémoire de maitrise au « corps dans les Rougon-Macquart de Zola », un travail sur l’intime, la séduction et les odeurs. Son premier livre, Enquête sur un paysan sans histoire reprend la démarche initiée par l’auteur de Louis-François Pinagot. Alain Corbin a préfacé son livre L’Affaire Brierre, un crime insensé à la Belle Epoque et a écrit de lui : “Il m’a été donné de suivre, depuis ses débuts, le travail d’Alain Denizet ; et je puis affirmer qu’il est celui d’un grand historien, de par le choix de ses objets, de par la manière de les analyser en profondeur et de les faire parler”
Alors que les débats font rage à propos de la loi sur la Séparation des Églises et de l’État, la disparition inexpliquée du curé Delarue le 24 juillet 1906 provoque un déferlement médiatique et un scandale hors-norme. Le fil rouge en est la morale sexuelle de l’Église, le célibat et la chasteté des prêtres ainsi que le devenir de leurs enfants. Histoire du passé, questions très actuelles.
Vendéen de toujours, Alain Perrocheau enseigna le français et d’Histoire en collège. pendant 40 ans à La Mothe-Achard. Engagé longtemps dans sa commune aussi bien que dans la Société des Ecrivains de Vendée, dont il est actuellement le Président, il a toujours fait de l’écriture une de ses raisons de vivre. En tant qu’écrivain, il est auteur d’une quinzaine de livres, trois recueils de poésie, six romans historiques, un livre de nouvelles pittoresques en patois vendéen et plusieurs ouvrages très liés à l’histoire de la Vendée. Ses deux derniers récits historiques racontent la vie de Catherine de Parthenay-Rohan, égérie de la cause protestante et permettent de parcourir toute l’histoire des Guerres de Religion.
Devenue Catherine de Rohan après son mariage avec René de Rohan, lui-même combattant de la cause protestante, la lettrée de la Renaissance Catherine de Parthenay vit une période heureuse au château de Blain. Vie de famille auprès de son mari, qui a cessé de participer aux Guerres de religion et de ses cinq enfants qu’elle instruit elle-même, dans les connaissances humanistes comme dans la foi réformée.
Mais les événements d’une France déchirée vont reprendre le dessus et la guerre va de nouveau briser ce bel équilibre. Demeurée seule auprès de ses enfants, elle connaît à nouveau une période difficile d’angoisse et d’insécurité. Seule l’arrivée d’Henri IV sur le trône, son ancien ami qu’elle ose pourtant critiquer, apporte la sérénité et la paix religieuse. Mais l’assassinat perpétré par Ravaillac laisse place aux intransigeants seigneurs catholiques qui relancent les guerres. Les fils de Catherine se trouvent alors au cœur des luttes et lui causent de nouvelles inquiétudes.
Alain Perrocheau poursuit dans ce livre, entre biographie et roman historique, le récit de la vie d’une femme ardente et déterminée qui n’a cessé d’exprimer hautement ses avis et d’affirmer en toute probité ses convictions religieuses et sa liberté de pensée.
Vendéen de toujours, ancien professeur d’Histoire en collège, engagé dans sa commune aussi bien que dans la Société des Ecrivains de Vendée, Alain Perrocheau a toujours fait de l’écriture une de ses raisons de vivre.
Il est l’auteur d’une quinzaine de livres dont trois recueils de poésie, six romans historiques, un livre de nouvelles pittoresques en patois vendéen et quelques ouvrages très liés à l’histoire de la Vendée, un parcours sur le XXe siècle au travers des principaux événements vendéens, réalisé en collaboration avec Philippe Gilbert.
À travers l’Histoire et anthologie de la poésie en Vendée, il s’est intéressé à l’histoire littéraire du pays, en se fixant pour but de donner à voir le parcours des poètes vendéens depuis le XVIe siècle.
Aujourd’hui, Alain Perrocheau est président de la Société des Ecrivains de Vendée.
Journaliste et producteur, Alex Taylor a animé de nombreuses émissions. D’abord à FG puis pour France 3 (avec la célèbre émission « Continentales »), Pink TV et Arte.
Journaliste à France Inter, à la BBC et à Vox (Allemagne), il a aussi été le directeur des programmes de RFI.
Il a publié le Journal d’un apprenti pervers (Lattès, 2007) et Bouche bée, tout ouïe (Lattès, 2010).
De septembre 2010 à juin 2011, il co-présente la tranche matinale de France Musique, avant d’animer sur cette même antenne une émission de rencontres « Voyage en moi Majeur ».
Il a animé aussi sur France Inter la revue de presse internationale.
Alexandra Koszelyk est professeure de Lettres Classiques. Diplômée à l’Université de Caen Normandie (1995-2001), elle travaille à Saint-Germain-en-Laye depuis 2001. “À crier dans les ruines” (2019) est son premier roman.
Tchernobyl, 1986. Lena et Ivan sont deux adolescents qui s’aiment. Ils vivent dans un pays merveilleux, entre une modernité triomphante et une nature bienveillante. C’est alors qu’un incendie, dans la centrale nucléaire, bouleverse leur destin. Les deux amoureux sont sépares. Lena part avec sa famille en France, convaincue qu’Ivan est mort. Ivan, de son côté, ne peut s’éloigner de la zone, de sa terre qui, même sacrifiée, reste le pays de ses ancêtres. Il attend le retour de sa bien-aimée. Lena grandit dans un pays qui n’est pas le sien. Elle s’efforce d’oublier. Un jour, tout ce qui est enfoui remonte, revient, et elle part retrouver ce qu’elle a quitté vingt ans plus tôt.
Alexandra Pichard est née en 1985 à Poitiers. Diplômée de l’école supérieure des Arts Décoratifs de Strasbourg en 2009, elle publie la même année son premier album, Herman et Dominique. Elle a illustré (parfois écrit et illustré) plusieurs livres pour la jeunesse aux éditions hélium, Autrement, Flammarion, Magnard, Gallimard et travaillé pour la presse adulte (revue XXI, The New York Times). Elle vit à Strasbourg.
Dans le jardin d’une grande ville enneigée, un enfant fait un bonhomme de neige qu’il appelle Ulysse. Mais les choses commencent mal pour Ulysse : d’abord, la neige en ville, ça ne tient jamais. Et puis les enfants le délaissent bien vite. Alors, il s’évade en pensées. Rêve d’aller vivre la grande vie. De flâner en ville, d’aller chez le coiffeur et même de trouver l’amour qui fera fondre son coeur (mais pas que son coeur, hélas…)
Alexandra Pichard nous livre une fois de plus un album intelligent, beau et plein d’humour. Les enfants, habitués à inventer des histoires aux « bonhommes » divers qui les entourent, ne s’étonneront guère qu’un bonhomme de neige fonde d’amour… Ils naviguent avec aisance entre réalité et imaginaire, tout comme Alexandra Pichard !
Jours de présence : vendredi, samedi et dimanche matin