Bernard Minier, reconnu pour ses thrillers captivants et ses intrigues palpitantes, s’impose depuis plusieurs années comme l’une des voix majeures du roman noir français. Son premier roman, Glacé, paru en 2011, est unanimement plébiscité par le public et la critique. Cet ouvrage mettant en scène le commandant Servaz, devenu un personnage emblématique de l’auteur, remporte le prix du Festival de Cognac et est adapté en série télévisée.
Mêlant suspense, tension psychologique et intrigue policière, les romans de Bernard Minier sont aujourd’hui traduits dans de nombreuses langues et captivent des lecteurs du monde entier. En dix ans, il a vendu plus de 6 millions d’ouvrages, faisant de Bernard Minier l’un des auteurs les plus lus dans le pays. Son dernier roman Les Effacées est paru en 2024 aux Éditions XO et les droits de son roman Lucia ont été acquis pour une prochaine adaptation en série télévisée.
Après une maîtrise de Lettres à la Sorbonne, Claire Berest publie son premier roman Mikado à 27 ans. Suivront deux autres romans, L’orchestre vide et Bellevue (Stock, 2016) et deux essais, La lutte des classes,pourquoi j’ai démissionné de l’Éducation nationale, et Enfants perdus, enquête à la brigade des mineurs. En 2017, elle écrit Gabriële avec Anne Berest. En 2019 paraît Rien n’est noir, pour lequel elle reçoit le Grand Prix des lectrices ELLE 2020
Abel Bac, flic solitaire et bourru, évolue dans une atmosphère étrange depuis qu’il a été suspendu. Son identité déjà incertaine semble se dissoudre entre cauchemars et déambulations nocturnes dans Paris. Reclus dans son appartement, il n’a plus qu’une préoccupation : sa collection d’orchidées, dont il prend soin chaque jour.
C’est cette errance que vient interrompre Elsa, sa voisine, lorsqu’elle atterrit ivre morte un soir devant sa porte.
C’est cette bulle que vient percer Camille Pierrat, sa collègue, inquiète de son absence inexpliquée.
C’est son fragile équilibre que viennent mettre en péril des événements mystérieux qui se produisent dans les musées parisiens et qui semblent tous avoir un lien avec Abel.
Pourquoi Abel a-t-il été mis à pied ?
Qui a fait rentrer par effraction un cheval à Beaubourg ?
Qui dépose des exemplaires du Parisien où figure ce même cheval sur le palier d’Abel ?
À quel passé tragique ces coïncidences le renvoient-elles ?
Cette série de perturbations va le mener inexorablement vers Mila, artiste internationale mystérieuse et anonyme qui enflamme les foules et le milieu de l’art contemporain à coups de performances choc. Pris dans l’œil du cyclone, le policier déchu mène l’enquête à tâtons, aidé, qu’il le veuille ou non de Camille et d’Elsa.
Crédit Photo : Astrid di Collalanza
Jours de présence : Vendredi après-midi et samedi matin
Claire Deya est une scénariste et autrice française. Un monde à refaire est son premier roman.
A Hyères, comme sur toute la Côte d’Azur, l’été 1945 a un goût doux-amer : la guerre est finie mais les plages regorgent de mines laissées par les Allemands.
Vincent fait partie de ces courageux démineurs, pour qui le danger est toujours présent, une explosion peut survenir à tout moment.
Comme d’autres, il est à la recherche d’un proche disparu pendant la guerre.
Mais pour retrouver Ariane, la femme qu’il aime, la seule piste se trouve du côté des prisonniers allemands, utilisés comme chair à canon au service de déminage de la ville. Jusqu’où peut-il aller pour retrouver sa trace ?
Dans un premier roman puissant, Claire Deya brosse le portrait tout en fragilités et meurtrissures de la France de l’immédiat après-guerre. Une fresque romanesque puissante, où les récits croisés nous content un autre versant de la reconstruction, douloureux mais plein d’espérance.
CLAIRE FAVAN est l’autrice, entre autres, du diptyque composé du Tueur intime (Prix VSD du Polar 2010 Prix Sang pour Sang Polar 2011 et du Tueur de l’ombre, de Serre moi fort (Prix Griffe Noire du meilleur polar français 2016 et, récemment, des Cicatrices, de La Chair de sa chair (Prix des Petits Mots des libraires 2021 Grand Prix du Festival Sans Nom 2021 et De nulle part (Prix Cigogne Noire 2023 Grand Prix Noir Charbon 2023 Roman après roman, elle poursuit son exploration des contre jours de l’humanité
Il y a Alex, orphelin de mère et fils de flic. Et puis il y a Jules, élevé par une femme seule auprès de sa soeur handicapée. Deux cousins unis par un lourd secret. À moins de quinze ans, ils portent deux morts sur la conscience celles d’une jeune conductrice et son bébé. Un coupable : Jules. Mais parce qu’il l’a bêtement poussé à commettre l’irréparable, Alex s’est mis en tête de le protéger.
Alors quand deux ans plus tard, au cours d’une soirée alcoolisée, les deux garçons se retrouvent avec le cadavre d’une camarade de lycée sur les bras, c’est au père d’Alex de faire disparaître les preuves. Une décision qui lui coûtera cher.
Dans cette trajectoire inéluctable vers le crime, un nouveau drame survient et l’un des deux cousins est envoyé en prison. Qu’est ce qui pousse ce gamin à se laisser accuser en préférant le silence ? C’est ce que va tenter d’éclaircir la capitaine de police Corinne Jarety bien déterminée à mener ce qui se révélera une suffocante chasse à l’homme.
Crédit photo : Melania Avanzato
Jours de présence : vendredi après-midi, samedi et dimanche
Claire Jéhanno a travaillé pendant dix ans dans la communication et l’édition. En indépendante, elle crée en 2018 l’un des premiers podcasts littéraires, PILE, qui connaît un beau succès. Lauréate de l’INALAB avec sa série audio F – Chroniques d’un féminisme ordinaire, sortie en 2021, et lauréate de la Villa Albertine en 2022, Claire a fait du podcast son métier. Elle est aujourd’hui autrice et productrice pour des marques, des médias et en jeunesse. La Jurée est son premier roman.
Résumé
Anna Zeller a été tirée au sort pour devenir jurée aux assises. Une expérience aussi vertigineuse qu’inédite.
Appelée à juger un couple au casier vierge dans un procès pour empoisonnement et meurtre, la jeune femme va voir resurgir son passé. Un passé qui la transporte vingt ans plus tôt, sur une aire de jeux en Bretagne. Le jour où Anna Boulanger est devenue Anna Zeller.
Les jurés ont une semaine pour décider du destin des accusés et s’emparer de leur troublante histoire. C’est aussi le temps qu’il faudra pour que bascule la vie d’Anna.
Grâce à la force des thèmes qu’elle aborde et à l’émotion convoquée par son écriture, Claire Norton a déjà su conquérir plus de 400 000 lecteurs. Après En ton âme et conscience, Malgré nous, Ces petits riens qui nous animent, Celle que je suis (Grand Prix des Lecteurs Pocket 2022), et Le Sens de nos pas (Prix Solidarité 2022), Par la force des choses est son sixième roman.
Élevée par une mère indépendante et féministe, Lisa n’a jamais cru au prince charmant. Son unique grand amour, c’est sa fille, Céleste. Et si elle a accepté de vivre avec Charles, le père de l’enfant, Lisa a toujours été honnête sur la réalité de ses sentiments : leur couple n’existe que pour leur fille. Une fois, une seule, son coeur a battu plus fort : le 12 juillet 1998, alors que des millions de personnes célébraient sur les Champs-Élysées la victoire de la France en Coupe du monde, elle a passé la nuit au milieu de la foule, électrisée au contact et aux côtés d’un bel inconnu. Elle y a repensé, souvent, cette nuit a hanté ses rêves… et puis les jours ont repris leur cours, dévoués à Céleste, comme si de rien n’était ; de toute façon, le « grand amour », Lisa n’y croit pas, n’est-ce pas ?
Mais le destin est têtu… Quelques années plus tard, lors d’une fête d’école, Lisa se retrouve nez à nez avec son inconnu. Victor pense comme elle : c’est un mythe, cette histoire de coup de foudre. Il n’est libre, lui non plus : marié, deux enfants petits. Ni l’un ni l’autre ne veulent foutre en l’air leurs familles, ni abîmer leur lien en se lançant dans une de ces liaisons banales comme il en existe tant. Et pourtant : comment résister à l’inexplicable attraction qui les pousse l’un vers l’autre, au risque de tout emporter sur son passage ? Comment tourner le dos à « sa moitié » quand la vie, année après année, la met sur votre chemin ?
Crédit photo : Astrid di Crollalanza
Jours de présence : vendredi, samedi et dimanche matin
Claire Vesin est née en 1977 à Champigny-sur-Marne. Après une adolescence aux États Unis et des études de médecine à Paris, elle décide d’exercer en banlieue parisienne, où elle vit aujourd’hui. Blanches est son premier roman.
Villedeuil, aux portes de Paris. Ses tours, ses habitants, et son hôpital. Jean-Claude y a passé toute sa carrière – jours comme nuits – au sein du service de chirurgie. Mélancolique et désormais solitaire, il reste passionné par cette ville comme par son métier. Laetitia y est née et y travaille, infirmière trop tendre pour l’âpreté de son poste à l’accueil des urgences. Aimée, jeune femme brillante autant que perdue, débute l’internat et décide d’effectuer son premier stage à Villedeuil, mue par des loyautés invisibles. Fabrice, médecin au SAMU, sera bientôt père mais fuit sa vie personnelle. Lors de ces mois vécus ensemble, leurs destins vont s’entremêler. Au sein d’un hôpital qui se fissure de toute part, ils partageront joies et échecs, détresse et amour du métier. Malgré les difficultés, ils tiennent, jusqu’à ce qu’une nuit, cet équilibre soit remis en question, bouleversant leurs vies.
Avec ce premier roman poignant, Claire Vesin nous fait entendre la voix vibrante de celles et ceux qui font l’hôpital public et sont marqués à jamais par le combat ordinaire mené pour soigner dignement.
En 2022, c’est l’éditrice et autrice Clara Dupont-Monod qui fera honneur au Printemps du Livre en assurant la présidence de cette 32e édition.
Son parcours
Après avoir fait khâgne au lycée Fénelon, Clara Dupont-Monod réalise une licence de lettres modernes à la Sorbonne où elle découvre le vieux français, matière dans laquelle elle décroche une maîtrise.
Une écrivaine multi-lauréate
Lauréate du Prix Femina roman français 2021, du Goncourt des Lycéens 2021 et du Prix Landerneau des lecteurs pour son dernier roman “S’adapter“, Clara Dupont-Monod a été, de nombreuses fois, saluée par la critique. Cet ouvrage, lumineux et touchant, raconte la naissance d’un enfant handicapé par sa fratrie.
En 2015, l’écrivaine a également remporté le Prix Ouest – prix décerné à l’occasion du Printemps du Livre – pour son ouvrage “Le roi disait que j’étais diable” qui met en scène la vie d’Aliénor d’Aquitaine.
Ses prix littéraires
2007 – Prix Laurent Bonelli “La passion selon Juette“
2014 – Prix magazine Point de vue “Le roi disait que j’étais diable“
2015 – Prix Ouest “Le roi disait que j’étais diable“
2021 – Prix Femina roman français “S’adapter“
2021 – Prix Goncourt des lycéens “S’adapter“
2021 – Prix Landerneau des lecteurs “S’adapter“
Ses ouvrages
“Eova Luciole” en 1998, Grasset.
“La folie du roi Marc” en 2000, Grasset.
“Histoire d’une prostituée” en 2003, Grasset.
“La passion selon Juette” en 2007, Grasset.
“Nestor rend les armes” en 2011, Sabine Wespieser.
“La révolte” en 2018, Stock.
“S’adapter” en 2021, Stock.
Crédit photo : Olivier Roller
Jours de présence : Vendredi après-midi, samedi et dimanche matin
Clarisse Sabard est née en 1984 dans une petite ville située en plein coeur du Berry. Après un bac littéraire, elle s’oriente vers le commerce. Lorsqu’un AVC la rattrape, elle décide de réaliser enfin son rêve : écrire. Elle est depuis l’autrice de douze romans, tous publiés aux éditions Charleston. Son premier roman, Les Lettres de Rose, a reçu le Prix du livre romantique en 2016.
Flora, Stella et Morgane sont cousines ; leurs grand-mères étaient soeurs. Lorsque Juliette, la dernière soeur de la lignée, décède, elle lègue sa maison en Normandie et la librairie attenante aux trois jeunes femmes. Flora, galeriste d’art à Los Angeles, reçoit un carton contenant des affaires ayant appartenu à sa grand-mère, Joséphine, qui a quitté son village normand au début des années 1920 pour devenir peintre…
Pour reconstituer son histoire, Flora devra se rendre en Normandie, mais aussi en Grèce, sur les traces d’un tableau disparu.
Crédit photo : Guillaume Poli
Jours de présence : vendredi après-midi, samedi et dimanche
2023
Clarisse Sabard est née en 1984 dans une petite ville située en plein cœur du Berry. Après un bac littéraire, elle s’oriente vers le commerce. Lorsqu’un AVC la rattrape, elle décide de réaliser enfin son rêve : écrire. Son premier roman, Les Lettres de Rose, a reçu le Prix du Livre Romantique en 2016. Passionnée de littérature et de voyages, elle vit aujourd’hui à Angers et se consacre à l’écriture. Un air d’éternité est son douzième roman publié aux éditions Charleston.
Dans un recoin caché du grenier de son grand-père, Lisa découvre le journal intime de la tante de ce dernier.
En se plongeant dans les pages jaunies, elle apprend qu’Aurélia et sa soeur Marie ont participé activement à des réseaux de Résistance. Au coeur du maquis, les deux soeurs ont uni leurs forces contre l’occupation allemande, jusqu’à ce qu’un drame bouleverse leurs vies à jamais…
Jours de présence : Vendredi après-midi, samedi et dimanche
Crédit photo :
2022
Clarisse Sabard est née en 1984 dans une petite ville située en plein cœur du Berry. Après un bac littéraire, elle s’oriente vers le commerce. Un AVC la rattrape et elle décide de réaliser enfin son rêve : écrire. Passionnée de littérature et de voyages, elle vit aujourd’hui à Nice et se consacre à l’écriture. Son premier roman, Les Lettres de Rose, a reçu le Prix du Livre Romantique en 2016. Elle est également l’auteure de La Plage de la mariée, La Vie est belle et drôle à la fois, La Vie a plus d’imagination que nous et Ceux qui voulaient voir la mer, aux éditions Charleston.
New York, 1987. Chroniqueuse musicale pour un journal, Abby ne sait plus où elle en est. Depuis qu’elle essaie désespérément de tomber enceinte, ses relations avec son mari sont de plus en plus tendues. Sur un coup de tête, elle fait ses valises pour la région de Cork, en Irlande, où vit Caitlin, sa mère, une célèbre actrice qui l’a confiée à sa grand-mère Lucy quand elle était bébé. Un soir, Caitlin lui remet une valise remplie de cassettes audio enregistrées par Lucy. Celle-ci y raconte sa vie d’Irlandaise émigrée à New York au début du xxe siècle. Une histoire qui pourrait bien changer le cours de la vie d’Abby…
Ce voyage sur la terre de ses ancêtres lui permettra-t-il de faire la paix avec elle-même ?
Crédit photo : Guillaume Poli
Jours de présence : Vendredi après-midi, samedi et dimanche
2020
2018. La vie de Jo vole en éclats suite à ce qui ne semblait être qu’un banal accident sans gravité ; pourtant, un scanner révèle qu’un anévrisme risque de se rompre à tout moment. Le neurologue lui laisse le choix : elle peut être opérée, mais les risques sont importants. Persuadée qu’elle va mourir, Jo se réfugie chez Victor, son grand-père. Ce dernier va lui montrer un pendentif qu’il a reçu d’Angleterre quelques années plus tôt, avec pour seule explication ce mot griffonné sur une feuille : « De la part de Charlotte, qui n’a jamais oublié Gabriel. Ce souvenir vous revient de droit. » Victor lui révèle que Gabriel était son frère aîné, décédé lorsqu’il était enfant. Jo décide de se rendre à Ilfracombe, dans le Devonshire, afin d’aider son grand-père à résoudre ce mystère, et surtout, de réfléchir à la décision qu’elle doit prendre…
1929. Charlotte et son mari, Émile, quittent leur vignoble d’Épernay pour un voyage d’affaires à New York. Sur place, la jeune femme s’éprend de Ryan, un mystérieux homme d’affaires. Lorsqu’il se rend compte de cette trahison, Émile entre dans une rage folle, la frappe et la laisse pour morte. À son réveil, Charlotte se rend compte que son mari est parti ; pire, il lui a pris tous ses papiers. Elle est effondrée : son fils de quatre mois, Gabriel, est resté en France, et sans papiers, elle ne peut pas le rejoindre…
Claudine Desmarteau est romancière et illustratrice. Elle a publié plus d’une vingtaine de livres jeunesse. Elle signe ici son premier roman adulte.
Raphaël, devenu adulte, se souvient. Ils avaient seize ans. Lui, Kevin, Ryan, Idriss et les autres : une bande de garçons soudés comme des frères, qui se connaissaient depuis l’enfance – sauf Quentin, dit « Queue-de-rat », débarqué au collège. Le dernier arrivé devient le bouc émissaire. Parce que, quand on est adolescent il faut parfois quelqu’un à rabaisser pour se sentir supérieur. Les journées sont longues dans cette petite ville. On en a vite fait le tour. Leur vie est rythmée par les longues soirées à fumer des joints dans un jardin ouvrier, les petits vols, la voiture empruntée, les rivalités amoureuses, les défis inspirés de vidéos américaines. Ils zonent, s’ennuient, testent leurs limites… jusqu’au drame.
Claudine Desmarteau signe un livre d’une grande tension sur cet âge de tous les extrêmes et cette culpabilité qu’adulte on porte en soi. Chaque page est un pas de plus vers l’issue qu’on devine fatale.
Assistante collaboratrice de son mari médecin généraliste dans la Sarthe, Claudine Maubrun a conjointement élevé ses quatre enfants. Aujourd’hui, grand-mère de 3 petits enfants, elle a pris sa retraite sur le littoral Vendéen. Elle y réalise son rêve d’enfance : l’écriture. Dans Son premier Deux ans, deux mois, deux jours paru en 2020, elle y raconte l’enfance et la jeunesse d’une petite fille de la DASS dans une famille d’accueil. Un deuxième roman sur les secrets de famille dont l’action se situe à Luçon devrait paraître prochainement. Un troisième est en cours d’écriture.
Quand Marie sort des bureaux de la DASS, elle a exactement “Deux ans, deux mois, deux jours”. Elle tient la main de sa nouvelle Maman, et a toute la vie devant elle. Un Papa l’attend dans une traction avant, et va l’emmener vers leur maison, dans un village au bord de La Loire. Une nouvelle vie commence alors pour elle, avec des gens simples et travailleurs. Un récit peuplé de personnages haut en couleurs, plein d’émotions et de sensibilité.
Clémence Castel est une aventurière. Elle a remporté deux fois Koh Lanta sur TF1 et publie son premier livre « Aller jusqu’au bout, comment se dépasser au quotidien en restant soi-même ».