Bernard Minier, reconnu pour ses thrillers captivants et ses intrigues palpitantes, s’impose depuis plusieurs années comme l’une des voix majeures du roman noir français. Son premier roman, Glacé, paru en 2011, est unanimement plébiscité par le public et la critique. Cet ouvrage mettant en scène le commandant Servaz, devenu un personnage emblématique de l’auteur, remporte le prix du Festival de Cognac et est adapté en série télévisée.
Mêlant suspense, tension psychologique et intrigue policière, les romans de Bernard Minier sont aujourd’hui traduits dans de nombreuses langues et captivent des lecteurs du monde entier. En dix ans, il a vendu plus de 6 millions d’ouvrages, faisant de Bernard Minier l’un des auteurs les plus lus dans le pays. Son dernier roman Les Effacées est paru en 2024 aux Éditions XO et les droits de son roman Lucia ont été acquis pour une prochaine adaptation en série télévisée.
Normalienne, agrégée de lettres modernes et cinéaste, Charlotte Erlih a enseigné les arts du spectacle à l’université de Nanterre, avant de se consacrer à l’écriture et à la réalisation.
Chez Actes Sud junior, elle est l’auteur de Bacha Posh (récompensé par de nombreux prix dont le prix NRP et le prix Sésame), 20 pieds sous terre (prix des lycéens allemands), Highline (prix Jean-Claude Izzo), Coupée en deux et J’ai tué un homme. En 2020 et 2021, paraît Darling une série en 4 épisodes écrite avec Julien Dufresne-Lamy. Aux éditions Talents Hauts, elle a publié également deux albums avec
Marjolaine Leray (Comme tout le monde) et Chloé Fraser (La Belle Airelle). Elle mène en parallèle une carrière en littérature générale (Funambules, aux éditions Grasset).
Née en 1998 en Vendée, Charlotte Gaborieau a toujours été passionnée de lecture et d’écriture – les ébauches de textes qu’elle a conservées sont multiples, certaines très anciennes, et « assez drôles maintenant que le temps a passé ».
Après un bac littéraire, elle effectue une année de classe préparatoire et intègre finalement l’université de Nantes pour une licence de Lettres Modernes et d’Anglais. Sa tête toujours en ébullition, elle prévoit d’écrire de nombreux livres. Son genre de prédilection, à l’origine, est la fantasy, mais les années passant elle a appris à aduler de nombreux autres genres (aventure, policier, polar, contes). Il y aura toujours “quelque chose d’inexplicable” dans ses histoires…
“Désorientée et amnésique, Analea se réveille au fond d’une rivière chaotique. Sauvée de la noyade par le jeune chevalier de l’Ombre Aeron, elle découvre l’histoire de Lewsyn, son monde déchiré et l’existence d’Yrazia, une sorcière sanguinaire. À la tête d’une grande armée, cette dernière n’a qu’une idée en tête, contrôler tous les territoires et toutes les créatures magiques.
“Vierge de tout souvenir, mais dotée de fantastiques pouvoirs, Ana deviendra bien vite la victime d’enjeux qui la dépassent.
Découvrira-t-elle son identité ? Saura-t-elle faire face à la violence de ce monde divisé ou deviendra-t-elle l’Arme de la destruction ?”
Humoriste d’origine suisse, Charlotte Gabris se passionne très rapidement pour les arts de la scène. À 5 ans, la jeune femme pratique avec passion la danse avant de découvrir le théâtre à l’âge de 8 ans. Rapidement, elle intègre un conservatoire où elle perfectionne son jeu d’actrice. À l’aise sur les planches, Charlotte réussit à jouer autant dans des pièces contemporaines que dans des pièces classiques. À 17 ans, elle décide de sauter le pas en écrivant son propre spectacle J’en ai marre qu’elle joue dans plusieurs théâtres à Lausanne. Le succès est immédiat et la jeune femme ne tarde pas à s’installer à Paris.
En 2006, alors qu’elle n’a que 19 ans, elle intègre La Grosse émission sur la chaîne Comédie ! où elle révèle son talent d’humoriste. 3 ans plus tard, elle rejoint l’équipe de Laurent Ruquier dans son émission On va s’gêner le temps d’une saison. En parallèle, elle se lance également à la télévision et au cinéma où elle collabore très souvent avec Philippe Lacheau. Elle apparaît ainsi dans ses deux films Babysitting et Babysitting 2 avant de le retrouver dans la comédie Epouse-moi mon pote en 2017. L’année suivante, elle est à l’affiche de Spirou et Fantasio, l’adaptation des aventures du petit Spirou.
Paris, une terrasse de café ensoleillée. C’est l’heure du déjeuner, les gens font la queue. Les salades sont immangeables, une tasse de thé coûte huit euros, le personnel est abject. Mais les gens font la queue.
Une jeune provinciale est attablée, seule. À ses côtés, une Parisienne attend son amoureux qui tarde à la rejoindre.
Deux femmes qui n’ont a priori rien…
Charlotte Wolf est une jeune et talentueuse dessinatrice de BD, elle a participé à différents collectifs chez Petit à Petit, Guide de Nantes en BD, la série Nantes en BD et au tout premier manga de Petit à Petit, Découvrir Tokyo en Manga.
16 mangaka japonais vous font découvrir la ville la plus fascinante d’Asie, quartier par quartier, dans ce Docu-Manga fabriqué dans la tradition japonaise. Pour la première fois en langue française, un ouvrage conjugue récits dessinés et pages documentaires pour vous offrir les clés de la capitale japonaise. Seize mangaka – huit femmes et huit hommes, toutes et tous Japonais – ont mis leur talent de raconteurs d’histoires au service de ce projet inédit, pour redécouvrir quartier par quartier, en 30 chapitres et autant de récits originaux, l’essentiel de la ville la plus fascinante d’Asie. En écho à leurs petites et grandes histoires de Tokyo, d’hier et d’aujourd’hui, découvrez conseils pratiques, cartes, adresses, astuces : à chaque quartier sa sélection d’incontournables à ne surtout pas rater.
Chloé Nabédian est journaliste spécialisée en météorologie et climat sur France 2 depuis 2016. Elle présente les journaux météo du 13 heures et du 20 heures, et participe
aux éditions spéciales de la rédaction.
Des pierres qui bougent toutes seules dans la vallée de la mort, un volcan qui déverse de la boue en continue depuis treize ans, un orage qui tombe chaque soir au même endroit pendant dix heures, des glaciers qui refusent de fondre, des animaux pétrifiés au contact d’un lac… Aux quatre coins de la planète, il existe des phénomènes naturels extraordinaires que la science peine à expliquer.
Pendant des dizaines, parfois des centaines d’années, des experts du monde entier se sont confrontés aux légendes qui les entourent. Toutes sortes d’hypothèses scientifiques ont vu le jour. Aujourd’hui, géologues, physiciens, climatologues, biologistes… sont enfin parvenus à expliquer certains de ces phénomènes hors du commun.
Au travers d’études étonnantes, qui repoussent les limites de la science telle qu’ils l’envisageaient, ils ont résolu – ou presque – ces grands mystères de la nature.
Chloé Nabédian nous entraîne sur le terrain, à leurs côtés, pour découvrir comment ils y sont parvenus.
Jours de présence : Samedi et dimanche
Crédit photo :
2020
Chloé Nabédian est journaliste spécialisée en météo, climat et environnement sur France 2 depuis 2016. Elle présente les journaux météo du 13 heures et du 20 heures, et participe aux éditions spéciales de la rédaction. Elle a co-animé en prime-time le magazine « Au coeur des éléments ». En 2017, elle a également été choisie par l’Organisation météorologique mondiale, pour représenter la France dans une grande campagne visant à sensibiliser le public sur le réchauffement climatique.
Au fil de l’Histoire, les phénomènes météorologiques extrêmes – tempête, inondation, avalanche, blizzard, cyclone, tornade, canicule… – ont toujours existé mais aujourd’hui nous avons la sensation qu’ils deviennent de plus en plus nombreux et intenses. La météo deviendrait-elle folle ?
Pour répondre à ces questions, Chloé Nabédian a rencontré des professionnels de la météo, scientifiques, ingénieurs… et réalisé des entretiens avec des navigateurs, explorateurs, astronautes, chasseurs d’ouragans de l’armée de l’air… qui lui ont ouvert les portes de leurs métiers hors du commun et livré leurs expériences de terrain.
Une enquête fouillée qui aborde les phénomènes du passé les plus marquants, décrypte leurs mécanismes, et étudie, en s’appuyant sur les recherches des spécialistes, leur évolution en France.
Christian Berjon est né en 1943 à Chantonnay (Vendée). Il exerça pendant plus de quarante ans la profession de chirurgien-dentiste dans ce département en partageant ses loisirs entre la photographie, la composition de chansons qu’il interpréta et l’édition de poésie (Soc et Foc) dont il fut l’un des fondateurs et animateurs de 1979 à 2020. Aussi la nuit est son huitième livre publié.
Aussi la nuit :
Aussi la nuit, ce recueil de nouvelles aurait pu s’intituler Intérieur-Nuit, expression qu’on retrouve dans les découpages cinématographiques, ces nouvelles se déroulant, pour leur majorité, en intérieur et la nuit. Certaines de ces nouvelles sont courtes, même très courtes et l’ensemble se termine par quelques Chroniques Post-Covid.
Christian Carayon est un auteur français, originaire du Sud-Ouest ; agrégé d’histoire, il enseigne en lycée depuis plus de vingt ans. Son premier roman, Le Diable sur les épaules, a été finaliste du prix Ça m’intéresse Histoire. Il a ensuite signé chez Fleuve noir Les Naufragés hurleurs (2014), Un souffle, une ombre (2016) et Torrents (2018). Les Saisons d’après est son cinquième roman.
Charlotte a quarante-cinq ans, elle vient de perdre son mari et décide de tout quitter : son poste de professeur de lettres, sa maison et ses parents, qui ne le lui pardonneront certainement jamais. Elle va passer neuf mois à Lighthouse, une résidence d’écrivain sur les hauteurs de Trébeurden. Neuf mois pour tenter de renaître et retrouver l’envie d’écrire.
Mais Lighthouse n’est pas une résidence comme les autres. Entièrement financée par un mystérieux auteur de best-sellers surnommé WXM, elle exige quelques contreparties. Entre des ateliers d’écriture auxquels participent de singuliers personnages, des séances de cinéma particulièrement animées et des rendez-vous avec une directrice aussi secrète que son mécène, Charlotte retrouve vite sa curiosité perdue. En plongeant dans le passé sulfureux de WXM sur lequel d’étranges rumeurs circulent, elle commence à réveiller les vieux souvenirs de
sa propre enfance…
Crédit photo : Mélanie Avanzato
Jours de présence : vendredi et samedi
2020
1925. Tout semble si déréglé qu’une prédiction qui annonce la fin des temps au solstice d’hiver se fait de plus en plus entendre. Pour Martial de la Boissière, cette fin des temps correspond plutôt au naufrage d’un voilier au large de l’île de Bréhat. Celui-ci emporte son ami d’enfance et, ainsi, le dernier fil qui le reliait à celle-ci. Mais, quand Martial se décide à creuser un peu, il découvre que l’accident n’en est peut-être pas un. Dès lors, son enquête ne va cesser de le ramener sur cette île aux deux visages, où les secrets d’une riche famille viennent côtoyer les rumeurs de sorcellerie, tout en le poussant à affronter sa propre part d’ombre. Et à comprendre qu’il n’y a pas qu’en mer que l’on déplore des naufragés.
Christian Cuny est né en 1951. Photographe illustrateur à l’agence RAPHO (Robert Doisneau, Willy Ronis, Sabine Weiss, Janine Niépce, etc.). Désormais, il se consacre au dessin et à la peinture tout en rédigeant des articles scientifiques pour des revues locales. Sa passion pour l’écriture le mène à écrire des nouvelles – il préfère le terme « Short Stories » qui lui paraît plus approprié à la brièveté et à la concision que nécessite le genre. Son premier « polar » vient de paraître avec « La P’tite Hélène Éditions ». Un autre roman « Piqué à mort ! » est en cours de finition ainsi que deux recueils de nouvelles.
Lorsque Ivan, un officier de la DGSI, débarque à Nice il est loin de se douter que sa rencontre fortuite avec une prostituée va quelque peu bouleverser son programme… Et si… et si… ? « Le petit tailleur bleu ciel » est un anti-polar réaliste, avec des anti-héros au professionnalisme incontestable mais parfois à l’humour décapant. Un véritable vagabondage dans le décor fascinant de Nice et ses environs… Bien que celui-ci rentre dans la catégorie « polar », il sort « un peu, beaucoup » des poncifs traditionnels… Pas de sang, pas d’enquête au sens traditionnel, juste les incertitudes et les errements d’un agent du renseignement intérieur… et de l’auteur ! Pourtant, cette fiction, apparemment délirante, se rapproche, au fur et à mesure de son déroulement, de la dure réalité du quotidien de nos fonctionnaires de police.
Cévenol d’adoption et de coeur, Christian Laborie vit entre Alès et Anduze. Auteur incontournable du roman populaire, il a écrit de nombreuses sagas dont Les Rives Blanches, Prix de l’Académie cévenole Le Cabri d’Or 2013, Les Rochefort, La Promesse à Élise, Les Enfants de Val Fleuri et Les Fiancés de l’été.
2060, c’est demain. Le dérèglement climatique a poursuivi son oeuvre, tout comme la désertification des campagnes et la concentration urbaine. Simon, journaliste, son épouse Lise et leurs deux enfants ont quitté la ville et ses désagréments – pollution, insécurité – pour s’installer dans un mas perché dans les Cévennes où ils coulent des jours heureux, proches de la nature. Soudain, sans crier gare, sur toute la planète l’apocalypse se déchaîne : des trombes d’eau se déversent du ciel et bientôt tout est submergé. Les lits des cours d’eau débordent, les villes sont noyées, les survivants se réfugient au sommet des immeubles. Dans la montagne, Simon et les siens voient le niveau d’eau monter inexorablement et ne trouvent le salut qu’en investissant le grenier de leur mas. Piégés sur leur îlot précaire, coupés d’un monde qui a sombré dans le chaos, ils organisent la survie face aux périls qui les menacent : rats, torrents ravageurs, pénurie de vivres… Quand enfin un semblant de calme revient, Simon embarque sur un frêle canot à la recherche de secours et de ce qu’il reste de civilisation…
Crédit photo : Philippe Matras
Jours de présence : Vendredi, samedi et dimanche
2020
Né dans le nord de la France, Christian Laborie est cévenol de cœur depuis plus de trente ans. Il a notamment publié Les Rives Blanches, Les Sarments de la colère et aussi la grande saga de la famille Rochefort, qui comprend Les Rochefort, L’Enfant rebelle, Le Goût du soleil, La Promesse à Elise et L’Héritier du secret. Tous ont paru aux Presses de la Cité.
En 1975, Sarah Goldberg, attachée diplomatique à l’ONU, à Lausanne, est convoquée par le notaire d’une petite ville cévenole. Elle croit à une erreur : elle n’y connaît personne. Toutefois elle se rend à Saint-Jean-du-Gard et apprend que sa mère est l’héritière de la maison de Lucie Fontanes. Ana étant décédée, Sarah est donc la nouvelle bénéficiaire du testament. Prenant possession de la maison, elle découvre une étrange inscription sur le mur de la cuisine : « Ne cherchez pas à savoir ». Elle trouve également une trappe donnant accès à une cave, qui, devine-t-elle, a pu servir de refuge durant la guerre. Derrière une pierre descellée a été caché un cahier d’écolier : le journal d’Ana, sa mère.
Défilent alors sous ses yeux tous les détails de la vie d’errance de la famille Goldberg, depuis la fin des années 1920 jusqu’en 1943…
Christian Péaud est né à Pouzauges (85) en 1959. Il a fait sa carrière dans l’enseignement primaire. Il est passionné d’histoire surtout l’histoire locale. C’est l’une de ses recherches qui l’a amené à étudier l’accueil des enfants trouvés et abandonnés en Vendée au 19ème siècle car plus de 200 enfants ont été accueillis en nourrice dans les familles des deux communes.
Enfants trouvés et abandonnées de Vendée :
Depuis 2014 l’auteur fait ses recherches parmi les recensements de population et les registres de pupilles de l’Assistance publique conservés aux Archives départementales de la Vendée. Il livre une étude de tout le territoire vendéen », comprenant le dépouillement de tous les actes de naissance des enfants recueillis à Fontenay-le-Comte, Luçon et La Roche-sur-Yon, soit plus de 7 000 noms.
Au 19ème siècle, l’Etat décide de prendre en charge les enfants trouvés ou abandonnés. Pour cela il crée, dans l’hospice de chaque arrondissement des départements, un tour d’abandon pour recueillir les enfants. En Vendée, les tours d’abandon ont eu peu de succès. Les enfants sont trouvés en majorité dans des paniers près des bâtiments publics ou suspendus aux barrières de l’octroi. Aussitôt leur découverte, les soeurs tourières des hospices ou les officiers d’état civil donnent un nom aux enfants et les plaçent en nourrice dans les communes et ils seront à la charge du département jusqu’à leurs douze ans. Au cours du 19ème siècle, le nombre d’enfants trouvés ou abandonnés va augmenter considérablement. De nombreux abus vont être constatés par les préfets poussant l’Etat à organiser des échanges entre départements.